{ ABBIE ` signal fire }

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« ABBIGAIL KEACHIE GREEN »

Découvrez Snow Patrol!

un. avant toute chose ;;

PSEUSO :

Undee, Dee' ...

ÂGE :

18 ans

NANA OU MEC :

Une nana théoriquement !

TOI, TU AURAIS ÉTÉ DANS QUEL MAISON :

Serp' ^^

OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM :

Par Adore Me < 3

AVATAR :

Jessica Stroup < 3

CODE :

Albert Camus

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deux. le choixpeau sait tout ;;

NOM : ` Green. Un nom de famille purement anglais dont elle a hérité lorsque Monsieur & Madame Green sont venus la chercher à l'orphelinat alors qu'elle n'était âgée que de seulement sept ans. Son véritable nom de famille a des consonances irlandaises et il s'agit de celui de son père biologique : « Silvestry ». Père qu'elle a connu tardivement avec sa nouvelle femme, sa véritable mère étant décédée en donnant la vie à Abbigail.

PRÉNOM : ` Abbigail. Elle n'affectionne pas énormément son prénom qu'elle trouve vieux jeu et surtout tellement peu agréable à prononcer, voila pourquoi elle préfère qu'on l'appelle Abbie. Son prénom serait une des dernières volontés de sa véritable mère avant de mourir, aussi son père avant de l'abandonner à l'orphelinat l'a baptisé Abbigail, et lorsque les Greens' sont venus l'adopter, elle était bien trop vieille pour changer, et surtout bien trop habituée. Keachie, c'est le prénom de sa grand-mère maternelle adoptive décédée quelques jours après que les Greens' aient adoptés Abbigail. Elle porte donc ce deuxième prénom pour des raisons purement sentimentales.

ÂGE : ` Abbigail a 16 ans.

DATE & LIEU DE NAISSANCE : ` Abbigail a vu le jour par une belle soirée d'hiver dans une clinique moldue irlandaise le 12 Décembre 2005.

SANG : ` Abbigail appartient à une famille de sang-pure bien qu'elle ait été adoptée par une famille de moldue.

ORIGINE : ` Elle ne connait ses véritables origines que depuis peu : en effet son père biologique serait irlandais et sa défunte mère biologique serait suédoise. Pourtant bien qu'elle soit née en Irlande, Abbigail aime se considérer anglaise puisqu'elle vit à Londres depuis qu'elle a quitté l'orphelinat, c'est-à-dire depuis qu'elle a six ans.

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trois. et toi alors.. qui es-tu ? ;;

DESCRIPTION PHYSIQUE :

Abbie, outre peut-être un charme certain, se fond totalement dans la masse des autres filles. En effet la demoiselle du haut de ses seize ans n'a pas le physique d'une de ces blondes bien faites, elle fait même un peu « planche à pain ». Plutôt grande, fine et mince elle fait un peu squelettique à voir vu que la taille de son bonnet de soutien-gorge ne doit pas dépasser les B et qu'elle n'a pas la carrure d'une sportive qui entretient sa forme. Pourtant même si elle n'a pas particulièrement été gâtée par la nature à ce niveau là, il faut quand même avouer qu'elle a hérité d'une belle paire de yeux bleus très clairs qui lui donne un charme fou qu'elle tiendrait de sa mère biologique. Deux yeux bleus pénétrants et pleins de malice dont elle accentue la couleur avec une couche de crayon noire. Enfin ses yeux ne sont pas le seuls attraits qui lui donne ce côté charismatique. En effet sur son visage se dessine de très nombreuses tâches de rousseur qui pourraient certainement « faire tâche » sur une autre fille mais pas sur Abbie ! Elle lui donne un petit côté enfantin et ses deux pommettes accentuent ce côté capricieux innée chez elle. Car le visage de la jeune fille est l'une des rares choses bien dessiné chez elle. Un visage ovale aux traits et aux contours fins, une peau nette et lisse du haut de ses seize ans, des yeux finement dessinés, des lèvres pulpeuses, des sourcils nets, et un nez bien centré ni trop long ni trop court. Voici l'une des rares choses dont la jeune fille est fière. Quand à ses cheveux, ils ont une couleur plutôt particulière, ils sont brun-auburn, donc ils possèdent une légère teinte rousse, ce qui explique ses tâches de rousseur. Il sont longs et nettement ondulés aux pointes mais lisses aux racines. Elle les coiffe très souvent mais les laisse toujours détaché. Au niveau vestimentaire, Abbie adopte un style un peu rock mais avec une touche classique qui montre une certaine distinction de sa part.

DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE :

Oreste & Alcéanna De Pommery ©

Un professeur :

« Une des premières choses qui m'a frappé chez Abbigail c'est cette distance, cette distance peu commune qu'elle entretenait vis-à-vis de moi mais aussi vis-à-vis des autres élèves. Un calme froid et singulier se dégageait du moindre de ses gestes, du moindre de ses regards, et du moindre de ses mots. Elle semblait toujours absente lorsque je parlais, comme si tout ce qui ce qui gravitait autour d'elle n'existait plus, elle semblait être dans un autre monde. Une rêveuse ... C'est ainsi que je l'ai qualifié après plusieurs cours. Pourtant elle n'était pas si absente que je me l'étais imaginée, à chacune de mes interrogations qui semblaient poser des difficultés aux autres élèves elle intervenait. C'était souvent une prise de parole assidue mais très souvent emplie de sarcasmes, mon esprit traduisait une certaine forme d'arrogance face à ses interventions pourtant très pertinentes. Aussi je l'ai longtemps cru hautaine et je définissais son comportement « étrange » par un état de nécessité pour refouler sans doute un passé trop douloureux. Un passé auquel je ne me suis jamais intéressée sûrement parce qu'elle ne m'aurait pas donné l'occasion de le faire ce que j'aurais parfaitement compris. Après tout nous n'entretenions que des relations purement platoniques : élève / professeur. Il m'est arrivée une fois de lui parler en dehors des cours, et je l'ai trouvé beaucoup plus présente et surtout beaucoup plus terre à terre que dans mes cours. Elle était totalement différente à vrai dire, ce qui m'a d'ailleurs étonnement surprise. Certes elle avait toujours cette forme de prétention dans sa manière d'être, mais elle était beaucoup moins éteinte qu'en cours. Elle avait toujours son lot de bizarrerie qui l'a distinguait des autres filles mais elle m'apparaissait sous un jour nouveau. Je vous l'avoue aujourd'hui, Abbigail est l'une des élèves que j'ai préféré au cours de mes nombreuses années d'enseignement, pour la simple et bonne raison que cette jeune fille est un véritable mystère à mes yeux. »

Une Ravenclaw :

« Abbie ? Qui s'y frotte s'y pique ! Voila mon seul conseil. Plus sérieusement Abbie a une belle gueule, je ne mâche pas mes mots, une brunette-auburn naturelle aux yeux d'un bleu clair océan ça ne court pas les rues, et forcément on s'autoriserait à la croire douce et affectueuse, pourtant ne vous y trompez pas, moi je sais comment elle est. Et la face d'ange ce n'est vraiment qu'une façade qu'elle aime se donner. Car je peux vous le dire elle est capable du meilleur mais surtout et essentiellement du pire. J'ai entendu dire qu'elle avait poussé une fille dans les escaliers du deuxième étage parce que celle-ci se serait moquée d'elle en parlant de sa famille. J'ai pensé que c'était une rumeur mais lorsque j'ai vu cette pauvre fille à l'infirmerie j'ai compris que Abbie l'avait vraiment fait. Je critique peut-être mais j'avoue avoir passé de bons moments avec elle. Certes Abbie n'est pas ce qu'on peut appeler une amie normale, pour elle l'amitié c'est passager et jamais vous ne la verrez se soucier de quelqu'un, il y aura sans doute des exceptions mais la seule chose qui comptera toujours à ses yeux, c'est elle-même. Moi je pense qu'elle a eu un problème avec son père. Je suis moldue c'est pour ça que je dis ça, tous les psychologues moldus diront que le problème vient du père, allez savoir pourquoi mais je crois que dans le cas de Abbie c'est bel et bien ça. Enfin son père on s'en fiche en l'occurrence. Elle et moi on a sympathisé parce qu'on était au même cours de potions, et pourtant même si je suis à Serdaigle j'avoue que cette matière m'a toujours donné du fil à retordre or pour Abbie ça semblait être une véritable partie de plaisir, alors je lui ai demandé de m'aider mais elle a refusé prétextant qu'elle n'avait pas que ça à faire. Le fait est que le ton est monté entre-nous pendant le cours et le prof a finit par nous coller toutes les deux en nous forçant à refaire la potion de ce cours-ci. Après quelques engueulades nous nous sommes mises d'accord, enfin elle a fixé ses règles moi je n'ai fait qu'approuver, et nous avons finis la potion ensemble et obtenu une excellente note. Aujourd'hui nous sommes en bons termes. »

Une Hufflepuff :

« Cette fille c'est une malade ! Une peste en puissance, une idiote parano' surmontée d'une immonde sal*pe. Je la déteste c'est simple ! Je vais vous dire, je ne sais pas ce qui me retiens de lui en mettre une à celle-là, si je sais, c'est peut-être à cause du fait qu'elle a toujours été meilleure que moi dans tous les domaines, mais un jour je me vengerais. A cause de ses sauts d'humeur j'ai raté la soirée d'Halloween et j'ai passé deux nuits à l'infirmerie parce que je m'étais foulée la cheville et que j'étais couverte d'hématomes, tout ça parce qu'elle m'a poussé dans les escaliers parce que j'aurais soi-disant dit quelque chose qui ne lui aurait pas plu. C'est pas de ma faute à moi si elle a une vie et une famille de me*de, on ne peut pas tous être parfait, évidemment j'aurais peut-être du retenir mes mots ou me montrer plus subtile mais je n'ai pas su le faire. Mais ce qui m'a énervé encore plus c'est qu'elle m'ait poussé par derrière ! Quel courage franchement ! Et dire que je pensais qu'on était amies ! En faite je n'ai jamais compté à ses yeux, je n'ai toujours été qu'un simple bouche-trou, une présence pour passer le temps. Selon ses mots je ne suis qu'une « nunuche complètement naïve qui ferait mieux de réfléchir avant de parler » et bien peut-être mais moi au moins mon père n'est pas un salop qui m'a abandonné à la naissance !! Comment je l'ai su ? C'est tellement simple, elle a malencontreusement perdue une de ses lettres lorsqu'elle montait à la volière, j'ignore à qui elle était destinée mais je n'ai pas pu m'empêcher de la lire, voila comment j'ai su. En même temps qui voudrait d'elle ? Une fille sans cœur, méchante et stupide, c'est tout ce qu'elle est, tu m'étonnes que son père l'ait abandonné. »

Un Gryffindor :

« Abbie ? Elle est cool ! Et puis mignonne par-dessus le marché. Mais beaucoup trop caractérielle pour moi. Tout ce qui est compliqué, ce n'est vraiment pas pour moi. Pourtant je suis sûre qu'on aurait fait un couple d'enfer enfin si elle avait bien voulue de moi, je crois qu'au fond je n'ai jamais été à la hauteur de ce qu'elle espérait, en vérité je ne sais même pas ce qu'elle espère et surtout ce qu'elle désire. Je crois qu'elle ne sait pas ce qu'elle veut, c'est peut-être pour ça qu'elle est aussi intriguante et attirante à la fois. Et puis dans le genre lunatique, je voudrais Abbie s'il vous plait ! C'est pour ça qu'entre-elle et moi ça a souvent dégénéré, on est tous les deux fiers, bornés et très caractériels, mais je crois qu'elle est pire que moi. En plus j'ai souvent l'impression qu'elle a un coeur de pierre, évidemment ce n'est qu'une impression, après tout je ne suis pas dans sa tête ni dans son coeur mais j'avoue que parfois certains de ses propos me font peur. Et puis j'ai appris pour cette Poufsouffle, une fâcheuse histoire je vous l'accorde, mais cette Poufsouffle est comme qui dirait quelqu'un de très peu intelligent contrairement à mon Abbie, et forcément la nunuche avait toujours tendance à énerver Abbie. Et puis Abbie, que ce soit en face ou par derrière elle n'hésite pas à faire des coups bas du moment que ça la soulage. C'est pour ça que je m'en méfie par moment, car autant elle peut sembler être un ange autant elle peut-être une fine calculatrice prête à faire beaucoup de choses pour s'assurer son confort et donc pour avoir la paix. En plus elle ne tourne pas sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler, elle va directement au problème et ne met pas longtemps à exprimer son opinion qu'elle soit bonne ou mauvaise. En faite elle s'en fiche de blesser les gens. Mais enfin j'ai tout de même fondu pour ce sourire ravageur, que voulez-vous je suis un grand sentimental ! »

« Une chose qu'il me faut absolument préciser, c'est que beaucoup de gens me connaissent mais très peu savent vraiment qui je suis. Alors je suis spéciale, ce n'est pas une nouvelle, j'ai mon lot de bizarrerie comme tout le monde. Je suis très caractérielle dans le sens ou je suis très pointilleuse sur mes idées et que je déteste qu'on me marche sur les pieds ou qu'on me manque de respect. Et lorsque c'est le cas, je vous avoue que je peux employer des méthodes peu orthodoxes pour me venger, car même si la vengeance est un plat qui se mange froid, je ne me prive pas de faire payer à ceux et celles qui ont trop voulu me croire gentille. Il ne faut pas abuser de la gentillesse des gens, ou dans mon cas ce serait plutôt ne pas me faire perdre trop de temps en balivernes. Je ne suis pas une grande bavarde, je m'exprime évidemment, mais je ne suis pas comme l'autre nunuche qui jacte sans arrêt comme une espèce de poule sans même réfléchir à ce qu'elle dit, au moins moi je réfléchis avant de dire quelque chose, certes on a souvent l'impression que je ne me prend vraiment pas pour de la m*rde quand c'est le cas et j'avoue que je ne peux m'empêcher d'exprimer une certaine forme de prétention dans mes actes, mais c'est totalement naturel chez moi. En cours je me débrouille bien, même si je donne l'air d'être ailleurs, je suis plutôt attentive, mais si je pouvais m'en passer je ne m'en priverais pas, mais j'ai toujours obtenu de bonnes notes, mais je n'irais pas bosser à la bibliothèque pour essayer d'être encore meilleure ça c'est sur ! Il parait que je suis une petite maligne, et je crois que c'est vrai, je n'en joue pas toujours mais il m'arrive par moment de le faire. Vu comment je me décris je semble être vraiment insupportable et pourtant moi je me trouve plutôt sympathique. C'est vrai : je suis souvent volontaire pour organiser des choses tant que ça ne me gonfle pas trop, je n'envoies bouler les gens que très rarement, c'est vrai on ne peut pas me demander d'être sociable et gentille à la fois, ce serait trop d'un coup. J'avoue que mon ambition me pose souvent des problèmes pour m'intégrer mais qu'est-ce que je m'en fiche ! L'ambition est une qualité selon moi, elle permet de réussir dans la vie et ceux qui n'en ont pas sont voués à toujours échouer. Enfin sinon je suis plutôt calme, ce que je veux dire c'est que vous ne me verrez jamais sauté partout comme une furie parce que un tel m'aura fait un compliment alors ça non franchement je ne pourrais pas. Je suis bien trop terre à terre pour être aussi naïve que certaines de ses filles qui croit encore que le Prince Charmant va venir les chercher. »

GOÛTS :

Ce qu'il faut savoir, c'est que caractériellement je suis différente des autres filles mais au niveau goût je suis encore pire. Je ne suis pas maquillage et vêtements comme beaucoup de filles. Je hais tout ce qui est superficiel et superflu. Je déteste les gens trop gentils et surtout trop bonne poire. Et je ne supporte pas non plus les gens trop collants et les gens trop bavards. Autant dire que je suis bien difficile. Mes loisirs ? Marcher, oui parce que courir ce serait trop dur pour moi. Par contre au niveau sport moldu, je suis passionnée des sports d'hiver, oui la neige et moi on s'entend bien, on est aussi froide l'une que l'autre. Le Quidditch, là je ne peux que m'incliner pour dire que je suis comme les autres ! Mais moi comme j'ai souvent besoin d'évacuer mes colères et mes angoisses je suis meilleure en tant que batteur sinon je préfère hurler dans les gradins pour soutenir mon équipe. Le seul talent que je possède c'est le dessin, j'ai toujours été douée pour dessiner, selon mes parents moldus adoptifs avant qu'il ne sache la vérité sur mes origines magiques, j'aurais pu faire une grande école d'art. J'avoue que ça ne m'aurait pas forcément déplu. Maintenant ... je ne sais pas trop ce que je veux faire, peut-être une carrière juridique ? Il parait qu'il faut se montrer ferme et impartial, ce qui est mon cas !

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quatre. one life, happy life ;;

« Le 13 Juin 2010 à Londres
Pourquoi tu t'en vas ? »

ABBIE - « On va où Papa ? »

Leighton continuait d'être silencieux. Il tenait fermement la main de sa fille seulement âgée de cinq ans, une petite poupée vêtue d'une robe rose avec un magnifique petit noeud dans les cheveux. Elle semblait joyeuse contrairement à son père qui avait le teint pâle et l'air anxieux. Abbigail, bien trop jeune pour s'en rendre compte affichait un sourire à son père, un sourire qui traduisait tout l'amour qu'elle portait à cet homme qui l'avait élevé dès son plus jeune âge. Abbie ne comprenait pas toujours tout mais elle savait qu'elle était différente des autres, elle n'avait plus de mère. Jade Silvestry, sa mère était morte en lui donnant la vie. De ce qu'elle avait pu voir sur les photos, Jade était une très belle femme. Son père lui répétait souvent qu'il l'a revoyait à travers elle.

L'absence de mère ne se ressentait pas encore sur le comportement de Abbie qui même si elle savait qu'elle n'aurait jamais une vie comme les autres préférait se dire qu'au moins son père serait toujours là pour elle. C'est pourquoi aujourd'hui elle lui tenait fermement la main. Leighton lui avait dit qu'il était temps pour elle de découvrir le monde, aussi il avait quitté l'Irlande pour passer des vacances en Angleterre. Abbie ne voyait pas vraiment une grande différence entre là ou elle vivait et l'endroit où il l'emmenait. Son père était immensément riche, aussi elle était habituée au luxe des grandes maisons, et des grands hôtels, ce qui se ressentait d'ailleurs sur sa façon de parler aux autres.

LEIGHTON - « Dépêche toi un peu Abbie ! »

Abbie fut tirée par son père qui pressait de plus en plus le pas. Elle fronça les sourcils comme contrariée d'avoir été interrompue dans sa contemplation des rues de Londres. Elle lui jeta un regard inquiet constatant avec effroi la mine glaciale de son visage. Où l'emmenait-il ? Elle n'en avait aucune idée. Abbie avait la veille supplié son père de lui offrir un balai de course, certes elle était bien trop jeune pour voler sur ce genre de balai, mais elle avait espoir que son père lui achèterait le modèle miniature. Lorsqu'ils pénétrèrent dans un grand bâtiment blanc elle comprit qu'il n'allait pas faire des emplettes. Son père murmura quelque chose à la femme qui se trouvait au comptoir d'accueil. C'était un lieu moldu ce qui étonnait un peu Abbie qui savait que son père avait en horreur les moldus.

En effet les Silvestry était une famille de sang-pure du plus loin que Abbie pouvait remonter, il n'y avait jamais eu un seul moldu ou sang-mêlé qui fut affilié à sa famille. Sa mère ne fit pas exception à la règle. Jade était suédoise, pour Abbie c'était très vague évidemment, mais elle savait que sa mère appartenait à une branche de sang-pure assez rare de Suède. Abbie ignorait comment et où ses parents s'étaient rencontrés puisque son père avait toujours gardé secret les motifs de leur rencontre. L'une des rares choses qu'elle sait de sa mère c'est son apparence et son talent pour le dessin, talent qu'elle lui a d'ailleurs transmis. Abbie redescendit sur terre quand une femme avec des lunettes assez vieille vint lui attraper sa main libre.

Elle se dégagea rapidement en s'accrochant au pantalon de son père qui, lorsqu'elle leva la tête vers lui, regarda dans une autre direction. Elle le secoua pour qu'il lui accorde un peu d'attention. Il s'éloigna d'elle en faisant quelques pas en arrière puis lui tourna le dos. Abbie fut finalement attrapée par un homme plus coriace qui la souleva du sol. Abbie tenta de se débattre et se servit de tout ce qu'elle avait pour se dégager de lui, elle le griffa, elle lui planta ses petites dents dans le bras, lui donna des coups de jambe en vain. Elle se mit finalement à hurler comme une folle furieuse ce qui fit finalement se retourner son père.

ABBIE - « Papa, aide-moi, s'il te plait ... »

Pleurnicha-t'elle en lui lançant des regards implorants emplis de pitié. Leighton resta impassible comme froid à ce qui était en train de se passer. Il jeta un coup d'oeil à la femme à lunette qui était arrivée un peu plus tôt. Celle-ci hocha la tête et s'approcha de Abbie un sourire aux lèvres. Abbie toujours comprimée ne pouvait plus bouger, elle l'observa terrifiée.

LA FEMME - « Tu vas être bien sage ma petite Abbigail, d'accord ? Nous allons bien nous occuper de toi, tu verras. »

Elle utilisait une voix mielleuse qu'Abbie détestait par-dessus tout. Ce faux-semblant de gentillesse doublée d'une fausse pitié. Abbie désapprouva d'un signe de tête. Mais qu'est-ce qu'elle était en train de lui raconter cette vieille ? Il n'était pas question que qui que ce soit s'occupe d'elle hormis son père. Elle tendit les mains vers son père qui finit par s'exprimer sur un ton serein et froid.

LEIGHTON - « C'est terminé Abbigail. Il faut que tu sois sage. »

L'homme qui soutenait Abbie l'emmena, l'éloignant de plus en plus de son père qui glissa quelque chose dans la main de cette femme qui esquissa un sourire et tourna les talons en direction de la sortie. Abbie tenta de se dégager de l'emprise de cet homme et hurla de plus belle et pleura encore plus fort pour que son père revienne.

ABBIE - « POURQUOI TU T'EN VAS ? PAPA !!! »

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« Le 16 Juillet 2011 à Londres
Nous nous occuperons bien de toi ! »

Abbie se réveilla en sursaut ce matin-là. Comme chaque soir elle faisait le même cauchemar, elle suppliait son père de rester mais celui-ci rigolait et plus elle courait vers lui pour le rattraper plus il s'éloignait. Ce cauchemar était bien réel, son père n'était plus là il l'avait abandonné dans un orphelinat moldu où elle était totalement prisonnière. Elle ne pouvait même pas dire qu'elle était une sorcière sous peine d'être prise pour une petite folle et de passer des heures chez un psychologue moldu. Aussi Abbie devait se faire une raison pourtant elle n'y parvenait pas. Vivre chez les moldus et bannir toute magie était totalement impossible.

Avec les autres enfants, elle était exécrable. La petite poupée qu'elle était, semblait être devenue une véritable petite peste. Au grand désarroi de cette vieille peau à lunette qui s'appelait Sally et qui ne parvenait pas à lui trouver une famille d'accueil. Au plus grand plaisir d'Abbie qui après avoir vécu deux semaines chez une famille de moldue anglaise avait cru devenir folle. Abbie s'amusait à lui mener la vie dure car après tout son père l'avait sûrement payé pour qu'elle s'occupe d'elle alors autant lui faire regretter d'avoir accepté les conditions de son père.

Ce jour-ci Abbie s'était exilée des autres enfants, et dessinait sur un bloc l'orphelinat dans lequel elle vivait. Elle l'avait dessiné sous tous les angles comme pour ne jamais oublié de venir brûler cet endroit une fois qu'elle serait plus âgée. Elle était assise contre un arbre à l'abri du soleil et donc de la chaleur lorsqu'une jeune femme blonde aux grands yeux verts vint se poser à côté d'elle un petit sourire aux lèvres. Abbie fut frappée par la beauté de cette femme mais fit comme si de rien n'était et continua à dessiner. Lorsque la femme s'adressa à elle, elle cassa la mine de son crayon.

JUDITH - « Tu sais moi aussi j'ai grandi dans un orphelinat... »

ABBIE - « Et alors ? »

JUDITH - « Et alors je sais ce que c'est que de se sentir seule et abandonnée. »

ABBIE - « Et moi je sais pourquoi vous êtes là, et il n'en est pas question. »

Judith afficha de nouveau un sourire à Abbie qui resta totalement de marbre face à cette femme. Elle ne voulait pas s'attacher parce que si elle s'attachait elle serait encore abandonnée et trahie. Aussi elle pris un autre crayon et continua de dessiner sans regarder cette femme. Judith se leva et s'éloigna en direction de Sally qui entre-temps était arrivée avec un homme. Abbie ferma son bloc-note, pris rapidement ses crayons et se leva en pressant le pas pour partir le plus loin possible. Cet homme, même si elle ne le connaissait pas elle ne voulait qu'il l'emmène comme la première fois où elle était venue ici. Elle s'installa à l'abri des regards pour se remettre à dessiner. Judith vint de nouveau troubler sa concentration. Cette fois-ci Abbie fut la première à parler.

ABBIE - « Comment avez-vous su que j'étais ici ? »

JUDITH - « Je te l'ai dit, moi aussi j'ai vécu dans un orphelinat et en l'occurrence celui-ci. »

ABBIE - « Et votre père aussi vous a abandonné à l'âge de cinq ans ? »

JUDITH - « Heu ... Non moi c'était à la naissance. »

Fit-elle gênée vis-à-vis de Abbigail qui fronça les sourcils en tirant un trait sur son dessin. Elle se mit sur ses jambes et jeta un regard noir à Judith.

ABBIE - « Alors comment vous pouvez savoir ce que je vis ? »

Elle s'éloigna mais Judith fut plus rapide et s'agenouilla devant elle pour se mettre à la hauteur de Abbie. Elle posa délicatement ses mains sur son épaule et sur un ton doux elle parla :

JUDITH - « Je n'ai pas l'intention de faire comme ton père Abbigail. Je sais ce que tu as vécue et je sais aussi que tu t'es sentie trahie, mais crois moi je ne veux pas faire la même erreur que ton père. Je suis passée de famille d'accueil en famille d'accueil et à chaque fois je me montrais odieuse, et je sais que ce n'est pas une solution. »

ABBIE - « Les moldus, vous êtes bien tous les même ! »

JUDITH - « Les moldus ? C'est ainsi que tu surnommes les gens qui viennent adopter des enfants ? Soit ! Mais sache qu'adopter est le plus bel acte d'amour que peuvent faire des parents. Je n'ai jamais eu d'enfant Abbigail, et toi tu n'as plus de parents. Aussi je te propose un marché : tu viens vivre avec moi et mon époux et en échange je te promet de t'offrir la vie que tu voulais ? »

ABBIE - « Je n'ai pas le choix de toute façon ! »

EDMUND - « Si tu l'as ! »

Fit l'homme de tout à l'heure qui s'avérait être l'époux de Judith.

EDMUND - « Nous t'offrons la possibilité de devenir une Green à part entière. »

ABBIE - « Je vais vous mener la vie dure ! »

EDMUND - « Et nous sommes prêts à prendre le risque. »

JUDITH - « Tu verras, nous nous occuperons bien de toi ! »

Abbigail donna finalement son bloc de dessin à Edmund et attrapa la main que lui tendit Judith, elle esquissa un mince sourire à cette dernière et la suivit pour qu'elle puisse signer les papiers auprès de Sally à la fois émue et soulagée de ne plus avoir à s'occuper d'elle.

Abbigail devint officiellement une Green, et fut ainsi baptisée : Abbigail Keachie Green. Elle s'installa dans l'appartement londonnien dans lequel il vivait. Un appartement spacieux et luxueux. De ce qu'elle avait pu comprendre, Edmund était photographe professionnel pour un magasine de mode important à Londres, quand à Judith elle écrivait des livres pour enfants. Abbie plus habituée aux contes sorciers fut étonnement surprise de découvrir des contes moldus et de voir à quel point le domaine de la magie y était souvent dépeint comme merveilleux et parfait.

La promesse de Judith fut fondée, car elle s'occupa à merveille de Abbie qui ne manqua de rien mais qui du s'accoutumée à une vie de moldue en allant par exemple à l'école élémentaire. Pourtant elle restait toujours méfiante et prétentieuse, ce fut des traits de caractère que Judith ne parvint pas à faire disparaître chez elle. De plus Abbie fit un blocage. Jamais elle ne les appela « Papa & Maman » c'était bien trop dure pour elle. Alors pendant plusieurs années elle les appela par leur prénom bien qu'ils soient comme de véritables parents pour elle.

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« Le 30 Juin 2017 à Londres
Tu es une sorcière Abbie ? »

Judith poussa soudain un hurlement qui fit arriver Abbie et Edmund en courant dans la cuisine. Un hibou venait de s'engouffrer par la fenêtre et avait lâché une lettre adressée à Abbie. Elle se jeta dessus comme parfaitement habituée, alors que ses parents étaient un peu perplexes.

ABBIE - « C'est une lettre de Poudlard. »

« COLLEGE POUDLARD, ÉCOLE DE SORCELLERIE
Directrice : PENNELOPE DUMBLEDORE
Cher Mrs Green-Silvestry,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité… »

EDMUND - « Un hibou dépose une lettre dans la cuisine et tu ne réagis même pas ? »

ABBIE - « Je préfère ça plutôt que quelqu'un ait utilisé la poudre de cheminette pour me transmettre cette lettre. »

JUDITH - « La poudre de quoi ? »

ABBIE - « De cheminette ! Mais comme on a pas de cheminée ça aurait été dure. »

Abbie affichait un sourire gigantesque et c'était bien la première fois que Judith et Edmund l'a voyait aussi ravie. Abbie retrouvait enfin ses vrais racines, racines qui lui rappelaient douloureusement son père mais qui lui avaient terriblement manqué. Elle posa la lettre sur la table et se racla la gorge.

ABBIE - « Il faut qu'on aille m'acheter mes fournitures, ma baguette, mon chaudron, ma robe de sorcier ... »

EDMUND - « Comment ? »

JUDITH - « Tu es une sorcière Abbie ? »

Abbie grimaça. Elle avait omis de leur préciser ce petit détail là. Pourtant depuis des années elle correspondait avec le monde de la magie. Elle recevait tous les jours la Gazette du Sorcier, elle se rendait régulièrement sur le Chemin de Traverse, elle correspondait avec quelques amis sorciers. La magie faisait toujours partie de sa vie pourtant elle ne s'était pas attendue à recevoir sa lettre pour Poudlard. Alors que pourtant, à de nombreuses reprises, elle avait manifesté un certain talent magique. Notamment lorsqu'elle avait faillit se tuer en faisant du ski l'année dernière dans les Alpes en France et qu'elle avait fait disparaître l'arbre comme par magie. Mais elle n'en avait jamais parlé à ses parents peut-être parce qu'elle les ne les croyait pas aptes à comprendre.

ABBIE - « Asseyez-vous, je dois vous parler. »

Face à ce ton grave, Judith et Edmund se regardèrent, puis inquiets ils s'installèrent sur une chaise pour écouter leur fille.

ABBIE - « Je suis une sorcière, mes parents appartenaient à une longue lignée de sorciers. Il existe beaucoup de sorciers dans le monde, seulement nous nous cachons des moldus, c'est-à-dire ceux qui n'ont pas de pouvoirs magiques ... »

Judith toussota en entendant le mot « moldu », elle comprenait mieux à présent. Edmund voulait l'interrompre mais le regard glacial de Abbie l'en dissuada.

ABBIE - « Nous sommes organisés, un peu comme vous, nous avons des écoles, en l'occurrence le château de Poullard, un ministère, et donc un premier ministre. Et moi je vais à Poudlard comme tout bon sorcier, mais c'est vrai que quand vous m'avez adopté je ne pensais pas qu'il m'enverrait ma lettre d'inscription. »

EDMUND - « Je ... Wahou c'est dingue cette histoire ! »

ABBIE - « Ce n'est pas dingue, c'est simplement que tu ne comprends pas tout ! »

JUDITH - « Je n'aime pas trop ce ton jeune fille. »

Abbie s'emportait et n'hésitait carrément pas à se montrer supérieure face à la situation. Car elle l'avait toujours pensé : les moldus étaient inférieurs aux sorciers. Elle lança un regard assassin à sa mère qui ne détourna pas pour autant le regard.

JUDITH - « A t'entendre on croirait presque que nous sommes idiots ? Et j'aimerais que ce soit clair, tu es peut-être la sorcière du château de Poux-du-Lard je m'en contrefiche, tu es avant tout ma fille et je ne voudrais pas que tu oublies que nous sommes tes parents ! »

Abbie se renfrogna et croisa les bras comme contrariée. Elle s'était attendue à ce qu'ils soient plus compréhensifs et surtout plus coopératifs. Abbie voulait tout toujours trop vite, et elle n'avait pas vraiment le temps pour s'attarder sur les détails. Elle récupéra finalement sa lettre et sur un ton sec, elle répondit à ses parents.

ABBIE - « J'irais à Poudlard que vous le vouliez ou non alors inutile de monter sur te grands chevaux Judith ! »

Et sur ces mots elle partit s'enfermer dans sa chambre. Si son père ne l'avait pas abandonné, aujourd'hui serait le plus beau jour de sa vie et non pas un des pires. Pourtant elle ne regrettait absolument pas de lui avoir parlé ainsi, au contraire elle aimait s'affirmer et tant pis si elle était blessante. En plus elle était assez grande pour faire ce qu'elle voulait. Elle s'allongea sur son lit serrant contre elle sa lettre d'admission pour Poudlard. Sa mère vint soudain toquer à la porte.

JUDITH - « Demain nous irons acheter tes fournitures pour ton école de magie. »

Abbie esquissa un sourire et s'endormit donc en ayant finalement gagné.

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« Abbigail finit finalement par retrouver son père à l'âge de ses quinze ans alors qu'elle retournait chez elle pour les vacances de Noël. Il était venu l'attendre à la gare de King's Cross, alors que ses parents adoptifs avait prévenu Abbie qu'il serait sûrement en retard. Sous le coup de l'émotion Abbie ne parvint pas à dire quoi que ce soit pour exprimer sa rancœur et sa haine face à cet homme qui l'avait abandonné. Sa seule excuse : la tristesse d'avoir perdu sa femme l'avait rendu totalement incapable de s'occuper d'un enfant. Ce que Abbigail ne pu bien évidemment pas comprendre puisqu'il aurait pu s'en rendre compte tout de suite au lieu de l'élever pendant cinq ans avant de finalement l'abandonner. Il tenta vainement de se justifier face à sa fille qui elle ne pouvait en aucun cas lui pardonner ce geste de trahison. Mais la trahison fut encore plus grande lorsqu'elle appris la pure et dure vérité : il l'avait abandonné pour une autre femme et pas n'importe quelle femme. Jessica Kingsley, la soeur ainé de sa propre mère qu'elle avait du voir une ou deux fois dans vie avant que son père l'a laisse à l'orphelinat. En vérité elle vaait entendu que Jessica n'avait pas supporter la mort de sa très chère petite soeur et qu'elle avaot tout quitté : mari, enfant et emploi pour essayer d'oublier toute sa peine en quittant l'Irlande et en retournant dans son pays natal, la Suède. Malheureusement elle fut surprise de constater qu'en faite elle s'était consolée dans les bras de son père, le propre mari de sa soeur. Ce fut trop pour le coeur déjà bien fragile de la pauvre Abbie qui préféra les fuir tous les deux surtout lorsqu'elle appris que Jessica avait posé un ultimatum à son père : soit il restait avec elle, soit il restait avec Abbie. Et comme Jessica était tombée aussi enceinte de lui peu de temps après la mort de sa soeur elle l'avait fortement conseillé de ne pas faire le mauvais choix sous peine de voir la honte s'imposé sur sa propre famille.. Vous imaginez bien que Abbie ne l'a pas bien pris ... ! »

questionnaire

Quel est votre prénom ?

Abbigail Keachie

Que choisiriez vous entre: Bièraubeurre, Whisky Purfeu, Liquide inconnu et Jus de citrouille ?

Whisky Purfeu

Quel est selon vous la meilleur des qualités ? Gentillesse, Courage, Intelligence et Popularité.

Courage et la Popularité sans doute

Et le pire des défauts ? Arrogance, Méchanceté, Flemmardise et Bêtise.

Flemmardise et la Bêtise

Vous préférez oui ou non ?

Non

La meilleure place dans une salle de classe. Au fond, au millieu, près de la fenêtre, au 1er rang...

Au fond

Quel est votre animal de compagnie ou celui que vous voudriez avoir ?

Un chat noir

Et son petit nom ?

Pan

Si vous deviez prendre la décision de votre vie, vous demanderiez conseil a: personne, mes ami(e)s, ma famille, une personne responsable.

Personne

Votre dessert préféré ? Tarte a la Rhubarbe, Eclair au chocolat, Beignet à la confiture ou Pièce Monté a la crème.

Pièce Monté à la crème

Quel était la couleur de votre premier dragées surprise de Bertie Crochue ?

Vert

Vous pensiez que c'était quel parfum ?

Pomme ou Menthe

Et en fait vous avez eu ?

Épinard

Vous êtes plus sport ou intellect ?

Aucun des deux !

Et pour finir... si la guerre devait arrivé, choisissez une personne avec qui vous voudriez passer la soirée.

Faudrait voir dans quel camp je me situe avant de me prononcer sur ce sujet, toute manière je choisirais la personne en fonction de mes chances de m'en sortir !

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Fini ^^

Dans ton physique, tu dois ôter les nom qui sont placé à côté des maisons.

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abbigail;;

après mûre réflexion, déblatage avec les différentes partie de ton âme et de tes pensées, j'ai la joie de t'accueillir dans la maison Serdaigle la maison de le raison et de l'intelligence, celle qui aide a développer le pouvoir dévastateur de son savoir et de la mémoire. A toi seule qui arrivera a faire de grande chose, simple intelligente ou véritable génie, bienvenue chez les sages et les apprécier Serdaigles.

Le Choixpeau,
l'infinie de ton esprit m'es ouvert pour ton plus grand bien...

VALIDE
bienvenue =)

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