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{_O DE POMMERY ; shut up and let me go _ 100 % |
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| Sujet: {_O DE POMMERY ; shut up and let me go _ 100 % Ven 31 Oct - 23:08 |
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PSEUSO : hindy, rin' & bouddha
ÂGE : 16 brouettes et quelques
NANA OU MEC : nana j'crois bien
TOI, TU AURAIS ÉTÉ DANS QUEL MAISON : j'ai fait un test, serpy powa 8D
OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : grâce à anna <3
AVATAR : jamie dornan <3
CODE : albert camus
Dernière édition par Oreste de Pommery le Dim 2 Nov - 13:24, édité 2 fois
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| Sujet: Re: {_O DE POMMERY ; shut up and let me go _ 100 % Sam 1 Nov - 1:34 |
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 « La société est un bal masqué où tout le monde cache son vrai caractère et le révèle en se cachant. »Ralph W. Emerson
deux. le choixpeau sait tout ;;
NOM : « Mon vrai patronyme je ne le connais pas. Mes parents adoptifs n'ont jamais voulu me révéler la véritable identité de mes géniteurs et après réflexions je ne veux même pas le connaitre. Pour moi et pour le reste du monde je suis et resterais un de Pommery, une fierté mais, aussi un calvaire. Et non, je ne suis pas le seul à porter ce nom. Ma « soeur » le porte aussi. Un véritable calvaire je vous dis ... »
PRÉNOM : « Tenez vous bien car dans ma famille, on aime faire dans l'originalité. Donc, mon prénom usuel est Oreste. Les seuls Oreste célèbres sont des martyrs, comme si le destin de toutes les personnes portant ce prénom sont vouées à souffrir toute leurs vies. Bref passons, mon deuxième prénom est le même que celui de mon père. Archibald. Histoire de me faire ressembler un peu plus à ce qui aurait dû être son vrai fils ... »
ÂGE : « Dix-sept hivers passés sur cette Terre. Déjà ... »
DATE & LIEU DE NAISSANCE : « Je n'en suis pas sûr. Mes parents m'ont toujours rabâché que j'étais né dans un hôpital moldu, tout ce qui a de plus normal, à Londres, mais même eux n'en sont pas sûrs. Mais comme personne ne peut le confirmer ni le démentir, j'aquiesse quand on me dit cela. »
SANG : « Pour ne pas déroger à la règle des de Pommery, je mens sur la soit-disante pûreté de mon sang. Je me dis sang-pur car mes parents adoptifs le sont, mais dans le fond je suis rien de moins qu'un sang-mêlé ou pire encore ... »
ORIGINE : « de Pommery n'est-ce pas un nom typiquement français ? En plein dans le mile mon grand, je suis français par mon père ainsi que par ma mère. »
Dernière édition par Oreste de Pommery le Sam 1 Nov - 23:13, édité 1 fois
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| Sujet: Re: {_O DE POMMERY ; shut up and let me go _ 100 % Sam 1 Nov - 2:13 |
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« Le moi est haïssable, mais il s'agit de celui des autres. »
Paul Valéry
trois. et toi alors.. qui es-tu ? ;;
DESCRITION PHYSIQUE :
« Avant de vouloir imposer ses idées à tout le monde, il faut déjà avoir un physique particulier. Peut-importe ce qui vous fait paraître différent, cela sera votre force. Chez moi, tout est parfait. Et c'est ça qui attire le regard. Une taille frôlant insolemment les mètres quatre-vingt cinq, une taille fine et élancée avec ce qu'il faut de muscle sans trop en faire. Une peau de porcelaine qui ne connais pas le mot soleil et s'entête à rester blanche et d'une affreuse douceur. Une visage enjoliveur, tel un ange, avec des lèvres charnues et dangereusement tentante, un nez fin et aquilin, parfait, des cheveux couleur chocolat au soleil, d'un simple brun foncé quand il pleut, mais surtout, ce qui choc et attire le plus ce sont bien sûr les yeux. Les miroirs de l'âme. Toutes vos émotions passent par le regard et quand vous êtes encore un novice, beaucoup de vos mensonges peuvent être démentis par votre simple regard. Enfin tout ça pour dire que les miens sont très expressifs. Dès ma naissance, mon père m'a dit, j'avais les yeux toujours grand ouvert, curieux de connaître mon nouveau monde. Et ils sont d'une couleur assez peu commune il faut bien l'avouer. D'un bleu extrêmement foncé, presque noir quand le temps se couvre et avec un reflet doré quand il fait un grand soleil. Je sais, je vous avais prévenu. Très peu commune comme couleur. Beaucoup de filles sont tombés dans le piège. Et quel piège ... Mais quand je parle de physique, je ne parle pas que de l'apparence proprement dîtes. Il faut aussi soigner la démarche, le port de tête, les vêtements et les manières. Ayant été élevé dans un milieu aristocratique je peux me vanter - et je ne m'en prive pas - d'avoir des manières digne d'un gentleman, un port de tête vraiment haut, toujours des vêtements impeccables, et une démarche à sublimer plus d'une. La seule chose que mes faux-parents m'ont vraiment transmis. Le charisme. Incroyable charisme. »
DESCRIPTION PSYCOLOGIQUE :
Oreste de Pommery vu par un professeur
« Bon je sais qu'en temps que professeur je ne devrais pas faire de favoritisme au niveau de mes élèves mais je dois bien avouer que ces enfants de Pommery sont vraiment incroyables. L'un comme l'autre ils ont l'air de boire mes paroles et je me sens presque gênée quand je les vois pendus à mes lèvres. Réellement. Je ne suis pas en train de dire que je suis un professeur tellement génial que tous mes élèves m'écoutent au doigt et à l'oeil. C'est plutôt le contraire si vous voulez savoir mais eux ... Ce sont de vrais perles. Autant la soeur que le frère. Toujours à poser des questions pertinantes, à renchérir sur les réflexions de l'autre. J'aime quand ils commencent leur petit débat car on sent que l'un comme l'autre à envie d'imposer son avis à l'autre mais ils ont tellement d'arguments qu'ils arrivent toujours sur un pied d'égalité. Je pense que l'un comme l'autre, même si ils ne le montrent à personne, ont beaucoup d'ambitions et je peux vous le jurer, ils iront loin. Seul ils sont capables de beaucoup de choses alors vous imaginez si un jour ils conjuguaient leurs efforts. Ils deviendraient rapidement les rois du monde vous ne pensez pas ? »
Oreste de Pommery vu par un Ravenclaw.
« Ah s'il vous plait non, ne me parlez plus de ce de Pommery de malheur. Ce mec est maudit de toute façon. Tout ceux qui se trouve près finisse un jour soit par mourir, soit par se séparer si il s'agit d'un couple - et si vous voulez mon avis, de Pommery n'est jamais très loin à ce moment là -, ou alors il arrive un grand malheur à cette personne. Ça à toujours été comme ça. Mais en plus de ça il a un caractère à la con, toujours à essayer d'avoir raison, toujours à parler de lui, à se vanter, toujours à provoquer les autres juste pour montrer qu'il est fort. Et même avec tout ces défauts, presque toute les filles lui courent après, ça franchement je comprendrai jamais pourquoi. Il a rien pour lui, mis à part peut-être son argent ! En plus de tout ça il est rancunier comme pas deux, tenez je me souviens une fois pendant une soirée friquée, un invité un peu bourré lui a renverser son verre dessus et il y a eu un grand silence. Tout le monde s'est retourné pour voir sa réaction, surtout ses parents, et il se l'ai joué cool, un peu « c'est pas grave il a pas fait exprès » enfin bref, la soirée passe et deux semaines plus tard le gars était admis aux urgences pour multiples fractures. On a jamais sut qui avait vraiment fait ça mais tout le monde avait sa petite idée là-dessus. Bon après il a peut-être pas que des défauts laissez moi réfléchir un peu. Hmm, voyons voir. Il est franc c'est peut-être un bon point non ? En fait non. J'arrive pas à lui trouver une seule qualité. Mais bon, j'avoue que jamais j'oserais me frotter à lui en personne parce que, si vous voulez vraiment savoir. Il me fout la trouille, personne ne sait vraiment ce dont il est capable pour avoir ce qu'il veut mais si vous voulez mon avis, ça peut aller très loin. En plus il a toujours papa et maman pour couvrir toutes ses gaffes alors il craint rien. Je ne comprends vraiment pas comment un gars comme ça peut être de la même famille que la magnifique Alcéanna. »
Oreste de Pommery vu une Hufflepuff.
« Oh mon dieu, si vous saviez monsieur combien ce mec est beau. Il est descendu tout net du ciel moi je vous le dis, c'est un Dieu parce que c'est impossible de faire plus parfait que lui. Quoi ? Vous ne croyez pas ? Non mais franchement regardez cette photo monsieur. Vous ne le trouvez pas simplement parfait ? Oui c'est vrai vous êtes un homme vous mais je veux dire que pour les filles Oreste est le modèle du petit-ami idéal. Grand, pas trop musclé, juste ce qu'il faut, des cheveux bruns un peu blonds par moment avec le soleil, des yeux bleus si foncés qu'on pourrait presque y voir un ciel d'orage et qui vous font frémir rien qu'en les posant sur vous, et puis ce sourire. Il illumine son visage entier et, oh mon dieu, il est encore plus beau, enfin si c'est possible d'être plus beau. Bon, vous aurez bien compris monsieur que je suis follement amoureuse de ce jeune homme comme des dizaines d'autres. Et c'est bien là le problème. Oreste est intouchable. Beaucoup on essayé d'atteindre son cœur mais aucune n'a jamais réussie. Bien sûr il s'amuse avec les autres, il les prends pour une nuit et les jette juste après, mais bon il paraît aussi que c'est un super coup alors moi je lui pardonnerai bien. D'ailleurs on ne peut rien lui refuser avec son regard et son sourire. De toute façon moi je l'ai toujours dit, Oreste soit on l'aime, soit on le déteste. On ne peut pas rester de glace près de lui, il dégage un tel charisme en plus qu'il vous emmènerai au bout de la nuit sans que vous réussissiez à vous en apercevoir. Bref, je le dirais jamais assez aussi ça, mais il est pas humain, c'est pas possible d'être aussi beau en étant un simple humain, il cache peut-être quelque chose comme sa peste de soeur. Vous savez les de Pommery sont très secrets et peu de gens savent vraiment qui ils sont vraiment et bizarrement ces personnes ne disent jamais rien de gênant à leurs sujets. Faut avouer qu'ils inspirent pas vraiment confiance quant on les voit comme ça pour la première fois. Mais un sourire suffit à vous faire fondre, surtout si c'est celui d'Oreste. »
Oreste vu par lui-même
« Pour tout le monde je ne suis que le petit Oreste Archibald, le dernier de la prestigieuse lignée des de Pommery - ce qui n'est absolument pas vrai -, au comportement un peu étrange mais tellement mignon. Gentleman, charmeur, drôle, attentif, intelligent que demander de plus ? Tout ce que vous voudrez car ce que vous désirerez je le simulerais, comme je simule ces fausses qualités. Bien sûr qu'au fond de moi je les possède mais elles ne me viennent pas naturellement. Bien sûr que non, moi je suis fourbe, malin, manipulateur et j'emploie mon sourire et mon indéniable beauté à faire souffrir les gens autour de moi. Pourquoi je fais ça ? Pour m'amuser, pour voir à quel point mon pouvoir de persuasion est puissant. Oui, j'ai déjà tout le corps enseignant dans ma poche, la moitié de Poudlard est à mes pieds et l'autre moitié pliera bientôt sous mon génie. Mégalomane j'ai entendu ? Narcissique ? Oh arrêtez, vous me flattez. Les gens sont tellement naïfs qu'ils réussissent à croire n'importe quoi, du moment que cela les flattent ou leur fait plaisir. Certaines fois, j'ai l'impression que plus le mensonge est gros, plus il est facile de le faire gober aux autres. Après tout, il suffit de trouver leur point faible et de l'exploiter. Bien sûr, j'avoue que cette manière d'agir est tout à fait déloyale et qu'elle est totalement horrible, mais que voulez-vous, je ne suis pas un de Pommery pour rien. Chez nous, c'est ainsi que cela fonctionne. On nous apprends dès petit à retenir ses émotions et à en simuler d'autre. C'est le seul moyen pour nous, de nous imposer et c'est aussi cette manière de vivre qui nous forge cette soif de pouvoir que nous ne pouvons épancher que par la manipulation. En fait pour résumer je ne suis qu'un gamin affreusement égoïste, narcissique, manipulateur et le plus beau dans tout ça c'est que personne ne voit ainsi. »
GOÛTS :
« Très bien, commençons par des choses simples. Hum ... Ma couleur préférée ? Je n'aime pas me contenter d'un seul choix, j'aime beaucoup de couleurs. Le rouge tout d'abord. Je sais pas pourquoi j'aime bien le rouge, qu'il soit sombre ou clair, je trouve qu'il représente beaucoup de chose. Tout d'abord la passion. L'amour. Le sexe. Le sang. La colère. Les tomates. Enfin tout un tas de trucs quoi, j'aime aussi beaucoup le vert, mais cette fois-ci pas n'importe quel vert. Le vert de l'émeraude. L'éclat vert d'une émeraude frappée par le soleil. C'est ce vert là que j'aime. Non, que j'adore. Très bien passons à mes hobbies à présent. Ils sont simples e très ... distrayant dirons-nous. En fait j'aime manipuler les gens. Mentir pour obtenir tout ce dont je désire. Voir comment de simples paroles peuvent engendrer tant de choses différentes. Les humains sont tellement crédules. J'aime être entouré de toute une foule de fans, tout comme j'aime certaine fois me retrouver seul pour remettre mes idées au clair. J'aime ces moments de calme, en phase avec moi-même. Ce que j'apprécie aussi c'est jouer du piano, simplement, quand je suis dans mes périodes de solutide. Enfin la sensation de voler est tout simplement grisante. Quand je suis sur un balai, j'ai l'impressoin d'être le roi du monde. C'est tout à fait le genre de sensation que j'aime ressentir. »
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| Sujet: Re: {_O DE POMMERY ; shut up and let me go _ 100 % Dim 2 Nov - 1:18 |
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Chapitre 1 : Le début de la fin
deux juillet, deux mille vingt
manoir des de Pommery
londres, angleterre
Un silence presque religieux règnait comme à son habitude dans le salon du manoir des de Pommery. Silence régulièrement briser par le cliquetis métallique des couverts en argent sur les assiettes en porcelaine. Pas un mot n'était échangé entre eux, ni même un regard. Mais c'était ainsi que se passait tous les repas des de Pommery. Ils s'installaient tous autour de la grand table en chêne, qui aurait put accueillir trois fois plus de monde, le patriarche en bout de table, sa femme à sa droite et son unique fils à sa gauche. Après s'être confortablement installés, les servantes venaient alors les servir et chacun se préoccupait de ce qui se trouvait dans son assiette sans jamais jeter un coup d'oeil à son voisin ni même lancer une remarque sur la qualité de la nourriture. Alors que les assiettes qui avaient contenues le repas du soir venaient d'être débarrassées, Elizabeth de Pommery se râcla la gorge, attirant immédiatement le regard des deux hommes de sa vie, comme elle aimait le dire. Le plus jeune arqua un sourcil devant une manière tellement indigne de sa mère tandis que le plus se mordilla la lèvre inférieure. Oreste surpris alors un échange visuel qui semblait tout signifier. Ils avaient quelque chose à lui avouer, et à voir la tête de son père, ce n'était pas quelque chose de très réjouissant.
Nouveau raclement de gorge.
LE ROI. - « Tu te souviens de cette soirée d'août Oreste ? Tu sais, le jour qui précédait ta première rentrée à Poudlard ... »
Comment oublier cette journée ?
- FLASH BACK -
trente et un août, deux mille quatorze
manoir des de Pommery
londres, angleterre
LE ROI. - « Oreste, viens avec moi s'il-te-plait, il faut que je te parle. »
L'enfant âgé de onze ans afficha une moue adorable qui reflétait à la fois l'agacement d'avoir été interrompu dans son jeu préféré mais aussi la malice, une attitude qui d'habitude lui permettait de gagner encore quelque minutes avant d'être arracher à son jouet mais aujourd'hui le patriarche n'était apparement pas d'humeur joviale. A contre-coeur, O. laissa tomber son jeu et suivit docilement son père. Après avoir passé la grande porte de son bureau, Archibald referma cette dernière derrière son fils et le petit se dirigea directement vers le grand fauteuil de cuir qui trônait devant le grand bureau sur lequel était entreposé des tas de papiers différents. Le petit fixa son regard bleu profond sur son père tandis que A. se tortillait les doigts, signe évident d'une gêne pourtant bien cacher. Le père soupira et se jeta enfin à l'eau, croisant pour la première fois de l'entrevue le regard de son fils.
LE ROI. - « J'aurais dû te le dire plus tôt Oreste, mais voilà aujourd'hui je n'ai plus vraiment le choix. A Poudlard tu rencontreras sûrement une certaine Alcéanna de Pommery. Ne t'étonnes pas de son nom, c'est ta soeur. »
Choc.
L'enfant fixa son père sans bouger pendant un long moment. Son sourire s'était évanoui et son regard était devenu grave, comme celui d'un adulte, ses perles contrastant ainsi énormément avec son visage enfantin.
LE PRINCE. - « C'est une blague ? »
A. secoua lentement la tête et O. retint sa respiration. Une soeur ? Lui ? Non. C'était un cauchemar. Une sorcière en plus. Certains aurait put être réjoui de cette perspective, pas Oreste. Lui, l'enfant et unique et gâté des de Pommery. L'unique. Aujourd'hui, il apprenait qu'il devrait partager tout son univers avec ... sa soeur ? Ses ongles se plantèrent dans les accoudoirs de cuir et ses mâchoires se crispèrent. Une sensation toute nouvelle pour le jeune garçon le saisit soudainement et l'envie de détruire quelque chose, là, maintenant, tout de suite, le prit aussi rapidement. Sa respiration devint saccadé et tandis que les minutes semblaient s'étirer, il réussi à reprendre le contrôle sur lui-même. Fermant ses yeux il se détentit lentement et malgré la vague de chaleur qui le guettait si il se mettait à repenser à la demi-soeur, il réussit à articuler.
LE PRINCE. - « Du moment que vous ne me forcez pas à l'apprécier, je pense que je n'ai rien à dire sur ce que vous avez put faire dans votre jeunesse père. Puis-je y aller ? »
Et sans même attendre la réponse du paternel, O. sauta du fauteuil et partit s'enfermer dans sa chambre, se faisant une promesse personnelle. Peut-importait la force de caractère de cette Alcéanna, il la battrait, à plate couture et cela dans n'importe quel domaine. Simplement pour rendre fier ses parents.
- FIN DU FLASH BLACK -
Le regard brûlant de O. se posa sur le visage ridé de son père et haussa un sourcil avant d'esquisser un sourire tout à fait ironique et forcé.
LE PRINCE. - « Comment oublier cette magnifique journée ? »
Avec un geste gracieux et tout à fait naturel, O. s'empara du verre à pied devant lui et le porta à ses lèvres. L'eau glacée descendit lentement dans sa gorge mais même le liquide froid ne réussi pas à atténuer le feu qui brûlait en lui à chaque fois qu'il repensait à A.
LA REINE. - « Ton père et moi avons décider d'inviter Alcéanna, ici, pendant les vacances. »
Alors qu'il allait reposer son verre, O. stoppa tout geste et de nouveau, comme il y a six ans, sa respiration se coupa et la vague de chaleur l'envahit d'un coup. Ses mains se refermèrent de nouveau sans qu'il ne s'en rende vraiment compte et tandis que le silence prenait place dans le salon, un bruit de verre cassé retentit et fit sursauter les deux de Pommery seniors. Le jeune homme se leva d'un bond, sa chaise se renversant par la même occasion.
LE PRINCE. - « Vous avez fait quoi ? »
LA REINE. - « Oh mon Dieu, Oreste ! Tu saignes ! »
LE PRINCE. - « NE CHANGES PAS DE SUJET ! Vous avez osez l'inviter sous notre toit ? »
LA REINE. - « Il faut soigner ça ! Tu as un morceau de verre dans la main ! »
LE PRINCE. - « Cette bâtarde ne mettras pas un pied ici ! »
LE ROI. - « CA SUFFIT ORESTE ! »
Archibald se leva à son tour faisaint ainsi face à son fils. La seule personne possédant un minimum d'autorité sur ce dernier, il le toisa d'un regard noir et O. pinça les lèvres.
LE ROI. - « Elle a beau ne pas avoir été élevée parmis nous, elle reste quand même ma fille et je ne suppporterais pas qu'on l'insulte de cette manière. »
LE PRINCE. - « Très bien. »
D'un geste rageur, il retira le morceau de verre coincé dans la paume de sa main et le balança par terre. Toisant ses deux parents, il se dirigea vers la sortie de l'immense salon et avant de franchir les portes de ce dernier, il cracha, la mâchoire crispée.
LE PRINCE. - « Mais ne comptez pas sur moi pour l'accueillir avec un grand sourire et d'être poli avec elle. J'accepte qu'elle vienne, pas qu'elle se plaise ici. »
Et enfin il partit. Le début de l'enfer vient tout juste de commencer mon cher O. Si tu savais ce qui t'attends ....
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| Sujet: Re: {_O DE POMMERY ; shut up and let me go _ 100 % Dim 2 Nov - 13:15 |
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Chapitre 2 : It's a wild world darling.
trois juillet, deux mille vingt
manoir des de Pommery
londres, angleterre
Huit heures et deux minutes. Le jeune homme fixait la grosse pendule accrochée sur le mur blanc cassé de la cuisine. Plus que vingt-huit minutes et le véritable calvaire allait commencer. O. n'avait pas réussi à fermer l'oeil de la nuit après la joyeuse surprise que ses parents avaient décidés de lui offrir. Non seulement il allait devoir passer deux mois entier à supporter la seule personne dont le simple prénom lui donnait envie de tout détruire autour de lui, mais en plus il n'avait même pas eu le temps de s'y préparer.
- FLASH BACK -
deux juillet, deux mille vingt
manoir des de Pommery
londres, angleterre
Un timide coup à la porte se fis entendre dans la chambre enfin calme du jeune homme. Sa mère poussa tout aussi discrètement la porte et lui demanda d'une voix douce si elle pouvait entrer. Aucune réponse. De toute façon, quelque soit la réponse, Elizabeth de Pommery n'allait pas se gêner pour entrer dans l'antre de son fils. Elle n'avait jamais de ce genre de femme qui baisse les yeux quand on la toise du regard, ni de celle qui laisse leurs maris les commander. Non, c'était une femme forte qui faisait tout pour atteindre ses buts et c'est pour cette qualité là que O. la respectait et l'aimait autant.
Même si elle ne fit aucunes reflexions sur l'état de la chambre du jeune homme, le regard inquiet qui balaya la pièce complètement sans dessus-dessous n'échappa pas à O. Ce dernier était assis en tailleur sur son lit et fixait le vide, loin, très loin devant lui. D'un pas léger, E. s'assit tout près de son fils et posa sa main fraîche et fine sur l'avant de O. Ce dernier releva enfin le regard vers sa génitrice et soupira.
LE PRINCE. - « Mère ... Faut-il vraiment que je reste ? Vous savez, ce ne serait pas la première fois que je reste pour les vacances chez Edward. Ses parents m'apprécient plutôt bien et il n'y aurait aucun problèmes pour eux j'en suis sûr. Je ne veux pas gâcher vos vacances, ni à père, ni à vous, en étant sans cesse de mauvaise humeur. »
Mensonge.
O. n'en avait rien à faire de gâcher ou non les vacances de ses parents. Tout ce qu'il ne voulait pas, c'était passer deux mois entiers à voir le visage de sa pire ennemie, tous les jours. Vivre vingt quatre heures sur vingt quatre avec elle, c'était pire que l'enfer.
LA REINE. - « Oh ... Oreste ... »
Il avait gagné. Il sentait au ton que prenais sa mère qu'elle lui donnerais tout ce qui pourrais lui faire plaisir en ce moment même. Désillution. Une claque, plutôt caresse que claque, atterit sur sa joue tandis que le visage d'Elizabeth s'illuminait d'une flamme enfantine.
LA REINE. - « Ton petit cinéma ne marche pas sur moi. Tu es mon enfant, je sais très bien quand tu me mens. Maintenant tu vas m'écouter. C'est moi qui ai demandé à ton père d'inviter cette petite chez nous. Je voulais connaître cet enfant qui n'es pas le mien mais qui fait tout de même partie de notre vie. Tu sais, c'est aussi très dur pour moi, peut-être pas autant que pour toi mais ne rends pas ça plus compliqué que ça l'ait déjà. Je ne te demande pas d'être tout mielleux avec elle. Juste ... de ne pas la tuer. »
Un petit rire cristallin s'échappa de la bouche de la femme et malgré tout les efforts qu'il déployait pour ne pas sourire, O. ne put s'en empêcher et esquissa un très bref sourire.
LE PRINCE. - « Va falloit cacher tous les objets précieux de la maison si tu veux pas que je me défoule dessus par contre. »
Après un dernier sourire échangé et un bandage à la main plus tard, E. était partie mais O. n'avait pas trouver le sommeil salvateur et avait passé sa nuit à penser à A. Quelle nuit ...
- FIN DU FLASH BACK -
dix juillet, deux mille vingt
manoir des de Pommery
londres, angleterre
Une semaine. Une éternelle et simple semaine s'était écoulée depuis l'arrivée de l'ouragan Alcéanna. Mais contrairement à ce que tous auraient put croire, la cohabitation ne se relevait pas si difficile. Mis à part pendant les repas, les deux étudiants évitaient de se croiser dans la maison et tout se passait relativement bien. Aucuns mots n'étaient échangés, et si cela continuait ainsi, les deux mois de vacances allaient en fait passer assez rapidement.
Deux heures et trente sept minutes. O. se retourna une nouvelle fois dans son lit, beaucoup trop grand pour lui seul. Du revers de la main, le jeune homme essuya son front tandis qu'une goutte de sueur s'amusait à couler le long de sa nuque pour finir, absorber par les draps. Ses yeux se posèrent sur son réveil et à présent tout à fait réveiller, il ne lui fallut que quelques minutes pour se rendre compte qu'il avait plus que soif et qu'il était grand temps d'aller se réhydrater. Tel un félin, O. se faufila dans les couloirs du manoir et rapidement arriva dans la cuisine. Un sourcil froncé, il passa la porte et automatiquement ses mâchoires se crispèrent. En face de lui se tenait l'abominable demi-soeur. Simplement vêtue d'une nuisette de soie verte aux contours de dentelles noirs ainsi que d'une robe de chambre, en soie elle aussi, mais complètement inutile car la jeune femme l'avait complètement laissée ouverte. Une vague de chaleur enveloppa O. Différentes des autres vague de haine qu'il avait put ressentir mais avec toujours cette pointe d'animosité au fond de lui. Détâchant son regard de A. il se dirigea automatiquement vers l'évier et attrapa le premier verre qui lui tomba sous la main. De l'eau froide. Il descendit le verre aussi rapidement qu'il l'avait rempli et l'instant d'après, O. était déjà de retour dans les couloirs. Alors qu'il passait devant le bureau de son géniteur, de la lumière sous la porte le fit ralentir. Des voix le fit s'arrêter.
LA REINE. - « Qui était-ce ? »
LE ROI. - « Personne. »
LA REINE. - « Bien sûr, qu'elle idée ai-je encore eue. Personne n'était au bout du fil et tu as discuté avec personne pendant plus d'une demi-heure. A deux heures du matin ... Qui était-ce ? »
LE ROI. - « C'était simplement une vieille amie dont je n'avais pas eu de nouvelles depuis bien longtemps. »
LA REINE. - « Ben voyons ! Je sais que tu me mens Archilbald ! C'est encore une autre Bulter ! Tu peux me le dire si tu as engrosser une autre moldue, une de plus ou une moins qu'est-ce que ça peut changer hein ? »
LE ROI. - « Ce n'est pas une raison pour me parler sur ce ton. Ce n'est pas de ma faute si je suis marié à une sorcière stérile ! Cela doit être dur quand même de voir qu'une simple moldue est capable de faire naturellement ce que toi tu es incapable de faire. »
LA REINE. - « Espèce de salop ! Tu oublies notre fils ! »
LE ROI. - « Oh arrête un peu avec cette comédie je t'en prie ! Tu sais très bien que nous n'avons aucun lien avec cet enfant. Nous l'avons adopter simplement parce que tu es incapable d'enfanter ! Arrête de toujours rejeter la faute sur moi ! »
LA REINE. - « Et sur qui vais-je ... »
Et la dispute continua mais les mots n'atteignait plus le cerveau de O. Seuls résonnaient dans sa tête la phrase. « Nous l'avons adopter » Alors comme ça ... Il n'était pas un de Pommery ? Jamais il ne l'avait été et jamais il ne serais. Comme lors de ces petites crises de rage, sa respiration devint saccadée et il dut se rattraper au mur face à lui car ses jambes ne voulait plus le porter comme elles devaient le faire. Malgré le terrible choc que venait de lui causer cette nouvelle, O. réussit à se ressaisir rapidement. Après tout qui était au courant de cette situation mis à part ses faux-parents et lui ? Un bruit de pas attira son attention et tandis que son coeur bondissait dans son poitrine son regard rencontra l'émeraude d'Anna. Avait-elle, elle aussi, tout entendu ? Aux vues de sa réaction, ou plutôt son manque de réaction, oui. La main du jeune homme se transforma en poing. Et Merde. Alors que lui restait planté face au mur, la jeune femme le contourna, les yeux perdus dans le vague et passa à côté de lui sans même une pique cynique. Il savait qu'il devait faire quelque chose. Mais quoi ? Que pouvait-il dire ? Que ce n'était pas vrai ? Qu'il parlait de quelqu'un d'autre ? N'importe quoi. Rassemblant ses esprits, il reprit le contrôle de ses jambes et partit à la suite de A. Il la retrouva dans sa chambre, immobile au milieu de la grande pièce, dos à lui. Il resta alors planté à son tour dans l'encadrement de la porte puis soudain les épaules de la jeune femme se mirent à trembler et O. pencha légèrement la tête sur le côté. Il entendit un rire étouffé et puis un :
L'ERREUR. - « Adopté ... »
La vague de chaleur repris immédiatement sa place. Les mâchoires serrées, les bras collés le long du corps, il ne bougeait pas l'ombre d'un pouce.
LE PRINCE. - « On peut savoir ce qui te fait rire ? »
L'ERREUR. - « Toi ... Toi et ta soi-disante famille parfaite ... »
Et puis l'abominable demi-soeur éclata franchement de rire ce qui ne fit qu'acccroître la haine qui déferlait en O. D'un bond il fut sur elle, et la saisissant brutalement par la gorge il la plaqua contre le mur de la chambre. Il lui était tellement facile de serrer un peu plus ses doigts sur ce cou si fragile. De l'empêcher de respirer pendants quelques instants et ça en serait finit de toute cette haine. Son monde serait tellement meilleur sans Elle. Et pourtant, quand il croisa son regard cristal il ne put agir en conséquence. Il avait trop besoin d'elle. C'était vraiment tordu comme situation. Il pourrait la faire disparaître en quelques minutes seulement et pourtant, il ne pourrait vivre toute une vie sans elle. Lentement l'étau de sa main se desserra et son corps se rapprocha presque de lui-même contre celui de la jeune femme. Il frissona à ce contact. Alors qu'il commençait à pencher son visage presque de celui de A., les mains de cette dernière se posèrent sur son torse et essaya de se dégager de son emprise. Mais elle n'avait aucune chance. Il était plus grand et plus fort qu'elle et ce n'était pas avec ces petites mains blanches qu'elle allait s'échapper. Enfermant ses poignets dans ses immenses mains, il les bloqua au-dessus de la tête de A. d'une seule main tandis que l'autre s'aventurait sur la taille de la jeune femme, descendant lentement sur sa hanche, puis sur sa cuisse, puis la fit passer derrière son genou pour ramener la jambe de A. près de sa taille. Ses lèvres en profitaient pour s'écraser contre celle de la de Pommery. Sans douceur aucune, ni sentiments. Juste de la passion et de la haine. Il avait envie de lui faire mal tout en lui faisait du bien en même temps. Très, peut-être trop tordu comme situation. Alors que sa main repartait dans le chemin inverse, relevant par la même occasion la fine chemise de nuit, un gémissent déchirant sortie de la gorge de A. Ce n'était pas un gémissent de rage, ni de plaisir. C'était ... De la pitié presque ... Reculant de quelques pas, il lâcha la jeune femme et lui jeta un coup d'oeil critique avant de partir sans un mot, le sourire aux lèvres.
Il était un de Pommery, même si dans le sang il n'y avait rien pour le confirmer, mais il savait qu'au fond de lui, il avait ce qu'il fallait pour devenir la digne descendanse de son père. Mieux que la véritable héritière. Mieux qu'Elle.
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| Sujet: Re: {_O DE POMMERY ; shut up and let me go _ 100 % Dim 2 Nov - 13:24 |
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questionnaire
Quel est votre prénom ?
Que choisiriez vous entre: Bièraubeurre, Whisky Purfeu, Liquide inconnu et Jus de citrouille ?
Quel est selon vous la meilleur des qualités ? Gentillesse, Courage, Intelligence et Popularité.
Et le pire des défauts ? Arrogance, Méchanceté, Flemmardise et Bêtise.
Vous préférez oui ou non ?
Non, la plus part du temps.
La meilleure place dans une salle de classe. Au fond, au millieu, près de la fenêtre, au 1er rang...
Au fond, près de la fenêtre. Après cela dépant aussi du cours.
Quel es votre animal de compagnie ou celui que vous voudriez avoir ?
Je possède un chat. Un chat tout simmplement blanc avec une tâche noire sur l'oeil et sur le cou.
Et son petit nom ?
Si vous deviez prendre la décision de votre vie, vous demanderiez conseil a: personne, mes ami(e)s, ma famille, une personne responsable.
Personne, j'aime mon indépendance.
Votre dessert préféré ? Tarte a la Rhubarbe, Eclair au chocolat, Beignet à la confiture ou Pièce Monté a la crème.
Savez-vous que la gourmandise est l'un des sept pêchés capitaux ? Et bien je suis atteint de ce pêché. Donc, les quatre sûrement.
Quel était la couleur de votre premier dragées surprise de Bertie Crochue ?
Orangé jaune il me semble.
Vous pensiez que c'était quel parfum ?
Et en fait vous avez eu ?
Carotte. Avec un arrière goût de chou-fleur.
Vous êtes plus sport ou intellect ?
Les deux. J'aime le sport autant que les études.
Et pour finir... si la guerre devait arrivé, choisissez une personne avec qui vous voudriez passer la soirée.
Etant une personne plutôt prudente, je me mettrais forcément du côté des gens qui ont le plus de chance de remporter la victoire, donc, personne vu que je m'en sortirais indemne.
FINISH =)
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Choixpeau
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•• Multinicks : je suis personne et tout le monde.
•• Crédit : petite prune
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| Sujet: Re: {_O DE POMMERY ; shut up and let me go _ 100 % Dim 2 Nov - 17:04 |
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après mûre réflexion, déblatage avec les différentes partie de ton âme et de tes pensées, j'ai la joie de t'accueillir dans la maison Serpentard. Cette maison est depuis des millénaire le repère des gents intelligent, ambitieux, mais aussi et surtout des gens révolutionnaire. Entrer dans cette prestigieuse maison n'est pas toujours accepté, et les rivalité iront bon train, mais qui d'autre qu'Serpy pourrait les relever mieux que personne ! Ainsi donc, bienvenue dans l'illustre maison de Salazar Serpentard.
Le Choixpeau,
l'infinie de ton esprit m'es ouvert pour ton plus grand bien...
VALIDE
Bon jeu parmis nous ^^
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| Sujet: Re: {_O DE POMMERY ; shut up and let me go _ 100 % |
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{_O DE POMMERY ; shut up and let me go _ 100 % |
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