I'm Back ! (Shut up Sylar).

« difficult takes a few seconds, impossible a few minutes. »
jey & lia

Je t'aime. Tellement que ça en serait presque malsain. Tu es la personne qui fait que je me lève le matin, celle qui fait en sorte que je respire. Celle que j'aime. C'est pour toi et seulement pour toi que je suis ici.

Je t'aime. Mais je n'arrive pas. Je suis celle qui a perdu plus que sa famille. Celle qui a perdu une par d'elle même. Je t'ai perdu toi. J'aurai pus te retrouver. Mais pour te perdre a nouveau, un jour. Non. Plus jamais ça.

Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime.

Et en même temps j'ai envie de te retrouver, de te serrer dans mes bras. De sentir ton haleine dans le creux de ma nuque. Tes larmes coulé dans mes cheveux. Tes bras s'attacher a moi. Ton corps contre le mien. Je donnerai tout pour pouvoir le ressentir. Cet instant où la vie se résume a ça. L'autre. Je mourirai pour cet instant. Ce moment unique, parfait, intemporelle. Mais je n'arrive pas a vivre pour un moment qui pourrai lui ressembler. Je voulais qu'elle soit là a mon mariage, que vous soyez toutes les deux là a mon mariage, comme ma demoiselle d'honneur.

Ont étaient deux a mon mariage et tu ne le sait même pas. Je m'excuse. Sincèrement. Mais ça ne change rien.

Tu passe toujours le pas de la porte. Tu lève toujours les yeux vers moi. Et je ne te vois pas. Parce que je regarde dehors et aussi parce que je ne voie personne.

Je n'ai qu'un cris, aide moi, aime moi.

— Cornélia & Jhey-änn

Un peu plus de deux mois déjà que tous cela durait. Environ une centaine de jour pour être plus exact. Le temps filait tellement lentement pour la poufsouffle. Depuis qu’elle s’était réveillée, elle n’avait plus jamais parlé à sa moitié. Elle entrait donc dans sa septième année d’étude à Poudlard et depuis le tout premier jour de ces sept dernières années, elle n’avait jamais loupé une seule journée sans lui parlé. C’était, d’ailleurs, une des raisons du changement radical dans le comportement de Jhey-änn. Après tout, elle n’avait plus sa meilleure amie pour rigoler, lui faire changer les idées et la soutenir. Elle avait attendu si longtemps des explications, des retrouvailles qu’elle avait perdu espoir. Pourquoi elle devrait faire les premiers pas ? C’est elle qui n’avait reçu aucune visite de celle qui comptait le plus pour elle lors de son séjour à l’infirmerie. C’est également elle qui avait sauvé cette dite personne juste avant de sombrer dans les ténèbres. Étant inconsciente, elle ne savait pas que c’est Cornélia qui l’avait emmené à l’infirmerie.

Depuis le début de la rentré elles s’étaient vu de nombreuses fois, après tout, elle était dans la même année et dans la même maison, mais jamais elles ne s’étaient adressé la parole. Passant dans le dortoir, Jhey leva les yeux vers celle qui lui servait de moitié autrefois, mais les baissa tout aussi vite. Franchement, elle n’avait aucune envie de rester entre quatre murs en sa compagnie. Elle se dirigea prestement vers son lit, le plus près de la fenêtre ou était posté Corny, mais elle ne lui accorda aucun regard. La brunette récupéra simplement plusieurs bouquins. Toujours dans ce silence de plomb, elle se dirigea vers la porte ayant la ferme intension de s’en aller au plus vite. Au même moment où elle allait passer la porte, elle recut un éclat de lumière au visage. La barbary se tourna et en chercha la source. Elle nu pas à chercher bien rapidement, la bague que portait la Jones-Devon à l’annuaire de la main gauche lui sauta au visage. Elle laissa tomber ses livres sous le choc comprenant très bien ce que sa signifiait ce qui provoqua un bruit d’enfer. Ferma les yeux et serra les poings, Elle tomba d’un coup dans une fureur incroyable.

JE TE DÉTESTE ! Cria t-elle en ouvrant les yeux et claquant la porte derrière elle. Elle descendit ensuite les escaliers trombe et partit rapidement essayant de trouver un coin tranquille, sombre et rassurant.

Elle la vit. La bague. Elle la vit. Elle compris.

Elle aurait beaucoup donné pour lui annoncer en personne, le sourire au lèvre, qu'elle s'apprêtait a se marier et qu'elle voulais qu'elle soit avec elle, qu'elles organisent ensemble un beau et grand mariage, avec des lys blanche, un part terre de coquelicot et une belle arche Celte. Il n'y aurait eu qu'un petit comité, ses amis de Poudlard, sa famille, Cali.

Et puis, il y aurait eu le mariage a l'église, en compagnie de sa famille a lui, Jey parcourant l'allée, juste devant Cornélia en robe blanche, secondé par son père. Il y aurait eu deux mariage. Celui de son ancien monde et celui dans lequel elle voulais rentré depuis toujours. Et elle aurait garder le pont qui la reliait a ses origines, elle aurait gardé sa meilleure amie, mais serait devenue une moldue.

C'était un futur probable. Un futur espéré. Un futur révolu. Depuis 103 jours, elle n'avait pas adresser la parole a Jey. Depuis 103 jours, le jours où il y avait eu tout ses morts.

Elle n'entendit pas Jey lui crier dessus. Enfin si, elle l'entendit. Mais en même temps. Elle contemplait sa bague. Elle l'avait retiré de la chaine en or a laquelle elle pendait, pour la passé a son doigt et ne pas oublier pour qui elle faisait ça. Et Jey l'avait vue. Et Jey avait crier.

Elle perçu le crie, mais ne le compris pas. Elle ne bougea pas. Elle ne pleura pas non plus. Elle resta fixe un instant. Puis, lentement, elle se dirigea vers la fenêtre.

La salle commune des poufsouffle et particulièrement les dortoirs des filles donnent sur des fenêtre assez haute, caché dans la falaise qui soutient Poudlard.

Elle marcha en silence jusqu'à la fenêtre et l'ouvrit. Elle ne senti pas l'air frais de l'Ecosse pénétré ses poumons, ni la légère brise qui courrait dans ses cheveux. Elle s'approcha encore un peu plus et monta sur le rebords de la fenêtre. Elle regarda en bas, mais ne sembla pas remarquer la distance. Sans aucune précaution, avec plus de nonchalance qu'une personne qui s'affale sur un canapé, elle s'assit sur le rebord de la fenêtre et resta là, les mains entres les jambes, sans comprendre exactement qui elle était et ce qu'elle était en train de faire. En dessous d'elle, environs 20 mètres de falaise se finissait par la noirceur du lac. Comme si rien n'avait plus de couleur.

Elle descendit rapidement les escaliers comme si quelqu’un était à ses trousses. Même que les dernières marches, elle les descendit sur les fesses. Elle courut et courut. Plusieurs personnes l’interpela passant dans le hall d’entré, mais ne s’arrêta guère, elle continua sa course vers les cahots. Depuis à peine deux jours, Jhey avait trouvé une salle déserte et s’y réfugiait dès qu’elle le pouvait. C’était justement le moment propice pour s’y enfermer. Rendu à destination, elle ouvrit la porte et la claque derechef avant de se laisse glissa sur la porte jusqu'à s’asseoir en boule. Puis elle laissa couler ses larmes. On aurait pu penser qu’avec toute les fois ou elle avait pleuré, elle avait utilisé toute les larmes de son corps, mais apparemment il lui en restait encore et toujours. Elle regarda autour d’elle et vit le même tableau, le même bureau et les même pupitres rouillés et poussiéreux que la dernière fois. Sur ce, la poufsouffle, si forte et contenant tellement d’orgueil et de confiance en sois enfouit sa tête dans le noir entre son corps et ses jambes avant de repartir de plus belle.

JHEYLANN – Comment tu as pu me faire ça. JE TE DÉTESTE, TOI ET TON MAUDIT BIJOU. Meilleures amis ? N’importe quoi, des meilleures amies ne se laissent pas tomber. MERDE ! Qu’est-ce qu’elle fou à poufsouffle ?

La jaune et noir resta là à pester contre Cornélia pendant près d’une heure. Quand elle fut calmée, elle sortit enfin de son endroit secret. Elle avait maintenant les yeux rouges et semblait tellement fatigué. Franchement, la Barbary n’avait absolument AUCUNE envie de retourner dans son dortoir, mais elle avait cours de potion dans une demi-heure, avec Cornélia d’ailleurs, et devrait prendre ses choses qu’elle gardait en dessous de son lit. L’avantage d’être à Poufsouffle est que la salle commune ne se situe pas dans une des deux extrémités du château. Les gryffondor et les Serdaigle doivent monter un millions d’escaliers avant d’arriver à destination. Les serpentard descendent un bon nombre de marcher pour aller dormir dans la froideur des cachots. Les poufsouffles ne descendait qu’un seul escalier à partir du hall d’entré de l’école. Genre ce n’est pas pour rien que la maison des jaune et noir recrute beaucoup de paresseux.

Réfléchissant à tout ça, elle arriva sans sans rendre compte devant la porte de son dortoir. La brunette porta sa main droite, mais n’ouvrit pas la porte tout de suite. Elle prit une grande respiration puis entra enfin. Cornélia était toujours là. Jhey la regarda longuement et fixa sa bague, puis sans rien dire alla vers sa valise. Au bout de cinq minutes de recherche elle soupira ne trouvant pas son livre de potion. Puis, elle se rappela qu’elle l’avait prêté à sa meilleure amie l’an passé. Étant toujours à la même année que l’année dernière, elle n’avait pas acheté de nouveaux manuscrits scolaires. Elle hésita à demander la permission à la Jones-Devon. Et puis merde, elle ne lui dit rien et ouvrit sa valise pour chercher son bien.

Jeylann. Aide moi je t'en pris, aide moi s'il te plait ! j'ai besoin que tu m'aide. Jeylann s'il te plait.

Elle aurait pus lui demander, lui dire. Mais elle n'en fit rien. A la place, elle repris sa place, sur la fenêtre. Mais avec toujours autant de nonchalance, une fois sa peu passer, deux fois... qui plus est, une fine pluie avait commencer a tomber et laissait une trace sur le rebord, assez pour être... glissant.

En s'asseyant, elle glissa. Vite, très vite. L'espace d'un instant, Corni eu peur. Elle ressentit la peur, peur de le perdre, de ne jamais avoir d'enfant de lui, de ne jamais plus rigoler avec Jey, de ne plus voir Cali.

Cali. Cali. Trop tard. Elle ferma les yeux et ressenti sa main être agripper par quelque chose. Elle n'avait plus peur. Elle était redevenu un zombie et ça n'allait peut être pas s'arrêter de si tôt. Elle leva les yeux pour voir se qui la retenait et vit Jey. Elle avait les yeux bouffies et rouge, le maquillage avait coulé et elle tenait dans son autre main un manuel de potion. Elle lâcha le manuel qui tomba dans le vide et agrippa a deux mains le bras de sa meilleure amie.

Elle, elle la regardait sans comprendre. Non de dieu, mais pourquoi donc elle ne réagissait pas ! Réagit merde, réagit !

Bingo ! Elle sortit son manuel de potion de la valise de Cornélia. Jheylann allait fermer la valise et la rangeait comme elle était avant qu’elle fouille dedans, mais quelque chose, encore… attira son attention. Un bout de papier chiffonné. Elle l’ouvrit délicatement et lut l’écriture qui lui appartenait. C’était un mot tout simple qu’elle s’était passé en cours de métamorphose lors de leur tout premier cours ensemble. La Jones-Devon avait gardé ça ? Elle sourit tout en replia le papier et le resserrant, puis elle reprit le manuel tout en se relevant. Puis, elle se tourna vers sa compagne de chambre qui n’avait même pas bougé depuis son entré et sa recherche. De là ou elle se trouvait, Jheylann l’apercevait très mal. Elle la voyait de dos et la reconnaissait grâce à sa chevelure blonde fade qu’elle avait depuis le début de l’année. Elle s’avança encore et enfin put voir la scène se produire. Si elle avança encore, elle allait tomber. Et justement…

Elle courut vers Cornélia et attrapa son bras avant qu’elle ne tomba dans le vide. Elle rejeta bien vite le manuel de potion pour avoir une meilleure prise sur son amie. Quelques gouttes de pluies arrivèrent sur sa tête, la mouillant, mais elle n’en avait rien à faire. Elle tira pour faire remonter la poufsouffle.

JHEYLANN – Qu’est-ce qui te prend ? Tu veux te suicider pour avoir ma mort sur la conscience après ? Tu ne peux pas me faire ça Lia.

Genre, la noir et jaune n’avait jamais été fan de musculation. Un seul sport l’intéressait, la quidditch, mais même avec ses nombreux entrainement en tant que poursuiveuse elle n’arrivait pas relever Cornélia. Elle avait prit du poids ou quoi ? Voulant se reprendre, elle posa son pied elle aussi sur une flaque d’eau et perdit l’équilibre ce qui mena à la chute des deux cinquième années. La pluie coulaient de plus en plus sur les deux corps endormit dans l’herbe

Elle sentit les doigts essayer vainement de la retenir, mais non, elle glissa. Et Jeylann aussi. La chute n'était pas très haute, a peine 4 mètres et qui plus es l'herbe était grasse, mouillé et puis please, des sorcières non de dieu, pas besoin d'un parachute, elles y arrivent magiquement très bien.

J'ai glissé.

La blonde se releva, tant bien que mal. Elle avait mal sur le côté. Elle passa sa main sur son côté gauche et émit un petit crie. Apparemment, ça faisait mal. Elle souleva son pull complètement tremper maintenant et regarda ses côtes. Sa peau prenait une belle couleur violacé, parsemé de rouge et de noir. Manquait plus que ça, des côtes cassées. Elle, regarda un instant la blessure, puis leva les yeux vers Jey. Cette dernière n'avait pas bougé. Elle semblait être tomber sur la tête...

Non, non, non ! Cornélia s'approcha le plus vite possible de Jey et lui tapa sur les joues.

Merde, réveil toi, aller réveil toi !

Une fois elle l'avait perdu, elle se refusait a la perdre une seconde fois. Elle commenca a taper de plus en plus fort, les larmes lui venant aux yeux. Elle finit par hurler

DEBOUT, DEBOUT, VITE !

Elle n'avait pas du tout remarquer que Jey c'était réveiller au bout de quelques tapes et que cette dernière était maintenant en train d'essayer de se libérer des coups de sa meilleure amie. Jey finit par trouvé une ouverture et plongea son bras. Il vient touché le visage de Cornélia, lui griffant le coup au passage. Elle repris enfin conscience de se qui se passait. Elle se tue, d'un cou, puis s'écarta de Jey. La douleur la repris alors et elle porta la main a ses côtes. Douloureux la chose.

Les yeux clos et inconsciente. Elle se semblait paisible n’ayant pas l’esprit alerte. La brunette revenait peu à peu dans la même situation qu’autrefois, là ou elle avait perdu deux-trois mois de sa vie. La même chose ? Pas exactement, son corps ressentait tout ce qui se passait autour d’elle, ce qui n’était pas le cas la dernière fois. D’ailleurs, après seulement quelques minutes de repos, elle fut réveillé en sentit une douleur sur sa joue. La Barbary ne pouvait plus se reposer en paix et revient peut à peut à la vie. Quoi de mieux que de se réveiller le lendemain d’un match de quidditch, à chaque fois c’était la même histoire, Jhey avait les muscles qui la faisait souffrir le matin à chaque fois qu’elle les utilisait un temps sois peu. La miss essaya de se redresser, mais elle fut bloquée par deux choses. La douleur immense à sa tête et à sa jambe gauche et quelque chose ou quelqu’un était au dessus d’elle et elle ne pouvait donc pas se relever. Ce quelque chose l’appelait par son nom. Reprenant peu à peu ses esprits, la jaune et noir ouvrit les yeux doucement et reconnu la tignasse blonde qui commençait à changer de couleur.

CORNÉLIA - Merde, réveille- toi, allez réveille-toi !
JHEYLANN – (…) Jo…nes-Dev…on !

Sa meilleure amie lui tapait les joues et Jheylann devina que ceux-ci devait tourner dès maintenant au rouge très vif. Lorsque Cornélia était nerveuse, elle ne mesurait jamais sa force et Jheylann l’avait appris à ses dépends. Merde ! Qu’est ce qu’elle foutait ? Pour se venger de sa chute, elle avait décidé de tuer la Barbary en la tapant jusqu’au sang ? La miss était enfin bel et bien réveillée, mais Lia ne semblait pas s’en rendre compte.

CORNÉLIA – DEBOUT, DEBOUT, VITE !
JHEYLANN – CORNÉLIA, MERDE !

Toujours aucune réaction de la part de la concerné sinon de nouveaux cris de panique. Elle devait lui faire comprendre et vite. La Brunette ne réfléchit pas et leva ses deux bras vers les épaules de son ex amie puis elle la poussa avec le peu de force qui lui restait pour qu’elle puisse tomber sur le dos. Pris au dépourvue, c’est d’ailleurs ce qui arriva. Puis, se fut à son tour de riposter, ne pouvant plus utiliser sa jambe gauche, elle se tourna sur le ventre et rampa pour arriver à quelques centimètre de la blonde. Elle venu de chuter et par conséquent elle n’avait pas toute sa force, mais il lui en restait assez pour donner un bon coup de point, un direct droit, dans la figure de Cornélia

JHEYLANN – Qu’est-ce qui t’est passé par la tête ? Aller au bord de la fenêtre et rester là alors qu’il commence à pleuvoir. Tu voulais mourir, tu aurais du aller à la voilière, tu aurais sans doute réussis. PUTAIN, mais t’a réfléchit un peu ? Tu peux pas me faire ça, ne me refait jamais sa, tu as pas le droit !

Elle fixa celle qui parlait. Avec des yeux humides, complètement terrorisé, totalement seul. Seul. Au oui elle l'était. Elle ne le supportait même plus. Noël approchait et elle n'avait pas encore repris confiance. Elle était toujours des mois en arrière, a rire avec Cali.

Elle voulais respiré, prendre une grande inspiration et sentir l'air passé entre ses lèvres, dans sa bouche et ouvrir ses poumons. Au lieu de ça elle resta fixe, a regarder ça meilleure amie. Celle qui lui parlait.

Elle demandait pourquoi. Pourquoi elle avait... voulus mourir ? Mourir ? Non, pas mourir, simplement elle se sentait bien sur la fenêtre. Et elle n'avait pas sentie la pluie et le sol glissant.

Je veut pas mourir. Je voulais juste lire et prendre l'air.

Elle avait dit ça le plus normalement du monde. Comme si tout se qu'il venait de se passer était annodain.
Elle se releva rapidement et lança un regard désespérer a sa meilleure amie puis elle partie en courant.
Elle avait besoin d'aide. Elle n'en avait pas conscience. Mais son corps le criait de tout les côtés. Arrivé a mis chemin entre la porte du château et l'endroit de la chute, ses côtes dirent stop et elle s'effondra dans l'herbe. Elle souleva a nouveau son pull et regarda la blessure. Elle semblait s'être aggravé.

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