Nostalgie et rentré

••Sujet collectif
Jour de rentré

La liste est tombé. Suite à l'attaque de l'an dernier, qui n'a toujours
pas été expliquer, plusieurs personnes sont en deuil et ont peur
qu'un nouveau mage noir refasse surface comme jadis. Tout le monde
agit de façon différence du dénis à la colère. Toutefois, la vie continue
pour beaucoup d'entre nous et aujourd'hui, en ce premier septembre,
à la gare de Londres, la barrière menant au quai 9 ¾ est fermé.
Personne ne semble au courant de comment que les élèves de Poudlard
vont bien pouvoir se rendre à l'école pour cette prochaine année. Les
sorciers présents patientent en compagnie de moldus qui se demandent
ce que des gens peuvent bien faire avec des hiboux en cage. Prêt pour
une nouvelle année ?

il est 10 heures 11. C'est assez idiot de venir presque une heure avant le départ du train. Mais rester à la maison, avec maman qui n'arrête pas de me harceler, me demandant si j'ai bien toute mes affaires, me rappelant comment me comporter, que Poudlard est différent de Durmstrang.... Elle me rang fou. C'est pour cella que je me suis rendu à King's Cross beaucoup plus tôt. Pour lui échapper. La lettre indiquait la voie 9 3/4. Comme un ange, maman m'a préciser qu'il fallait foncer droit sur le mur, qui se trouve enter la voie 10 et 9. Je crois qu'elle se foutais de moi.

- Ça va monsieur ?

C'était une Moldue qui m'avait vu foncer bêtement droit vers se mur, poussant mon chariot.

- Oui, oui, merci...

Je me relevais péniblement, quoi qu'on n'en dise, sa fait mal un mur de briques ! ramassant mon paquetage, la Moldue s'écarta après m'avoir fait un sourire du genre "bonne journée le cinglé". Nan mais sérieusement, je ne connaissais pas ma mère avec un si mauvais humour. Au pire, pour cette honte qu'elle m'avait infliger, elle aurait pour tout l'or du monde voulu y assister. Mais non, je me trouvait sur mes deux pieds, une cage avec Alena dedans qui piaillait comme une furie, tentant de déplier ses belles ailes.

- Chuttttt... Marmonnais-je en la replaçant sur le chariot. Calme-toi ma belle...

Fourrant mes mains dans mes poches, j'en ressorti un biscuit exprès pour elle. Elle s'empressa de le grignoter, avant même que j'ai retirer ma main. J'avais l'air d'un bêta comme ça. Peut importe, je me fiche des Moldus. Mais quand même, sa ferait mauvaise impression sur mes futurs camarades. M'élançant donc le long du quai où je me trouvais, je passais devant se fichu mur que j'avais heurter de plein fouet et me fondis dans la masse de personnes qui ne semblaient pas me remarquer.

Arriver dans un coin peu fréquenter, je plongeais ma main dans ma poche et en tirais ma baguette magique. La serrant fort d'une main et le chariot de l'autre, je me concentrais un instant, pensant à la voie 9 3/4.

J'ai beau réessayer, je crois que la malle et la cage à hibou qui m'accompagne m'empêche de transplanner là où je voudrais aller.

C'est donc en soupirant que je retourne près de ses foutu panneaux. J'arrive pourtant à transplanner habituellement ! Je suis vraiment un cancre si je n'arrive pas à le faire avec des bagages...
M'asseyant sur un banc, je patiente, dans l'espoir de voir un sorcier, comme moi, qui cherche à emprunté le Poudlard Express.

•• Tu devrait y aller. C'est ton monde. Tu ne peut pas y changer.

^3/4

•• Mais qu'es qui se passe ici.

Il avait décidé de se rendre très tôt a la gare se matin la, pas parce que l'idée de de retourné a l'école le rendait heureux ou l'excitait, alors la pas vraiment, mais l'idée de quotter la maison, était pour lui des plus salvatrice. Il avait passé un été de merde et l'idée que sa allait prendre fin le soulageait, il était parfaitement conscient que son sentiment d'échec, allait resté, mais il se disait en même temps qu'avec l'école et son année d'aspic il arriverait a pensé a autre chose. Il c'était levé très tôt se matin, il c'était rapidement préparé en silence puis il était sortit de la maison trainant derrière lui sa malle qu'il avait munie de roulette ainsi qu'une boite de forma moyenne qui était étrangement muni de trou. Il faisait encore sombre quand il avait commencé a déambulé dans le rue a la recherché d'un coin sombre pour transplané sans être vu, mais avec la noirceur de la nuit toujours présente il ne lui fallu pas beaucoup de temps pour trouvé. Il réapparut dans une petite ruelle près de la gare et après avoir vérifier que la voie était libre il c'était tout a fait naturellement dirigé vers sa destination. Il avait près de six heure d'avance alors bien sur il ne testa pas l'ouverture vers le quai neuf et trois quart, il installa plutôt sa malle contre un mur a proximité et tout naturellement il s'installa dessus afin d'attendre que le temps ne passe.

Il était bien sur présent quand se qui lui semble être un élève fonça dans la barrière, il aurait pu le prévenir que le passage n'était pas ouvert, mais ne le connaissant pas, il avait préféré le laissé s'écraser lamentablement. Il ne savait pas exactement pourquoi le passage n'était pas ouvert, il ne se souvenait pas avoir entendu son père parlé de quelconque changement a se niveau la, quoi qu'il faut dire qu'il n'avait pas vraiment a l'écoute ses dernier temps, mais il est aussi vrai que peut-être son paternel n'était simplement pas au courant. C'était peu probable, mais c'est ton jamais, en plus le problème avec la barrière n'avait peut-être pas été prévu, elle était peut-être simplement défectueux, ou encore c'était encore un coup de ceux qui avait planifier l'attaque de...

Il se passa un main dans ses cheveux avant de sortir son paquet de cigarette de l'une de poche de ses jeans, il avait commencé a fumer durant l'été, il avait toujours trouvé que c'était une mauvaise habitude que certains personne adoptait, mais entre la drogue et la cigarette, il avait préféré choisir la cigarette. C'était certes stupide, mais qui s'en souciait. Il s'alluma une cigarette puis il attendit tranquillement de savoir se qui allait se passé, il n'avait pas l'intention de se cassé la tête a essayer de savoir se qui se passait et puis en plus si jamais il ratait le train il pourrait toujours transplané a pré au lard, inutile de s'inquiéter pour rien.

En attendant de voir se qui allait se passé, il jeta un coup d'oeil autour de lui, il remarqua quelque jeune qui semblait préoccupé, mais il ne leur prêta pas vraiment plus attention que ça, celle qui attira son attention plus de dix seconde fut une blondinette qu'il connaissait vaguement. Il connaissait parce qu'elle était comme lui a pouffy, mais aussi parce qu'elle était amie avec Jey, il ne se souvenait pas l'avoir vu après l'attaque et franchement il avait cru qu'elle avait péri l'année dernière. Il fut évidement content de voir qu'elle était en vie, pas que son sort le dérangeait, mais il savait que sa ferrait plaisir a Jey qu'elle soit en vie. Il ne la salua pas, n'en voyant pas l'utilité et après l'avoir regardé pendant environ une minute il recommença a regardé vaguement autour de lui, en attendant qu'il se passe quelque chose.

Et bien, aujourd’hui était bel et bien la date fatidique de la rentré. Pourtant, cette même date qu’elle attendait chaque année ne l’excitait pas autant, même bien moins pour mille et une raison. Cela devait bien faire une semaine que c’est parents lui répétaient qu’elle allait mieux se sentir rendu à l’école, qu’elle pourrait revoir ses amis et être bien entouré, changer d’idée. Balivernes. À Poudlard, elle se souviendrait encore plus de l’évènement de l’an passé et son entourage était rendu bien minime avec la perte de deux de ses meilleurs amis ainsi que sa meilleure amie dont elle n’avait pas reçut de nouvelle depuis la première journée qu’elle s’était réveiller de son coma. Jeylann s’était empressé de demander à l’infirmière si Cornélia allait bien, par chance, l’infirmière lui avait répondit positivement. Par contre, celle-ci ne vient jamais à son chevet.

Cette journée là, Jeylann se leva comme tout les matins, alla faire sa toilette, puis ayant déjà fait ses valises, descendit les escaliers pour retrouver ses parents et son frère déjà prêt. C’est donc bien trop tôt que la famille Barbary partit en route. Ayant un rendez-vous urgent ailleurs, ses parents les déposèrent à la gare et partirent tout de suite après leur avoir donner quarante-huit bec et bonne chance. Thomas et Jeylann se sourirent brièvement avant d’aller vers la fameuse voie 9¾. Ayant trouvé des copains à lui, Thomas donne un tape dans le dos à sa grande sœur pour l’encourager et la quitta en lui donna un second sourire sincère d’adieu. Elle resta planter là durant plusieurs minutes entre la voie 4 et 5. Franchement, la brunette n’avait aucune envie d’y retourner. Tous allait faire comme si de rien était, tout comme elle d’ailleurs, du moins elle allait essayer et sa ne réussirait pas. Elle ferma les yeux pour arrêter les larmes qui voulaient déjà couler puis prit une grande respiration qui fut interrompit par un grand bruit. Jeylann se dirrigea rapidement vers le fameux bruit et vit alors un garçon plutôt séduisant contre le sol en compagne de valise du type sorcier entre la voie 9 et 10. La poufsouffle ne mit pas bien bien longtemps avant de comprendre ce qui venait de se passer. Par contre, pourquoi est-ce que celui-ci n’avait pas passé la barrière, alors là, mystère et boule de gomme. La barbary s’en allait le voir pour l’aider un peu me se ravissant bien rapidement en voyant une personne qu’elle connaissait trop bien et qu’elle voulait éviter à tout prix. Par chance, elle vit au même moment Albus, son ami, à côté contre le mûr un peu plus loin à l’écart. Elle prit bien soin d’arriver sans qu’il ne la voit et avant qu’il ne puisse porter la cigarette à sa bouche, elle le lui prit et alla lui prendre un bouffé.

JEYLANN - Qu’est ce que tu fais ? Depuis quand tu fumes ? Ah oui, tu es le fils de Harry Potter, donc être suicidaire c’est dans tes gênes.

La brunette glissa contre le mur et s’assit à côté de lui. Puis elle pencha la tête contre l'épaule d'Albus et resta là en silence en regardant la scène qui se déroulait un peu plus loin se demandant comment ils pourraient tous allé à Poudlard s’ils ne pouvaient accédé à leur quai. Jeylann silencieuse, ce que ça pouvait étrange.

Aujourd’hui c’était la rentrée et encore plus important pour Myar, c’était la rentrée à l’université, pourtant, ce matin là, quand sa mère vint la réveiller, la blonde devenue brunette ne voulait pas se lever. Elle ne voulait absolument pas mettre le nez dehors. En fait, la jeune fille n’avait pas mit le nez hors de la maison plus de deux fois cet été et l’avait fait seulement parce que l’avait traîner de force une fois pour aller au cinéma et l’autre fois pour essayer de faire en sorte que la belle ait faire du shopping. Elle avait détesté le film et n’avait finalement que bougonner en compagnie de sa sœur toute la journée. Après c’est deux catastrophe plus personne n’avait essayé de la faire sortir. Par contre, son frère et ses sœurs avait essayé de la remonter en invitant son ex de l’été précédant et cette attention finit aussi en catastrophe puisque cette journée là Myar ne sortit même pas de sa chambre, même la voix apaisante de Mike qu’elle avait autrefois aimé n’eut aucun impact sur elle, du moins positif. Non, Myar avait tout simplement erré dans la maison comme un fantôme. Sirius avait essayé de la raisonner de toutes les manières possibles, tout comme sa mère. Alura était passé a la maison, tout comme dom et Elyès mais ça n’avait rien changé, le regard autrefois de l’aînée des Black était maintenant tout à fait vide.

Ce fut Sirius qui sortit sa fille de son lit en la prenant sans ménagement, et en la sortant sans douceur de sa chambre, quelques sortilèges lancé sur la porte pour ne plus que la jeune fille entre et voilà le tour était joué. Mya piqua quand même une colère, et une colère de jeune fille qui peut et qui ne se gêne pas pour utiliser la magie en dehors de la maison ce n’était pas la même chose qu’une colère d’une enfant de quatre ans. Plus personne n’était par contre étonné, elle avait fait ça tout l’été, mais aujourd’hui elle devait aller à l’école. Elle réussit à déverrouiller sa porte, sa mère lui indiqua qu’elle devait être descendu et habillé dans les quinze prochaines minutes. Myar fut dans la cuisine quinze minutes plus tard, habillé d’un jeans et d’un chandail simple mauve. Elle était prête, mais pas ses valises et ça tout le monde la savait. Myar, elle ne voulait pas remettre le pied à Poudlard, elle en voulait pas revoir les murs du château, le plancher où il était mort, elle ne s’en était pas du tout remise. On avait prit soin dans la famille black comme dans celle des Potter et Weasley qui venait fréquemment de ne jamais prononcé les trois petits mots que la rouge et or avait entendu, qu’ils lui soient destinés ou non, c’était des mots bannis.

Sirius fit les bagages de sa fille, il avait l’impression qu’elle était revenue à son enfance, il devait tout faire pour elle, sinon elle ne le ferait pas. Elle se mettait dans ses pattes pour l’empêcher de faire ce qu’il voulait, sauf qu’il ne pouvait pas lui en vouloir. Elle avait perdu celui qu’elle aimait, elle était vidée et ne savait probablement pas quoi faire. Maintenant, elle devait pourtant aller à l’école, ça l’aiderait, c’est ce que Sirius et penny pensait du moins. Arès le petit dej’ Myar c’était réfugier dans sa chambre, elle entamait cette année des études pour être auror, elle voulait l’être, mais ne voulait pas retourner a Poudlard. Son regard fixait son mur, totalement vide, elle fut sortit du néant par la voix de son père.

- Myaaa

Black descendit les marches d’un pas lent, il était tôt pour qu’il l’appel déjà. Elle ne fit que regarder son père et ne dit rien. Eros se tenait à ses côté, la chaperonne serait chaperonné pour la première fois. Elle leva les yeux au ciel, mais elle n’avait pas le choix, Eros et Myar furent les premiers à partir et les autres les suivraient dans peu de temps. À la gare ils arrivèrent juste à temps pour voir le jeune homme rentrée dans le mur, cela aurait pu tirer un sourire à la jeune fille en temps normal, mais elle ne fit que continuer à perdre son regard dans l’établissement, entre autre parce qu’elle avait prit cette habitude, mais aussi pour trouver une sortie, son frère ne ferait pas vraiment le poids non ? Peut-être que si en fait, puisqu’elle ne pouvait utiliser la magie devant les moldus et que physiquement eros était bien plus fort. Elle vit Albus qu’elle considérait comme un cousin fumer avec Jeylann à ses côtés. Elle le regarda et souleva les épaules, elle se serait peutêtre battu pour que bubus ne fume pas à une certaine époque, mais elle se fichait bien de ça aujourd’hui, elle fut tenté de lui demander une clope mais finalement abandonna cette idée stupide. Elle tourna le regard vers son frère.

– Eros, laisse moi partir ok. Je dirai à papa et maman que c’était pas ta faute.

La brunette se fichait du fait que la barrière ne fonctionnait pas, elle n’avait même pas fait le lien dans sa tête. Tout ce qu’elle voulait c’était partir, parce qu’elle ne voulait pas simplement ne pas voir les murs de l’école, mais aussi les gens qui y seraient. Bien d’autre avait perdu dans cette bataille, frère, sœur, ami et c’était remis bien mieux qu’elle qui avait perdu qu’un garçon, mais elle ne pouvait pas s’en remettre. Elle suppliait son frère du regard, c’était un des seuls regards qu’on avait pu voir avec un quelconque sentiment sur le visage de la jeune fille, depuis l’attaque.

big sister

J'ai pas l'intention de te laisser seule. Si tu ne vient pas a Poudlard, je reste avec toi.

Je n’en ai pas le droit

Je méritais la mort.

Rien.

sa valeur m’importait peu,

l'incident

Idiot non ?

Es-tu prêt ?

Un rayon de soleil vint caresser le visage de Winnifred. La chaleur du rayon la fit sourire légèrement. Elle ouvrit brusquement les yeux lorsqu'elle se rappela que, aujourd'hui, c'était la rentrée à Poudlard. Et d'une manière assez étrange, son cœur se resserra dans sa poitrine. Les années précédentes, elle avait toujours eu envie que les vacances scolaires se passent le plus vite possible, pour enfin pouvoir retrouver Poudlard, mais cette année, tout était devenu différent. Mais pour la jeune Winnifred, ce n'était pas forcément uniquement en mal, non. Les autres élèves avaient perdu des êtres chers l'année passée. Elle, en avait retrouvé un. L'année passée, alors que Poudlard était attaqué, elle avait pu enfin retrouver son frère, ou plutôt, c'était lui qui était venue la retrouver. Terrorisée à en être presque immobilisée, là, au coin d'un couloir, Winnifred ne savait que faire. Daeron lui, de son côté, s'était rapidement rendu compte que, dans la Grande Salle, il y avait beaucoup d'élèves qui manquaient à l'appel. Beaucoup, oui, mais à vrai dire il n'y avait que d'une seule personne qu'il se préoccupait : sa petite sœur. Et il s'était élancé à sa recherche. Quelle n'avait pas été la surprise de Winnifred lorsqu'elle l'avait vu débarquer en trombe en face d'elle. Et surtout, lorsqu'elle vit ces émotions sur son visage : l'angoisse, remplacée à la seconde où il avait posé les yeux sur elle, par un soulagement extrême, et un amour profond. Des sentiments envers elle qu'il ne lui avait plus montré depuis leur petite enfance.

C'était alors lui qui l'avait ramenée dans la Grande Salle, et lui qui l'avait entourée de ses bras, et protégée au péril de sa vie. Vie qu'il n'avait pas perdu, fort heureusement, cela dit lors de son affrontement avec une des créatures qui avaient envahi le château, il avait été blessé. Winnifred s'était donc occupée de lui. Et lorsqu'ils étaient rentrés chez eux, sains et saufs, Daeron avait changé son comportement envers elle du tout au tout. En effet, il semblerait que la peur suffocante qu'il avait ressentie à l'idée de la perdre avait eu pour conséquence de lui faire oublier ses prétentions envers sa petite sœur, et il redevint le frère aimant et fusionnel qu'il n'avait plus été depuis une petite dizaine d'années. Comme si de rien n'était, comme si ces années ne voulaient rien dire. Elle avait ainsi passé le plus merveilleux des étés en compagnie de son frère. Mais malheureusement la rentrée approchait à grands pas, et au fur et à mesure que les jours de la dernière semaine défilaient, tous deux devenaient plus sombres, et encore plus collés l'un à l'autre. Car pour cette année à Poudlard, Winnifred serait seule. Son frère, avait terminé ses études, et ils ne pourraient désormais passer ensemble que les vacances scolaires.

C'est donc le cœur lourd qu'elle se releva dans son lit, clignant des yeux comme un zombie. Le sommeil lui grisait tout le corps. Elle repoussa ses couvertures et se laissa glisser par terre. Un ronflement la fit regarder vers le lit. Son frère était encore en train de dormir. Ils avaient voulu passer leur dernière nuit ensemble, et ils avaient parlé jusqu'à pas d'heure, notamment de leur père, mort il y a désormais un an de cela. La petite anglaise se dirigea vers la chaise sur laquelle elle avait posé ses habits pour sa première journée, et elle s'habilla en silence, afin de ne pas réveiller Daeron. Elle posa un regard noir sur son énorme malle contenant toutes ses affaires pour une année à Poudlard, et sortit de sa chambre en traînant des pieds, puis referma doucement la porte derrière elle. Elle descendit les deux étages qui la séparaient du salon, et s'engouffra dans la cuisine, son imagination gourmande la titillant. Ce matin, elle avait envie de gaufres au sucre avec des fraises. Bon, pour les fraises, c'était raté, c'était pas vraiment la saison... Mais pour les gaufres au sucre, c'était encore possible. D'un coup de baguette magique, elle fit sortir les ingrédient pour la pâte à gaufre qui se fit d'elle même tandis que Winnifred allait chercher le gaufrier. Elle prit son petit-déjeuner, se demandant comment elle allait faire pour aller à la gare. Sa mère en effet était déjà partie à sa boutique, et elle ne voulait surtout pas réveiller son frère. Car s'il l'accompagnait, elle savait que les au-revoir de la gare seraient insupportables.

Elle décida donc d'appeler un taxi. Son frère lui avait fait découvrir ce moyen de transport moldu pendant l'été, et elle avait beaucoup aimé. Ces moldus étaient vraiment brillants pour ce qui était de vivre sans magie. D'ailleurs, Winnifred n'en doutait pas une seconde, ils avaient certainement les neurones bien plus aiguisés que les sorciers qui eux, n'avaient pas à se tracasser pour quoi que ce soit étant donné qu'ils avaient la magie. Le klaxon de la voiture noire la rappela au monde des vivants tandis qu'elle attendait devant le manoir - devenu d'ailleurs complètement décrépi - et elle s'élança en avant, tirant son énorme malle avec difficulté. Le chauffeur sortit pour l'aider, et même à deux, ils éprouvèrent bien de difficultés à la faire basculer dans le coffre. La Poudlardienne alla ensuite chercher Mischief l'écureuil qui attendait patiemment dans sa cage, jouant avec une noisette. Lorsqu'elle s'engouffra dans la voiture, posant la cage sur ses genoux, le chauffeur commenta d'un "Vraiment, vous les jeunes, vous avez vraiment de drôles d'animaux de compagnie..." pour ensuite faire vrombir le moteur, et lancer la machine extraordinaire sur les routes. Direction : la gare de King's Cross. Tandis qu'elle regardait à travers la vitre les maisons défiler, ses pensées se dirigèrent de nouveau vers les évènements de l'an passé. Beaucoup d'élèves étaient morts. Elle en connaissait même certains de vue. Son cœur se serra. Non, cette année sera définitivement pas pareille que les précédentes.

Mais elle ne pensait pas aussi bien dire. Le chauffeur la déposa devant la gare. Il alla lui chercher un chariot, et ensemble, ils réussirent - avec beaucoup d'ardeur - à poser la malle de la jeune fille dessus. Enfin, elle posa la cage de Mischief sur la malle, et se tourna vers le chauffeur pour payer. Malheureusement elle n'avait pas l'habitude avec l'argent moldu, et ne se rendait pas compte de ce que cela représentait, alors elle ne se rendit évidemment pas compte qu'il l'arnaquait, et elle lui donna en plus un pourboire plutôt conséquent. Mais elle était contente, elle était arrivée à bon port, et même si elle n'avait plus d'argent moldu, de toutes façons elle serait bientôt arrivée en monde sorcier. Enfin c'est ce qu'elle croyait. Car après avoir zigzagué entre les gens, et réussi à retrouver son chemin, elle fut étonnée de voir autant de monde rassemblé devant le portique du quai 9 3/4. Elle s'approcha lentement, et se rendit compte avec étonnement qu'il y avait pas mal d'élèves de Poudlard - elle en reconnaissait certains pour les avoir déjà vu, d'autre à cause des hululements de hiboux provenant des cages posées sur leurs chariots. Mais personne ne bougeait. Personne ne passait à travers le portique, et donc, personne n'allait sur la voie. Elle s'approcha lentement, sourcils haussés, et s'adressa alors à quelqu'un.

• Excuse-moi tu... Tu sais ce qu'il se passe ?

L'atmosphère était chargée. Bon nombre avait la tête baisser, les yeux croisant difficilement ceux des autres, se disant bonjour d'un sourire timide. Personne ne parlait plus fort que son voisin, n'importe quel Moldu se serait dit qu'ils allaient tous à un enterrement.
Mais non, l'hommage rendu aux morts c'était fait le dernier jour de juin. Personne n'était aller en cours se jour là, la plupart c'était rendu dehors, dans le parc, sous le soleil persistant et ils avaient fait leurs adieux aux défunts. Mais pas tous. Certains étaient restés dans leur dortoir, les rideaux de leur lit à baldaquin clos, pleurant en silence.
Emily c'était rendu aux hommages. Elle aussi avait perdu des proches, mais certainement moins proche que pour d'autres.
Lorsqu'elle était arrivée à Londres, elle avait fondu en larme, enlacé contre son amoureux Moldu. C'était l'unique et seule fois où elle avait pleuré. Son bras plâtré, elle avait passé l'été à bécoter Arnaud et à penser à autre chose. Son frère, sa sœur, son amoureux, son confident ou sa meilleure amie ne se trouvait pas parmi les victimes. Pour cause, elle n'avait ni confident, ni frère & sœur, ni véritable meilleure amie. Et son amoureux, il se trouvait dans l'autre monde.

Mais revenons au quai de la gare de King's Cross, entre les panneaux 9 et 10...
Il n'y avait pas que des cadavres sur pattes, il y avait également quelques joyeux. Extérieurement en tout cas. A l'intérieur, aucune idée mais leurs sourires francs, leurs tapes amicale et l'entrain qu'ils mettaient dans leurs voix montrait qu'ils avaient remonter la pente des récents évènements. Les hululements des chouettes & hiboux accompagnaient ses élèves remis sur pieds.

Mais se n'était pas trop cela qui l'inquiétait. Elle c'était préparer à se que l'attaque ne soit pas oublié, que jamais elle le sera. Ce qui l'interpellait le plus, c'était se que faisait une cinquantaine d'adolescents/jeunes adultes, regroupé entre deux piliers de brique, marqués du sot "quai n°9" et "quai n°10". Ils attiraient l'attention, bloquant le passage, et se baladant avec des malles antiques rehaussées de cage à oiseaux. On aurait dit une colonie de vacances, avec pour option " comment s'occuper d'un oiseau, rongeur ou félin". Ils avaient l'air fin comme cela. Ems se demandait bien se qui se passait. Elle avait évidement fait le rapprochement avec le faite que le passage ne s'ouvre pas mais dans se cas, pourquoi ne s'ouvrait-il pas ?

"Que se passe t-il ?"

La voix d'Arnaud raisonna à mes oreilles, tandis que je resserrais ma main entrelacée dans la sienne.
Détournant mon regard de mes camarades, je le posais sur mon amoureux. C'était la première fois qu'il se trouvait en compagnie d'autant de Sorciers. Compréhensif, il m'avait accompagné à la gare, me disant au revoir au dernier moment. Exactement se que nous voulions !
Adressant un sourire à une connaissance en signe de « bonjour », histoire de ne pas casser la monotonie de l’endroit, je me dirigeais, Arnaud avec moi, en direction d’un banc libre, à l’écart de la foule. Nous y installant, je glissais quelques mots à mon chéri.
« Si l’année va se dérouler comme ça, autant ne pas prendre le train. »
Arnaud me lança un regard noir. Depuis plusieurs semaines, j’avais peur de retourner à Poudlard. Même si dans mon fort intérieur, je mourrais d’envie d’y retourner, J’avais envie de rester avec Arnaud, de m’inscrire dans un établissement Moldu, et de me fondre dans la masse.
« Ne renie pas se que tu es pour moi, ou pour n’importe quoi d’autre. »
Arnaud avait été claire, lorsqu’il m’avait dis cela trois jours plus tôt.
J’ajoutais donc un sourire ironique pour bien lui faire comprendre que je blaguais. Mais lui, il est plutôt sérieux sur se sujet…

La foule se faisait de plus en plus épaisse, le portail, lui, restait inlassablement fermer, sans que quiconque n'ai une idée précise de pourquoi.

- Si j'ai bien compris, le passage est fermé ...

"Par mesure de sécurité, c'est le quai 2½ qui
vous mènera vers votre destination."

• Si j'ai bien compris, le passage est fermé ...

Ahaha la bonne blague ! Quoi ? Non ? C'est pas une blague ??! Le grand sourire qui s'était affiché en un éclair sur les jolies lèvres rosées de Winnifred, s'assoupit tout aussi rapidement. Elle regarda autour d'elle, sourcils haussés, la surprise la laissant tout à fait incapable de la moindre réaction. Elle regarda alors de nouveau la jeune fille à qui elle avait adressé la parole et qui lui avait annoncé l'affreuse nouvelle, mais cette dernière ne se préoccupait plus du tout de la grande blonde. Mais comment cela pouvait-il se faire ? Pour quelles raisons le passage était-il fermé ?! Winnifred se demanda alors si il y avait un quelconque rapport avec les évènements de l'année dernière, ou tout simplement si ce n'en serait pas les conséquences... Elle qui il y avait quelques minutes à peine traînait les pieds pour aller à Poudlard, elle se rendit compte que - même si elle espérait ne pas pouvoir y aller et retrouver son frère - dans un coin de son cœur, elle était belle et bien déçue et triste. Que ferait-elle de son année si ce n'était étudier ? Comment pourrait-elle devenir médicomage si elle n'allait pas à l'école ?

• Mais c'est quoi ce bin's ?

Et comme en réponse à ses interrogations autant extérieures qu'intérieures, un drôle de phénomène se passa. Un tas de personnes autour d'eux se mirent à farfouiller dans leurs poches, sacs, valises, besaces... à la recherche d'une chose inconnue. Winnifred remarqua que c'étaient tous des moldus, ou en tous cas en avaient-ils l'air. Et là, comme la lumière d'un phare venant au secours d'un bateau perdu, un message éclaira les élèves et parents d'élèves qui attendaient patiemment dans l'incompréhension des évènements. Il y eu un temps de battement pendant lequel tous étaient encore incertains de ce que leur présageait le panneau, mais finalement les visages s'éclaircirent à leur tour : on leur annonçait une bonne nouvelle. Enfin presque. Car Winnifred se demanda aussitôt ce qu'étaient ces 'mesures de sécurité', et pour quelles raisons avaient-elles dû être mises en place ? Mais tout venait à point à qui sait attendre, et le moment n'était pas venu de se poser des questions, mais plutôt de se diriger vers ce fameux quai 2 1/2.

Oui mais voilà. Où pouvait donc se trouver le quai 2 1/2 ? Un éclair de raisonnement lui fit comprendre que, certainement, il se trouvait entre le quai 2 et le quai 3 moldu, mais justement, où pouvaient-il bien se trouver ? La belle serdaigle regarda autour d'elle. Elle voyait quelques panneaux avec le numéro des quais 5, 6, 7 et 8, mais c'était tout. A ce moment-là, elle se maudit intérieurement de ne jamais avoir pris la peine de visiter la gare de King's Cross. Bon, c'est vrai, c'est une idée ridicule, mais comme quoi, ça aurait bien pût lui être utile. Un homme en costume bleu sombre et avec une casquette de la même couleur attira alors son regard. Pour sûr, c'était l'uniforme des employés de la gare ! Elle poussa alors son chariot, zigzaguant à nouveau entre les personnes qu'elle avait déjà ennuyé tout à l'heure et se dirigea vers lui. Mais lui, continuait évidemment tranquillement son chemin, et il s'éloignait de plus en plus. Winnifred allait le perdre de vue ! Elle se mit donc à courir, criant après lui :

• Monsieur ! Monsieur !

Mais voilà qu'elle avait pris bien trop de vitesse, et la valise qui se trouvait sur son chemin se rapprochait dangereusement vite. Elle tenta de l'éviter, mais BAOUM ! Voilà son chariot qui volait, envoyant sa grosse malle valdinguer un mètre plus loin. La cage de son écureuil alla cogner par terre, s'ouvrant dans un bruit de ferraille et Mischief en profita aussitôt. Il sautilla vers l'employé de la gare qui s'était retourné vers elle en entendant le bruit de la collision, et il grimpa le long de son corps, pour aller ensuite grignoter le bord de sa casquette. La jolie blonde, elle, était affalée par terre, sa chute ayant pour conséquence un trou dans son pantalon, et honteuse comme elle ne l'avait jamais été (ou presque), elle posa sa main droite sur ses yeux clos, le rouge ayant déjà empourpré ses joues.

Jazlynn était arriver à Londres il y avait trois jours, elle avait eu le temps d’allez acheter tout se qu’elle avait de besoin pour se rendre à Poudlard cette année mais une nervosité restait implanter en elle. Elle appréhendait plutôt mal cette année, tout se qui c’était passer dans sa tête restait collé dans son esprit et elle ne savait pas si un jours elle pourrait à nouveau être confortable en ses lieux mais aujourd’hui elle n’avait pas le choix d’y retourner. Alors elle c’était vêtut de ses vêtement les plus confortable, c'est-à-dire un jean et un t-shirt. Elle n’avait rien de semblable à la cowgirl du Texas, non elle ressemblait à une jeune étudiante qui retournait au étude. C’est parent c’était une autre histoire. Son père ressemblait au clicher que l’on se fait du Cowboy vêtu de son jean qui laissait peu de place à l’imagination et d’une blouse entrer dans son pantalon et son éternel chapeau qui ne le quittait pas Jazz était maudite. Bon c’est frère aussi avait l’air à des étudiants normaux au moins.

Elle se dirigeait vers le quais habituel mais il flottait quelque chose d’étrange dans l’air. Elle était un peu plus tard que d’habitude et elle sentait une certaine panique. Bon il est vrai que tout le monde dans cette gare avait l’air hyper occuper tout le temps mais bon la c’était différent. Quand elle arriva au quai ou habituellement elle trouvait le train elle trouva nombre des étudiants et un certain murmurre se passait qui avait fait paniquer Jazz un tout petit peu jusqu'à se que Jackson son frère murmure : « Qu’est-ce qu’il veulent dire par, Par mesure de sécurité, c'est le quai 2½ qui vous mènera vers votre destination? » Elle le regardait avec un point d’interrogation dans le front et il lui pointa le panneau ou c’était apparut. Et elle alluma immédiatement. « Trouvons le quai 2 et 3 et on trouvera ou je doit me rendre pour prendre le train »

« Heu comment tu sait sis’? »
« Heu tu as souvent vue des quai 2½ quand tu te rend à NYU? »
« Non! »
« Exactement mon point… le quai ou je doit me rendre se trouve exactement entre le deux et le trois. On trouve le deux et le trois et je devrait pouvoir passer la barrière… tu comprend mieux! »
« EH… Voila LoverBOY… ouh il à pas l’air content! »
« Quoi Jax tu veux dire quoi la? »
« Laisse faire! Cherchons ton quai! »

La famille Sparhawk dérouté c’était dirigé vers le quai en question, étant d’origine Moldu Jazz se débrouillait très bien dans les endroit réserver au moldu, et comme un de ses frère était étudiant à New-York il connaissait assez bien les gare de train et ou se trouvait des carte de ceux-ci alors ils devraient pouvoir trouver se qu’ils cherchait rapidement et puis les autres sorcier était tellement occuper ailleurs que bon elle décida de les laisser chercher seul. Que pouvait-elle faire d’autre.

(C'est ridiculement cours mais jepouvait pas pondre mieux)

Les deux frères Mcgowan escortaient leur sœur de chaque côté et gare à celui qui la tourmenterait ! Chacun d’eux posait un regard soucieux sur la cadette effacée ce jour là. Le départ de la rentrée et le retour à Poudlard allait lui rappeler plus de mauvais souvenir qu’elle n’en pouvait supporter. Le fantôme de Lily dansait au fond de ces yeux comme un souvenirs macabre. Bella refusait pourtant de laisser sa tristesse l’envahir et se forçait à la gaieté. Autour d’eux on reconnaissait et saluait la famille richissime et réputée. Saluant des connaissances par ci par là, les deux garçons ne lâchaient pourtant pas d’une semelle leur « Belly chérie ». Leur père absent pour une réunion de la « plus haute importance » n’avait même pas put être présent.
C’est Henry qui aperçut en premier le panneau et l’hurla dans toute la gare. Bella éclata de rire, c’était familial, ces deux là adoraient se faire remarquer.

- Ils ont chaaangé le quai ! Fonçez pas dans le mur !

La jeune fille n’arrivait pas même à en avoir honte, elle riait tout simplement. Beaucoup se retournèrent et peu échappèrent à l’avertissement d’Henry.

- Andrew ?
- Oui ma belle ?
- Non rien, je…

Elle caressa distraitement Hodge pendant que son frère aîné portait sa lourde valise. Il ne faisait pas spécialement beau ce jour de septembre. Bella scruta les environs : personne à sa connaissance.
Suivant la famille, elle traversa le nouveau mur sans emcombre. Arrivée de l’autre côté, elle comprit avec tristesse qu’il manquait quelque chose à ce début d’année. Lily riant, Lily et elle cherchant Peeves, Lily volant les affaires de Martin Brust, Lily qui ne rendait jamais ses livres de bibliothèques.
Ce n’est que quand Henry l’appela qu’elle se souvint que Lily était morte.

(En palant court ! J'avais trop envie de poster mais un gros manque de temps pour faire long...)

Il fut surpris quand une personne lui piqua sa cigarette, mais surtout il fut plutôt surpris de voir que cette personne était Jey, il n'avait jamais vu Jey comme une personne qui donne des leçon au autre et c'est pour cette raison qu'il c'était plus attendu a voir Mya ou encore Wendy, mais certainement pas Jey. Il lui lança un regard noir quand elle lui piqua une bouffé de sa cigarette, non mais c'est vrai pour qui elle se prenait en plus après sa elle se donnait le droit de lui faire la morale. Bon d'accord elle ne lui faisait pas vraiment la morale, mais tout de même, rien ne l'autorisait a lui piquer sa cigarette, si elle voulait comme elle dit foutre en l'air sa santé elle avait qu'a lui demandé un cigarette et puis c'est tout. Il lui repris sa cigarette des mains et se n'est qu'après sa qu'il répondit au multiple question de la Barbary.

-Alors pour répondre a tes question, je suis entrain de fumer, j'ai commencé au début de l'été et non je ne suis pas suicidaire, je suis simplement conscient du fait, que comme je suis un Potter ma duré de vie est forcément plus courte que la moyenne, alors de se fait pourquoi est-ce que je devrait me soucier de ma santé.

Il était sur le point de rajouté qu'elle pouvait également gardé son opinion pour elle surtout si on considère qu'elle est loin d'être une sainte quand il vit sa cousine Rose venir dans leur direction, rien ne l'empêchait de dire sa façon de pensé a Jey, mais il préféra tout de même ne rien rajouté. Il regarda du coin de l'œil sa cousine venir s'assoir a coté de lui et il ne dit rien. Il aurait bien tourné la tête, mais avec Jey accoté. sur son épale il avait légerement peur de la dérangé en tournant la tête. Enfin il ne dit rien a Rose parce qu'il ne savait pas vraiment quoi dire, elle semblait toujours très triste de la mort de son frère ainsi que de l'autre et franchement il ne voyait pas vraiment comment lui remonté le morale, il avait après tout pour sa part choisi la négation. Il avait choisi de ne pas y pensé, de nier les fait en quelque sort et il savait très bien que si il lui parlait il aurait forcément l'air trop de bonne humeur et qu'elle serrait forcément déçu de lui. Enfin la question de qui parlerait en premier ne resta pas en suspens très longtemps puisqu'elle finit par prendre la parole. Il ne fut pas vraiment sur de comprend le sens exact de la question que lui posa Rose, mais n'ayant pas le moins du monde envie de se cassé la tête, il choisi de prendre le sens qui lui sembla le plus évidant du au lieu ou il se trouvait.

-Bien sur que je suis prêt, on a enfin atteint l'année la plus important de notre parcourt scolaire...

Il c'était arrête un moment en se rappelant que Jey se trouvait juste a coté de lui, elle avait après tout raté son année et il se sentit un peu mal pour elle pendant quelque seconde après tout se n'était pas de sa faute si elle avait redoublé.

-Désolé Jey... enfin se que je veux dire, c'est que oui bien sur que je suis pret a recommencé l'école, pourquoi tu ne l'es pas toi??

Il regarda un petit moment sa cousine toujours du coin de l'œil attend une réponse de sa part, mais il détourna rapidement le regard, il ne savait pas exactement, mais maintenant qu'il y repensait il n'était pas vraiment sur qu'il vouait une réponse de la part de sa cousine. Il regarda la foule qui commençait de plus en plus a s'agrandir, mais il fut surpris de ne pas voir Myar et Alphonse, il était pourtant sur de les avoir vu quelque minute auparavant, mais il se dit qu'il avait du se trompé et il n'y pensa plus. Pour se qui est du message qui fut affiché annonçant le changement de gare et bien il ne le vit pas le moins du monde, en effet après avoir remarqué l'absence de la plus vielle et du plus jeune membre masculin de la famille Balck, il avait reporté son attention sur les deux demoiselle qui était assise a ses coté, ne faisait de se fait plus attention a tout se qui pouvait se passé dans le reste de la gare.

Clay arriva en retard, pour faire changement, à l’heure que ses parents adoptifs lui avait dit d’arriver. Ses nouveaux parents le détestaient tellement qu’ils avaient décidé de l’envoyé au pensionnat cette année. Le seul avantage de partie loin, c’est qu’il ne les verrait plus pendant un très long moment. Son train était prévu pour 10h38 et il arriva donc que 15 minute en avance. Pourquoi se presser ? Il jeta un bref coup d’œil au papier que lui avait remit ce qu’il devait aujourd’hui appeler père et lu pour la quatorzième fois ; 10h38, quai 11 en direction de Bristol. Il retournait dans sa ville natale, là ou ceux qu’il considérait comme ses vrais parents habitaient. Clay plia vulgairement le bout de papier et le cacha dans la poche de son jean. Puis, il prit son chariot comportant deux valises et un skate et alla-en directement du fameux quai numéro 11.

Dès qu’il passa devant le quai cinq, il put apercevoir au loin de nombreux gens attendant. Il l’est observait durant toute sa route. Et plus il avançait plus ils les distinguaient clairement. Qu’elle surprise il eut en voyant un troupeau de personne attendant le train 9 et 10. Ses deux trains devaient être en retard. Toute fois, ce qui trouva le plus étrange fut surement les hiboux en cage et les chapeaux pointus que les plus vieux portaient. Ils semblaient tous dévasté et même s’ils étaient tous ensemble, un silence de plomb circulait.

Quel bande cinglé, ils doivent sortir du cirque.

Il alla passer son chemin et leur faire dos lorsque sa planche à roulette roula sur le côté de son chariot. Rapidement il l’a reprit dans son élan et vit au même moment une forte lumière rouge venir éclairer sa planche. Il se tourna donc et vit le panneau annoncé ; Par mesure de sécurité, c'est le quai 2½ qui vous mènera vers votre destination. Il fronça alors les sourcils.

Deux et demi, c’est une blague ?

Il suivit des yeux deux étudiants qui patientaient il y a quelque seconde entre le quai 9 et 10 qui se dirigèrent vers le 1 et 2. Il décida de les suivre, après tout il avait douze minutes à tuer. Ses yeux s’écarquillèrent d’un coup en voyant la scène qui se déroulait devant lui. Les deux étudiants qu’il avait suivit ainsi que plusieurs d’autre qui les avaient suivit couru vers le mur et disparurent d’un coup. Il ouvrit et ferma rapidement les yeux, les frottas se pinça, mais sans succès, il n’arrivait pas à sortir de ce qu’il croyait être un rêve. Alors que deux sœur apparemment allaient passer à leur tour, Clay sortit de l’ombre et s’avança vers elles les arrêtaient dans leur élan.

Excusez moi, vous pouvez m’expliquer comment on fait pour passer à travers le mûr ?!

Ça y’est, c’était aujourd’hui. Le grand deuxième jour si je puis dire... La deuxième rentrée que Kendra Black allait passer à Poudlard n’allait être que des plus mouvementés. Après l’attaque de l’année dernière, il y avait de forte chance qu’une certaine tension règne dans l’école. C’est pas très marrant tout ça, d’ailleurs. Ken espérait qu’après que tout le monde se soit remis dans le bain du rythme scolaire, tout redeviendrait normal, du moins, le plus possible.

Cet été n’avait pas été des plus joyeux à la maison. Entre sa sœur aînée qui faisait une dépression nerveuse à cause de la mort de son Zeke Malfoy et l’ambiance froide qu’il régnait dans la maison, c’était vraiment pas super. Il fallait toujours faire attention à ce qu’on disait, à croire qu’on n’avait plus aucune liberté. Oui d’accord, ça se comprenait parfaitement, Mya avait perdu celui qu’elle aimait le plus au monde mais Kendy trouvait sa réaction un peu trop exagérée. Okay, ce n’était sans doute pas une situation des plus plaisantes mais il fallait tout de même relativiser. Tout le monde à Poudlard a perdu au moins quelqu’un. Même elle, elle avait perdu une amie, sa confidente en plus, une personne chère a qui elle tenait énormément. Alors bien sûr, le premier mois avait été très dur, toute sa famille faisait le deuil de quelqu’un en particulier, voire de plusieurs personnes. C’était difficile d’admettre qu’on ne reverrait plus jamais le joli minois réconfortant de ses amis, qu’on ne pourrait plus jamais leur parler et les voir sourire mais on ne pouvait pas changer le cours des choses. C’était une chose à savoir.

Évidemment, voir sa sœur dans un état si critique ne pouvait que l’attrister encore plus et la voir se décomposer d’une telle sorte en devenait presque effrayant. Kendra n’avait pas adressé une seule fois la parole à Myar tout comme l’inverse. D’habitude, My’ était toujours là pour lui redonner espoir et la consoler quand ça n’allait pas mais cet été, elle pouvait faire une croix dessus. Ses batteries étaient au plus bas niveau et l’envie de rire avait beaucoup baissé. Aujourd’hui, elle affichait une vague expression de confusion sur le visage comme bouleversée que tout le monde ne s’occupe plus que de Myar. Mais elle ne faisait aucune remarque, elle se disait que tout cela n’était qu’une question de temps. Peut-être que dans plusieurs mois, on pourrait enfin repartir sur de bonnes bases bien qu’il y avait peu de chance que tous ces évènements soient oubliés.

C’est avec un long soupir que Kendra sortit de son lit. C’est à peine si on monta dans sa chambre pour lui dire de se lever. Non bien sûr, son père était bien trop occupé avec Myar qui refusait catégoriquement de sortir de son lit. Ken fut bien heureuse de voir qu’elle avait déjà fait sa valise. Ce matin, elle n’avait vraiment pas le courage de rassembler ses affaires. Elle se passa la main dans la nuque en réfléchissant à ce qu’elle allait faire en premier. Et puis, avec un pas traînant, elle se dirigea vers la salle de bain avant que quelqu’un d’autre ne la monopolise à sa place. Quelques minutes plus tard, elle en sortit habillée, coiffée et maquillée. Elle avait l’air beaucoup plus de matin comme ça. Elle descendit dans la cuisine et prit un rapide petit déjeuner avant de remonter dans sa chambre et de vérifier qu’elle n’avait rien oublié.

Une demi-heure plus tard, elle se trouvait dans l’entrée avec tous les membres de sa famille. Les premiers à partir furent Eros et Myar, on se demande bien pourquoi... Enfin bref ! Elle, elle s’en alla en compagnie de Wendy, Alphonse était un peu plus en avant. Et c’est ainsi qu’ils débarquèrent tous à la gare en apercevant un phénomène spectaculaire. Non mais c’était excellent, un jeune venait tout juste de foncer droit dans la barrière sans réussir à la traverser ce qui produisit un vacarme énorme. Cet incident fit esquisser à la jeune blonde un léger sourire qui s’effaça rapidement en voyant Al transplaner avec Mya. Elle était dèg’. Elle aurait voulu discuter un peu avec son frère mais non, c’était trop tard, il était parti. Elle soupira et baissa la tête pour observer le sol un moment.

Vraiment pas gai comme rentrée...

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