Ems h. Peel [UC]

Spoiler:

(c) pomme mécontante

— Emily
« lily Loveless » Peel

• nom complet : Emily Heather Peel. Il n’y a rien à comprendre, ce n’est qu’un nom, surtout si vous êtes dans le monde des sorciers. En revanche, si vous avez la télévision chez vous, vous remarquerez que mon nom est assez connu. En effet, papa Peel est dans le pharmaceutique, et je peu vous assurer que sa marche très bien… Peel’s pill sa ne vous dit rien ??
• âge : 18 ans
• date et lieu de naissance : St Thomas Hospital Londres, UK , il y a dix-huit ans, le 07 septembre.
• cursus : En se moment Ems est en 4ème année et attendez là à la retrouver à l’université Blondi a de grandes ambitions !
• sang : la blondinette est de sang-mêlé. Maman est cracmol, papa un riche Moldu, heureusement qu’il y a la mémé Sorcière !

••allons un peu en profondeur.

▬ vos valeurs Je crois en la justice mais l’appliquer selon mes propres lois me démange régulièrement. Sinon elle espère réellement qu’il y a un après quand notre cœur s’arrête et elle n’est pas du tout superstitieuse ! Loin de là, elle serait la première à passer sous une échelle, briser un miroir et ouvrir un parapluie dans le salon, juste pour prouver que sa ne l’affecte pas. Elle a beau ne pas croire en grand-chose, elle respecte ceux qui y croient… jusqu’à un point.

▬ ce qui vous rend unique En sois nous sommes unique, la question est mal posé. Sinon je ne sais pas, tout se qui fait que je suis moi me rend unique !

▬ oui ou non J’aurais tendance à dire peut-être, mais si vous voulez une réponse précise, se sera non. J'ai un esprit de contradiction très pointu, et sa peu un énervé plus d'un. Je n'aime pas dire oui à tout, se n'ai pas dans mon style et ne l'a jamais été.

▬ votre plus grande qualité et défaut Au premier regard, je vous ai déjà classer dans une boîte. C’est extrêmement chiant. J’ai des préjugé sur tout le monde et une étiquette prête à emploie. Dure, dure d’être dans ma tête… Sinon côté qualité, je dois avouer que j’ai mûri l’année dernière (nan je n’invente pas, Mémé me la certifier). Je deviens donc moins langue de pute qu’avant, et beaucoup plus franche. Et puis j’ai toujours cette ouverture d’esprit concernant les Moldus. Encore heureux ! Mon boyfriend en est un !
Attention, mes idées et paroles pleines de sous-entendues restent toujours présentes, non, je n’ai pas fais complètement volte-face.

▬ votre dessert favori J’ai beau ne pas trop aimer la cuisine des sorciers, je doit avoué que côté pâtisserie, ils sont beaucoup plus imaginatif que les Moldus. Les angelots en sucre d’orges pendant les périodes de Noël me plaisent bien ainsi que les Puddings version Poudlard.

▬ où aimez-vous vous asseoir en classe Au milieu de la classe, histoire de laisser traîner mes oreilles…

▬ votre boisson préféré Le lait, le café, l’eau plate et… le Schweppes. Oui, j’aime bien cette boisson gazeuse, même si elles me font roter. xD

▬ la première fois que vous avez manger un bertie crochu, votre réaction La première fois qu’un Berti Crochu à fouler mon palais, j’ai bien cru que j’allais y rester. En réalité, je ne l’ai pas mangé, comme d’ordinaire, c’est plus le dragé qui est entré dans ma gorge et qui a tenté de me tuer. A par cela, je crois qu’il avait le goût de raisin. Beurk !

••poudlard, oh cher poudlard

▬ baguette J’ai du la changer ma baguette snif. Elle a reçut un coup pendant les vacances d’été. Ne me demander pas comment j’ai réussi à la casser, c’est trop idiot. La nouvelle est en bois d’olivier, un ventricule de Dragon à l’intérieur et 21 cm de longueur. Je sais, c’est court, mais je m’en fou, j’ai aménager une poche dans ma manche gauche pour l’avoir à porter de main dès que l’occasion se présente. (J’ai des relents paranos depuis l’attaque à Poudlard.)

▬ patronus Je ne suis pas particulièrement attacher aux souris. Les animaux de laboratoire comme elles ne me font pas plus pitié que les autres, pourtant c’est une souris blanche qui est apparu au milieu de cette vapeur bleuté. Allez savoir pourquoi…

▬ epouvantard
J’ai une sainte horreur des clown depuis que j’ai trois ans et que mes parents m’ont emmener au cirque. Je suis sur que derrière se foutu maquillage se cache des idées biens saugrenus. Leurs grandes savates ne me plaisent pas trop, on dirait qu’ils sont parés pour aller faire le cent mètres dos crawlé. Il faut se méfier de ses barges…

▬ animal de compagnie ▬ Il s’appelle Freddy, c’est un chat et je l’aime bien. (Heureusement !) J’aime bien quand ses oreilles partent en arrière. Sa signifie qu’il est intriguer. C’est trop drôle ses mimiques ! Il était à mémé avant mais un sourire et une politesse, hop, il est devenu mien.

▬ quidditch ou étude J’aime bien le Quidditch, mais pas jouer en équipe. Dans le genre incapable, je suis bien la reine du domaine. Les sports d’équipe, très peu pour moi, j’aime les sports solitaires, où l’équilibre n’est pas constamment mis à l’épreuve. A part ça, je me débrouille pendant les examens, sans être pour autant une tête. Les études ne me passionnent pas mais pour faire une fac de droit, il va bien falloir que je m’y fasse.

••toi, c'est tout ce qui importe

▬ caractère Vous voulez savoir se qui ne tourne pas rond dans ma tête de blonde ? La réponse est dans la question. Je suis blonde… La tare !
Nan sérieusement, j’ai rien contre les blondes ! (J’en suis une !) Le faite est juste que je tourne dans le mauvais sens. Tandis que j’ai un monde magique avec mille est un mystère, je ne souhaite que revenir chez les Moldus, sans pour autant renier mes origines. Pas facile. Têtu et bourré de préjugé, j’ai de multiples facettes, une pour chaque cas particulier. Avec Arnaud, mon boyfriend, je suis une fille comme les autres, tirailler entre le monde Moldu et Sorcier, celle au fond de moi-même. Pas cette carapace autour de moi que tout le monde voit, mise à part, ceux qui daignent me connaître suffisamment pour voir la troisième « moi ». La blagueuse en peu vache qui aime bien jouer avec les nerfs des autres et qui sais où sont les limites. J’ai pas trop l’habitude de faire ma langue de pute avec eux, c’est la crème de a crème que j’apprécie le plus. Maintenant, reste à savoir quelle personnalité de moi vous aurez face à vous…

▬ biographie

La révélation

J'ai toujours profité de ma position. Petite, je faisais des caprices pour pas grand chose. Et papa, ma foie, il cédait. Comment résister d'ailleurs ? J'ai grandi dans cette bulle, hors du temps et du monde extérieur. Je redoutais les vacances où je devais aller dans se trou perdu, chez ma grand mère. Je ne comprenais pas ma mère qui m'y obligeais. A présent, je la remercie de n'avoir pas laisser l'enfant gâté que j'étais prendre le dessus sur elle. Parce que j'avais beau détester ma grand-mère, si étrange et ne comblant jamais mes désires, elle est un point important de ma vie à présent. La vie était radicalement différente avec elle. Déjà, rien que la maison en elle-même était bizarre. Remplie de vieillerie, la cuisine ne contenait pratiquement rien pour cuisiner, juste pour faire des espèces de soupes infecte qu'elle me servait chaque soir. j'avais quatre ans en se temps là. Je voulais devenir actrice, épousé un bel homme riche, avoir trois enfants et habiter une villa en France. Mais mon fabuleux destin que je m'étais concocter ne perdura pas. A six ans, tandis que je boudais dans la voiture qui m'emmenait chez mémé Agatha, maman qui était au volant me sourit dans le rétroviseur.
- Ne tant fait pas ma chérie. Me dit-elle avec une voix douce et rassurante. Tu va bien t'amuser aujourd'hui.
Sa faisait longtemps qu'elle ne me l'avait pas dit. Le ton employer soulevait d'ailleurs beaucoup de sous-entendus. J'avais beau être jeune, j'étais et suis toujours très mûr pour mon âge, même si je ne le montre pas continuellement.
Les propos de ma mère m'avaient donc intrigué, et l'attitude de mémé à notre arrivé n'arrangea pas les choses. Elle sautait littéralement en l'air. Déjà qu'elle est bizarre, sa n'a pas arranger son cas.

Nous étions donc assises autour de la table ronde de la cuisine qui n'en portait que le nom. Agatha avait toujours ses lunettes sur le nez qu'elle avait oublié de déposer avec le journal. Mes deux aïeules me regardaient, et moi, j'avais envie de devenir si petite que leurs yeux ne pourraient plus me transpercer comme lors de se moment, qui me sembla duré une éternité.
- Alors voilà Mily (heureusement que mémé a prit la parole, je n'aurais pas pu supporter une seconde de plus.) Nous avons un secret à te révéler.
Voilà, rien que se petit mot "secret", et j'avais du mal a contenir ma joie. J'adore les secrets, surtout avec tout le tintamarre qu'elles font, se ne doit pas être de la pacotille.
Vous savez pourquoi j'adore les secrets ? Parce que j'aime bien les répéter.
- Mais il faut nous promettre que tu ne le dira à personne, ni a tes amis ni à tante Lucy et encore moins à papa.
Merde. J'aime pas promettre, parce que j'ai toujours du mal à respecter ma part du contrat, et cette part là, c'était du gros.
Je hoche la tête, incapable de dire non.
Sur ce, maman et mémé échange un regard. Les pupilles de Agatha s'illuminent comme si un éclaire de génie venait de traverser son esprit de siphonné.
Plongeant sa main dans l'une de ses poches, elle en ressort un objet qu'elle déposa au milieu de la table. C'était un morceau de bois tailler. Je suis incroyablement déçut de leur secret, je m'attendait à un truc énorme. Je fronce donc les sourcils, attendant des explications.
- Ceci Emily, sa s'appelle une baguette magique.

Je vous l'avais dit, mémé est complètement fêlé.

Après un instant de silence, j'essaie de briser le mal aise qui s'installe.
- Vous savez, j'ai bien saisit que les comptes de Fée sa n'existent pas.
Mémé me dévisagea puis soupira profondément.
- Elle a hérité de l'idiotie de son père. Marmonne t-elle à maman tandis qu'elle lui faisait les gros yeux.
- Ems, me dit maman en reportant son attention sur moi.Se que te dis Agatha est vrai. Il s'agit bien d'une baguette magique.

C'est contagieux ou quoi? maman aussi perd la tête!
Je ne comprenais pas pourquoi elle entrait dans le délire de mémé. Mais son regard était grave, elle était tout à fait sérieuse, sa me faisait peur. Disait-elle la vérité?

- C'est pas drôle. Lâchais-je en faisant la moue.

Agatha leva les yeux aux ciels en soupirant, tandis que les épaules de maman s'affaissaient.
- Emily, le monde tel que tu le connait à une facette cacher qui est celle de la Magie. Ta grand-mère est une sorcière, tout comme toi. Vous êtes pourvut de pouvoirs magiques, de dons extraordinaires. Tu l'as toujours trouver si étrange, et bien c'est parce qu'elle est une sorcière, elle pratique la magie, concocte des potions et lance des sortilèges. Il y a tout un monde au delà des limites que tu lui a fixer. Des Dragons, des lutins et des Gobelins... Les contes de Fées n'existent pas, je te l'accorde, mais tout n'est pas faux. J'ai, de mes propres yeux vu une chimère lors d'un voyage en Grèce avant ta naissance. Je ne te raconte pas d'histoire ma chérie.
Je levais les yeux vers elle. C'est vrai, elle ne racontait pas d'histoire. Mémé et elle étaient tellement sérieuse, que sa me faisait peur.
- Et toi alors ? demandais-je en entrant dans leur jeu. Tu n'es pas une sorcière ?
- Non Mily, je peux voir la magie mais pas la pratiquer. on appelle cela un Cracmol.

C'est ainsi que m'a annoncé mémé et maman que j'étais une sorcière. Je crois que se jour restera graver en moi à vie. Lorsque je suis retourner à Londres, après les vacances en compagnie d'Agathe, le monde m'a sembler réellement différent. Le ciel était toujours bleu mais il avait quelque chose en plus. Une nuance dont je prenais conscience en leva les yeux en l'air.

Dernière édition par Emily Heather Peel le Dim 20 Sep - 19:26, édité 5 fois

La reception

Avec le temps, l'excentricité d'Agatha, j'ai finit par la partager. Je ne pratiquais pas la Magie à proprement parlé, étant donné que j'avais pas le droit, mais je m'instruisais sur se monde mystérieux. Les années ont défilés, finalement, en la comprenant, mémé n'étais pas si bizarre que cela. On c'est rapproché toutes les deux, de toute façon je n'avais pas trop le choix. Papa n'étais pas au courant de mes talents de sorcière, il ignorait d'ailleurs quoi que se soit concernant ce détail de nos vies. Ainsi donc, pour sauvé les apparences, maman m'a inscrite à un pensionna dans l'ouest du pays. Un pensionna pour Sorcier j'entends. Évidement dès que l'école pré-scolaire avait ouverte pour les jeunes sorciers, on c'était précipité sur l'occasion. Non seulement parce que je traînais du lundi au dimanche dans le salon de mémé sans occupation, mais aussi pour que je puisse rencontré des personnes comme moi, histoire de développer mes relations sociales. Pourtant, j'avais une amie à Londres, très sympathique, qui s'appelait Solange. C'était une Moldue et l'idée ne m'avait jamais fleuré de vouloir lui révéler ma véritable nature.

Le plan marchait comme sur des roulettes. Papa n'était au courant de rien, moi j'évoluais simultanément dans les deux mondes entre lesquels j'étais déchiré, et Agatha s'enchanta de façon assez spectaculaire lorsque j'eus 15 ans. Je comprenais parfaitement pourquoi elle était à se point euphorique, pourtant, le grand jour arrivera l'été prochain, alors que nous déjeunions tranquillement.

C'était un dimanche, il pleuvait sur Londres, et nous nous trouvions début juin. Lève tard, je déboulais dans la cuisine de l'appartement où vivait mes parents (pas moi, je passais le plus claire de mon temps chez Agatha) il était dix heure et demi. Un bol de céréales dans les mains, je m'installais devant la télévision, comme chaque dimanche, révélant mon âme puérile en regardant des dessins-animés de super-héros qui sauvent le monde à chaque fin d'épisodes. Tandis que Super Man plongeait dans le vide pour secourir la belle Loïs Lane, si chère à son cœur, quelque chose vint heurter la fenêtre du salon. Prise par surprise, mon bol à moitié rempli de lait glissa de mes mains et vint se retourner sur mes jambes croisés.
- Merde ! Hurlais-je, ne sachant pas trop où donné de la tête.
D'un côté j'avais ma robe de chambre imbibé de lait avec des morceaux de céréales flasques et de l'autre, il y avait cette chose qui avait heurter la viter. J'aurais mis ma main au feu que c'était un hibou.
- Ca va Emily ?
Le pompon. Si papa rappliquait, s'en était fini de toutes ses années de secrets.
- Euh... oui, ne t'en fait pas pour moi !
Me relevant d'un bon avec cette désagréable sensation d'un liquide dégoulinant sur mon corps, je traversait la pièce, salissant le sol sur mon passage.
Je ne m'étais pas trompé. il s'agissait bien d'un hibou, ou d'une chouette, je n'es jamais réussi à faire la différence. Elle tenait fermement quelque chose dans son bec crochu. Ouvrant la fenêtre, une bourrasque souleva les pages des magasines posés sur la table basse. Je plongeais ma main sur l'oiseau et lui arrachait la lettre, refermant la fenêtre sur lui. La main derrière le dos, tentant d'être la plus discrète possible, je faisait un grand sourire à mon père qui venait de déboulé du bureau.
- Mais qu'est-ce que c'est que ça ?! s'exclama t-il en montrant le bol renverser, le canapé qui gouttait sur le tapis et les traces de mes pieds sur le carrelage.
Ma bouille d'ange sur le visage, je faisait l'innocente, mon rôle préféré avec lui.
- Quand j'ai ouvert la fenêtre, le courant d'air à fait basculer le bol.
J'étais doué pour dire des mensonges, après, il fallait quelques retouches pour qu'ils paraissent crédible.
- Il était légèrement en équilibre.
- Nettoie tout ça sinon ta mère va se mettre dans tout ses états.
C'est pour cela que je l'aime bien mon papa, un parent normal aurait peut-être crier un bon coup, non seulement pour avoir sali le salon, mais également briser un bol, mais Daniel Peel ne se laissait jamais aller dans des extrémités de colère dans se genre. Sa a son bon parfois.
Le sourire au lèvres, j'attendais que la porte du bureau claque derrière mon père avant de faire le moindre mouvement. J'étais super heureuse, mettant à auteur des yeux la lettre m'étant adresser, un sourire dévoilant toutes mes dents traversa mon visage. Je tenais entre mes mains la lettre d'entré à Poudlard, l'école des Sorciers et Sorcières.

La rencontre

J'aime Poudard, autant que le monde Moldu à vrai dire. J'aime l'aventure quotidienne et se monde plein de surprise. D'un autre côté, j'aime la simplicité et la routine du monde Commun. Se dilemme, je l'ai longtemps ressenti. La première année passé à l'école de Magie, je m'émerveillais de pas mal de chose, appréciant les petits détails tels que le nuage de hiboux et chouettes chaque matin et soir à l'heure du courrier. C'est vrai que sa m'amuse d'entendre tous ses battements d'ailes parmi les couverts tintant contre la vaisselle. Mais en revenant à Londres, avec maman et papa, je me rend compte que les dessins-animés, les fêtes, boissons et toutes ses petites choses qui régissent ma vie de Moldue, (Solange également), tout cela me manque. Et se sentiment de vouloir partager les deux mondes en sachant très bien que c'est impossible je l'ai découvert encore plus présent lorsque j'ai rencontrer Arnaud. J'ai toujours répugné sortir avec des Sorciers, surement que je voulais me rapproché des Moldues. Mais le faites était là, après des vacances de pâques excellentes en sa compagnie suivit de l'été, où j'ai appris à le connaitre, à m'exprimer plus amplement, il ne fallait pas non plus oublier que je lui cachais le plus important. Je lui cachais se que j'étais, se qui régissait ma vie, huit mois sur douze. Je l'aimais réellement ce Moldue, je l'aimais tellement, que j'ai finis par rompre avec lui. N'est-ce pas idiot ? Avoir un secret tellement pesant que sa en revient à briser la belle relation que vous aviez avec un type que vous aimiez... Ridicule. Et pourtant, le jour où j'ai appuyer sur se bouton vert, "envoi", j'ai briser notre couple, d'un simple SMS. Je n'ai ni eu le tact, ni le courage de lui parler en face. Je l'ai laisser tomber, sans grandes explications. Sans rien qu'un "je suis désolé, notre relation ne peut pas continuer. Bonne soirée." Comment pouvait-il avoir pu passé une bonne soirée après avoir lut se message ?? j'ai pleuré. Tout se que j'avais en stock. Et puis quand les larmes sont devenues rares, je n'ai trouver rien de mieux que de suivre Solange, buvant comme un trou, et flirtant avec le premier venue. Mais dès que sa allait trop loin, je revenais à la raison assez longtemps pour largué se type qui n'en voulait qu'à mon cul et boire un verre de plus.

Retour à la case départ.

"Le monde est petit"... "Toutes les routes mènent à Rome"....
Il y a un tas de dicton qui signifient à peut près ma pensée.
J'ai béni et maudit se jour là. Nous étions le 27 octobre. Je fêtais avec Solange mon retour de l'"interna". Il était 11 heures. Mark, le nouveau petit copain de mon amie Moldue se trouvait être également un des amis de Arnaud. Le hasard fait bien les choses...
Nous nous trouvions devant la salle qui organisait la fête. La musique fouettait nos oreilles à chauqe fois que la porte s'entrouvrait.
J'étais sur mon 31. Solange me trouvait d'ailleurs en peu "dévergondé" côté fringues. Peut importe, je me fichait bien de son avis. Je n'en revenais pas lorsque la silhouette accompagnant Mark se fit moins flou. J'ai eu un moment d'égarement. Pendant quelques secondes durant lesquels sa bouche restait entrouverte dans un mouvement de béatitude, la pensée de me jeter à son cou pour l'embrasser, de fuir ou de simplement baisser les yeux.
- Tu ne m'avais pas dit qu'il y avait Arnaud. Murmurais-je, les dents serrez, à une Solange qui ne comprenait pas se qui trottait dans ma tête.
- Se sera l'occasion de vous expliquer. Tu ne lui a jamais répondit aux quelques centaines de messages qu'il t'a envoyer.
J'avais envie de l'étriper. Comment avait-elle pu me larguer directement dans la gueule du loup. Loup qui m'attirait grandement lorsqu'il me regardait avec ses yeux là.
Tournant les talons, je m'enfilais entre les groupes de quatre sept personnes qui discutaient en fumant leur clopes.
Je m'élançais dans la rue où peu de voitures déambulaient à cette heure-ci. C'était vraiment con de n'avoir pas prit ma baguette magique ! Non mais quel idée ?! une bonne sorcière doit toujours avoir sur elle sa baguette... Suis-je une mauvaise sorcière ?
Merde ! voilà se que c'est que de mettre des chaussures toutes neuves ! Mémé m'avait bien dit de mettre des pansements aux talons. Pourquoi ne l'écoute donc jamais ?
Je m'arrête à peine deux minutes pour retirer ses engins de tortures qui s'accrochent à mes pieds, que déjà sa voix raisonne derrière-moi.
- Emily !
Je me retourne, comme une conne. Une parti de moi voulais continuer à marcher, mais celle qui voulais lui sauté au cou et l'embrasser à pleine bouche était plus forte. Je me retins tout de même, me contentant de poser mes yeux sur lui.
Lorsqu'il arrive à mon niveau, il me fait un sourire gêner que je lui rend.
- Ça va toi ?
Mon Dieu, il est encore plus magnifique que dans mon souvenirs !!!
- Ouai. Enfin voilà quoi.
Dans le genre réponse évasive, j'étais pas mal dans le genre.
J'osais pas ajouter quelque chose. Lui non plus. Finalement, je lui proposais de marcher en peu. Il accepta, sans cacher sa joie.
C'était pas pour rien que je l'aimais !
- Et sinon, t'es toujours à l'interna cette année?
- hum, ouai, tu connais les parents, tant que tu n'est pas au top niveau, tu une loque.
Mon cœur se serra. J'avais beau avoir l'habitude de mentir, lui mentir à lui, sa me faisais mal. Il y eu un long silence durant lequel nous marchions, moi pieds nu, lui me jetant des regards en biais. Je faisais attention à ne pas croiser son regard, gardant le mien braquer sur mes orteils que j'aurais dû vernir hier soir, en même temps que j'avais verni mes mains d'un rouge pétant.
- J'ai... j'ai pas vraiment comprit les raisons de ton dernier message.
Subtil. Comment aborder le sujet de façon explicite ? juste pour info, le dernier message que je lui ai envoyer c'était celui de la rupture. Futé le petit Arnaud...
- Tu n’y es pour rien.
J’avais parlé sans vraiment le vouloir. Mais bon lui, sa lui faisais une belle jambe de savoir sa… Quoi que, sa a pu lui ôter de la tête l’idée qu’il avait foiré quelque part. Se n’était pas le cas, il avait été parfait, il était parfait.
- Et sinon, ta sœur va bien ?
Mais qu’est-ce que je suis conne… Changer de sujet, c’était se qu’aucun de nous deux voulait. Il voulait la vérité sur les évènements de l’été et moi je voulais lui dire… Mais où trouver le courage de lui dire, droit dans les yeux, que je suis une Sorcière ? Alors là c’était certain, je le verrais plus jamais mon amoureux.

C’est parti sur ça. On a recommencé à se voir durant les deux semaines qui on suivit. Pas en tant que petit ami. On y allait doucement, je reprenais confiance en moi, et en lui également. Sa compagnie me manquais, réellement.

C’était la veille de la rentrée. On c’était retrouvé chez moi à Londres. Se n’étais pas vraiment mon chez moi. Je préférais vivre chez Agatha, avec qui je pouvais être moi-même et abandonné cette image de Moldue. Ainsi donc, j’utilisais le réseau des cheminer, me rendant à Londres en une poigné de poudre de Cheminette.
Nous n’avions pas échangé un seul baiser, une seule parole pleine de sous-entendues... Je n’osais pas aller plus loin et refuserais certainement si lui, le faisait. Sa ne m’avais jamais vraiment ennuyé de mentir sur ma scolarité et ma vie, à mes ex, mais Arnaud était particulier, je sentais bien qu’il était plus qu’une amourette de passage. C’est sur que mon jugement peut-être brouillé mais là, là j’en étais sur, certaine, nous auront un long et beau futur, couronné de déboires.
Arnaud avait mangé à la maison le midi, en compagnie de ma mère qui l’avait assez apprécié.
- Tu as préparé tes affaires pour demain matin ?
Se retour à la réalité que je retournerais à Poudlard le lendemain me déstabilisa en temps soit peu. J’ai répondu positivement à maman, repensant à l’école Magique, aux devoirs de vacances achevés et à Serpentard, ma maison depuis alors la troisième année. J’avais quitté l’école sur le bal d’automne, auquel j’avais assisté, sans cavalier.
Arrivé dans ma chambre, Arnaud remarqua bien qu’elle ne contenait rien. Enfin, le mobilier de base, un ordinateur portable éteint et quelques cadeaux entreposés sur les étagères, mais en soit, la pièce restaient assez impersonnel. Les cadeaux sur les étagères étaient ceux que mon père m’avait offerts, histoire de lui montrer que je les aie toujours. Nous asseyant sur le lit, il remarqua une chose intéressante.
- Tu ne dors jamais ici ? demanda t-il en voyant bien que le lit n’était pas défait et que le cousin même pas en peu aplati.
- Non, je vie chez ma grand-mère, et étant donné que je vais à Poudlard, il n’y a rien ici.
Je n’avais pas fait attention.
- Poudlard ? Répéta t-il. Tu ne vas pas à St Catherina ?
Non, ne me dite pas que j’ai dis Poudlard ?? Mais qu’elle conne je suis ! Le monde Sorcier ne doit être connu de personne…
- J’ai vraiment dit Poudlard ?! M’exclamais-je comme une idiote après quelques secondes. Nan mais vraiment, on se demande si ma blondeur ne commence pas à se faire ressentir !
J’étais embarrassé, en colère contre moi-même. J’ai tellement milité pour que l’on arrête de me voir comme une pauvre conne de blonde que venir à m’abaisser à ça, sa me fait mal.
Il y eut un mal aise pendant deux minutes. J'arrivais pas à croiser son regards, bien que lui cherchait le mien. Je souriais nerveusement, et passais la main dans mes cheveux...
- Sa ne va pas Ems ?
Je lui souriais, comme toute réponse, fixant toujours de mes yeux embrumé un point vague sur la moquette de la chambre.
Reculant en peu, il me regarda, comme si j'étais posséder.
- On... on peu pas continuer comme sa. murmurais-je en sentant les larmes me monter aux yeux.
- Emily? mais que se passe t-il?! Sa voix avait un net penchant vers l'étonnement.
- Si on continue à se voir, il va falloir que je te dise la vérité.
Les larmes roulaient sur mes joues mais je n'y prêtais pas attention. Il n’y avit pas trop matière à pleurée, mais se que je m’apprêtais à faire, c’était braver les lois magiques et la confiance de ma famille à qui j’ai promis qu’aucune relation d’aucune sorte n’irait jusqu’à révéler qui j’étais réellement.
- De quoi parles-tu ?! s'exclama Arnaud en s'avançant vers moi tandis que je reculais.
- Je ne suis pas une personne normal Arnaud. Ma voix n’était qu’un chuchotis. J’avais moi-même du mal à m’entendre parler. Je ne sais pas comment te le dire de façon moins brutal alors… Je suis une sorcière.
Le silence fusa. Mon amoureux me regarda longuement, je cherchais une quelconque réaction. Je ne comprenais pas. Pourquoi je disait-il rien ? Pourquoi ne prenait-il pas ses jambes à son cou ? Pourquoi n’avait-il pas peur de moi ?
- Emily soupira t-il. Je m’attendais à tout, qu’il ne me prenne pas au sérieux, qu’il me dise que je suis folle…J’ai surpris une discussion entre toi et ta mère.
J’en restais muette. Quoi ??!! Je n’eu pas besoin de m’exprimer pour qu’il m’explique.
- Il y a trois jours, quand je suis passé ici, en partant je vous ai entendu, parlant d’un secret, que t’a grand-mère s’inquiétais pour notre relation. Que le secret était en danger… Et tu as répondu…
- Qu’il n’y a pas à s’inquiéter, que je ne te dirais jamais que je suis une sorcière…
Une larme coula sur ma joue. Mon cœur s’allégea. Se poids si pesant que j’avais, venais de disparaître. Mais un autre vint le remplacer à la seconde près. Un poids qui consistait à avoué qu’elle avait trahi la confiance de ses parents.
- Tu… tu es resté ? Murmurais-je finalement en prenant conscience tandis que j’en parlais.
- J’avoue que sa m’a fait peur au début. C’est pour cela que j’ai du annulé notre rendez-vous d’hier. Mais… après avoir réfléchit longuement sur le problème, sa m’est égale. Par se que t’ai la première fille que j’aime. Il a fallut tant de temps pour que je l’admette parce que sa me faisait flippé mais finalement… C’est rien. J’aime la fille que j’ai connue, j’aime la sorcière que tu es !
J’en restais pontois. Il m’aimait… aucun des autres mots de son discours n’avait fait autant de dégât en moi. Non seulement il acceptait ma condition de sorcière, mais il m’aimait…
On échangea après cela un long et beau baiser, comme dans les films sauf que là, c’était pour de vrai.
- Je t’aime aussi. Murmurais-je lorsque je repris pleinement propriété de mes lèvres.

Le drame

Parce que tout ne va pas bien même dans le meilleur des mondes, l'année que j'ai passé après la retrouvailles de mon chéri fut assez compliquer. Non seulement la distance qui nous séparait m'énervais grandement mais il y avait aussi ses évènements étranges à Poudlard. L'école était sur le qui-vive, se qui était tellement peu commun que sa m'inquiétais. J'avais raison.
Durant ma troisième année, j'ai perdu ma virginité et vu se que la mort pouvait faire.
La fameuse nuit où l'histoire de Poudlard à été réécrite, je n'en ai aucun souvenir précis. C'est le flou complet. J'ai quelques déjà vu parfois mais rien qui me fasse rappelé. Mais je ne veux pas me souvenir. parce que quand j'ai vu tout ses visages si tristes, qui avaient du mal à croiser le regard des autres, sa m'a fait peur. Je connaissais bien les conséquences de cette fâcheuse nuit comme tout le monde mais savoir se qui m'étais arrivé, non. J'étais vivante, j'avais un bras dans le plâtre et du sang sécher dans les cheveux, un sang qui n'était pas mien. C'était tout se dont j'avais envie de savoir, pas plus, pas moins. Mais, on n'a jamais se que l'on veut. J'avalais des potions pour le pas faire de rêves chaque soir. Sa marchais, un temps... Quand j'ai quitté le monde magique, je me suis effondrer en larme sur Arnaud sur le quai de la gare. J'avais tenu le choque jusque là. Mais j'arrivais plus à faire semblant. Il savait bien qu'il c'était passé quelque chose à l'école comme je lui avait expliquer dans ma dernière lettre, mais les détails restaient inconnu. Pour lui comme pour moi. Je n'avais osé demander à personne. Non seulement parce que c'est compliqué d'en venir là dans une conversation mais également parce qu'avec les têtes que tout le monde (y comprit moi) tiraient, t'avais pas envie de parler à qui que se soit.
J'ai parlé à Agatha, à maman et Arnaud. J'ai parler à toutes ses personnes qui m'entouraient et que j'aimais. Je leur est expliquer les maigres choses dont je me souvenais, c'est à dire, se sentiment que la Terre continue de tourner sans se rendre compte de cette évènement tragique.
Dans mon lit à Londres, je n'ai pas pu prendre la fameuse potion anti-rêves, j'en aurais pourtant eut besoin. Des images vinrent me hanté cette nuit là. Des visages, des sons plus ou moins naturel et se râle... Se bruit spectral comme si il provenait des catacombes. Je ne sais pas à quoi il correspond, je n'entends que lui durant près de six nuit d'affiler. J'ai eux des déjà-vu à plusieurs reprises pendant ses deux mois, le bras plâtré, passé en compagnie d'Arnaud et Solange. Solange, Solange... elle avait bien vu que quelque chose clochait avec moi. Elle ne m'a pas posé de questions mais c'est défoulé sur Arnaud un jour où j'étais absente. Il n'a pas lâcher un traitre mot de vérité. Je l'ai convenablement remercier pour cela. j'ai vécut comme une parfaite Moldue, ne pensant plus à l'attaque mais ne l'oubliant pas non plus. Le dure retour à la réalité de l'année qui allait se dérouler me revint lorsque ma mère m'a fait par de quelque chose.
- Tu as reçut la lettre de Poudlard. Ainsi qu'un badge de préfète !
Maman était fière de moi. J'étais préfète.
La semaine qui suivit, j'ai fait mes devoirs de sorcières, acheté les articles manquant ou à réactualisé et j'ai préparer ma malle. Je ne voulais pas quitter se nid de Moldue mais je ne pouvais pas renier ma propre personne. Je ne pouvais pas faire cela à Agatha, et même moi, j'aurais forcément regretter ultérieurement, je me connais assez pour vous l'assurer. Mais j'avais cette boule au ventre. J'avais peur que l'année ne commence sur une ambiance de dépression collective. C'est sur qu'il y a eut des morts. Mais on ne peut pas les pleuré pour toujours comme on aimerait. Parce que c'est pas parce qu'ils on quitter notre monde que nous devons cesser la notre. La meilleur chose qu'il faut faire quand quelqu'un meurt, c'est le pleurer, relever la tête et continuer, gardant toujours en mémoire et dans son cœur celui ou celle qui nous a quitter. Mais je n'étais pas dupe, l'année allait commencer sur un ton bien maussade. La directrice ferait peut-être un discourt là dessus, ensuite la moitié de la salle va pleurer, ensuite on aura plus faim et finalement, on aura passé une soirée de merde. Mais bon, positivons !!

Fiche enfin terminer

Emily Heather Peel;;

après mûre réflexion, déblatage avec les différentes partie de ton âme et de tes pensées, j'ai la joie de t'accueillir dans la maison Serpentard. Cette maison est depuis des millénaire le repère des gents intelligent, ambitieux, mais aussi et surtout des gens révolutionnaire. Entrer dans cette prestigieuse maison n'est pas toujours accepté, et les rivalité iront bon train, mais qui d'autre qu'Serpy pourrait les relever mieux que personne ! Ainsi donc, bienvenue dans l'illustre maison de Salazar Serpentard.

Le Choixpeau,
l'infinie de ton esprit m'es ouvert pour ton plus grand bien...

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