Sujet: Re: maybe that's what happens when a tornado meet a ... volcano ? no he's not a volcano ... anyway Jeu 6 Jan - 7:20
black lotus.
Cela faisait maintenant 6 mois qu’ils ne s’étaient vus et parlé. Cela faisait 6 mois que Whillam et de son côté, ça faisaient 6 mois qu’il lui envoyait des lettres d’excuses sur son comportement merdique. Ludivine, de son côté, ça faisait 6 mois qu’elle n’avait pas sauté sur Whillam n’avait pas montré de signe de vie. Étant en période de vacance pour les fêtes, il savait que c’était sa chance de la revoir. Elle était chez elle, c’était certain ! D’un autre côté, il ne pouvait pas vraiment aller sonner chez elle en s’exclama : « Bonjour ! Je suis l’écœurant qui a fait pleurer Ludivine l’été passé parce que je l’es comparer à son père qui voudrait bien me voir mort parce que je suis un sorcier, né-moldu. La bonne nouvelle, c’est que je suis un sorcier ! ( : » Nan, vraiment ce n’était la bonne solution. Il devait trouver l’idée du siècle. C’était le dernier moment pour la revoir et pour faire en sorte de se racheter. Après tout, après Poudlard, il ne savait pas où elle allait être, où elle allait suivre sa vie et puisqu’elle terminait sa scolarité cette année…
Comme chaque année, le 26 décembre il alla fêter Noël chez son cousin. D’ailleurs entre Devon et lui, ils s’étaient tout de suite réconciliés et bien vite les questions sans réponse étaient survenues dans leur discussion. Malheureusement pour lui. Il avait été invité par celui-ci a rester coucher pour quelques jours et il avait accepté. Par contre, il ne savait pas que le plan de Devon était de la forcer à aller voir Ludivine. Étant pris au piège, il sortait chaque jour pour aller espionner un peu la demeure de Ludivine, mais sans rien tenter. Il la vit sortir de chez elle, une fois, mais grâce à son manteau et son capuchon noir il passa pour piéton.
Finalement, il se décida enfin le 28 décembre au soir. Grâce à ses deux jours d’espionnage, il avait repéré sa fenêtre de chambre qui se trouvait du côté gauche de sa maison. Il vérifia que ses parents étaient bien dans sa chambre et sortit sa baguette en silence avant de chuchoter un léger : « Assurdio ». De cette façon, il ne serait pas dérangé et…. Il ne risquait pas de mourir pour ce qu’il allait faire. Maintenant, il ne pouvait plus reculer. Il se posta devant sa chambre à elle et soupira. Il regarda par terre et prit une petite roche avant de la lancer sur la fenêtre. Lors du choc, il entendit un craquement étrange. Ce qui se passait dans les films… devait toujours dégénéré dans al vraie vie. C’est pour cela qu’on appelait sa un film. Par peur de casser sa fenêtre par un second impact, il prit son courage en main et commença à grimper le mur grâce aux briques. Ceux-ci le faisaient affreusement souffrir, mais tant pis. Il se doutait qu’à la fin de sa montée, il aurait les mains en sang. Tant pis ! Plus il montait, plus il allait lentement. Puis, il perdit pied et fit tomber son cellulaire dans le gazon en bas. Cellulaire qui eut la bonne idée de sonner au même moment. Si seulement il avait choisi une sonnerie normale. Elle aurait passé inaperçue, du moins bien que la voix qui sortait en ce moment de son cellulaire « Whillammm ton téléphone y sonne, y sonne. Whillammm ton téléphone y sonne ! » en répétant ses mêmes mots trois fois. Et merde. Il vit alors de la lumière s’ouvrir dans la chambre de Ludivine ainsi que dans celle de ses parents qui se trouvait juste à côté. C’était un mauvais plan, un très mauvais plan.
Dernière édition par Whillam Tweeds le Ven 7 Jan - 20:58, édité 1 fois
Ludivine R. Windsor
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Sujet: Re: maybe that's what happens when a tornado meet a ... volcano ? no he's not a volcano ... anyway Jeu 6 Jan - 8:11
Willham n’avait pas cessé de lui écrire durant les six mois passes, et Ludivine n’avait jamais répondu. Elle ne voulait pas, elle n’était pas naturellement rancunière et franchement ça la tuait de ne pas répondre, mais elle était trop blessée pour répondre, malgré que Will avait commencé à lui manquer vers octobre. Les lettres, elles rendaient les choses pires et difficiles à endurer. Félix a bien essayé de l’aider à passer par-dessus, passant de celui qui haïssait Will à celui qui était son meilleur ami, essayant de tout faire pour redonner son joli sourire à sa sœur, rien n’y faisait. Elle avait donc passé six mois d’enfer, mais avait tout de même réussi à avoir de notes excellentes, assez étonnantes pour quelqu’un qui n’étudiait pas et qui était dérangée personnellement. Enfin bref, les vacances arrivèrent et blondinette n’en était pas si heureuse. Elle avait un doute que Tweeds ne cèderaient pas et tenterait quelque chose.
Il ne vint pas au début de vacances, Ludi espéra être sauvé, bien qu’elle se doutait qu’il se tramait quelque chose. L’homme en noir devant chez elle n’était pas un local et les lettres de Devon, auxquelles elle répondait lorsque Will n’était pas mentionné, le mentionnaient de plus en plus. Bref, pas tant d’espoir finalement. Elle ne voulait pas le voir, bonne erreur, elle voulait, mais elle était trop butée pour admettre vouloir le voir. À chaque soir qu’elle se couchait, elle se rendait un peu plus proche du départ sans avoir vu Whilam et ça la rendait heureuse.
Ce soir, elle s’était couché encore satisfaite de ne pas avoir vu Will, ne pas avoir eue à s’arranger avec ça, surtout ce soir, avec tout le monde à la maison, vraiment tout le monde, du genre cousin, cousine et tout c’est truc là. Toutefois, elle fut désagréablement réveillée par un bruit de roche sur sa fenêtre et là, elle sut, elle devrait faire face à la réalité, mais elle préféra s’enfoncer la tête sous son oreiller comme une gamine de dix ans à la place. Son acte d’enfant fut interrompu par le cellulaire du jeune homme qui criait en bas de la fenêtre et si elle pouvait l’entendre, ses parents, ses cousins, ses cousines aussi. Peut-être Will avait-il pensé à lancer un sort, mais apparemment il n’était pas assez puissant. Pas parce qu’il était né-moldu, mais surement parce qu’il apprenait par lui-même. Ludi se leva et ouvrit la lumière, elle entendit ses parents sortir de leur chambre, elle sortit la tête de la sienne et Félix était déjà en train de dire qu’il était désolé, que son ami sorcier avait lancé un sort à un objet dans sa chambre pour qu’il fasse ce bruit jusqu’à ce qu’il le trouve. Tout le monde retourna à sa chambre. Ludi sortit sa baguette et finit par ouvrir la fenêtre de sa chambre pour trouver Will en train de grimper sur son mur.
LUDI Bravo Roméo, bon plan pour te faire tuer!
Elle se retourna sans laisser un autre mot, leva sa baguette et jet un sortilège d’Assurdiato sans même le prononcer, ainsi qu’un sort prévenant si quelqu’un touchait la porte ou la poignée de porte de sa chambre. Cela prit quelques instants, elle avait fait les sorts assez efficaces pour pouvoir crier à tue-tête sans que personne ne les entende. Elle retourna à la fenêtre, pour tirer Will dans sa chambre. Elle n’allait pas le laisser mourir dehors et elle appela son cellulaire, toujours en silence. Oui, quand on veut devenir aurore il faut maitriser le talent des sorts non prononcé – c’est aussi un excellent moyen de ne pas avoir a chercher tout les nom des sorts. Elle ordonna à Will de s’asseoir sur une chaise et elle s’assit en face de lui sur son lit. Il avait les mains en sang, elle les soigna d’un coup de baguette, non, mais elle savait tout cette fille, comme on dit en anglais, she’s a keeper. Maintenant qu’il avait grimpé à sa chambre, elle ne pouvait pas le pousser en bas de la fenêtre, quoique ce fût tenant. Elle releva la tête vers lui et finit par ouvrir la bouche pour dire autre chose qu’une bêtise.
LUDI Qu’est ce que tu veux ? je n’avais pas été assez claire en ne répondant pas a tes lettres, lettres que je t’avais dit de ne pas écrire?!
Pas vraiment heureuse la jeune fille. Elle c’était fait tirer de son sommeil par un crétin qui montait à son mur, elle portait un bas de pyjama long mauve carreauté avec un t-shirt gryffondor, elle était tout au naturelle, les cheveux déchlingués, c’était presque superbe. Alors non, c’était pas trop la joie, surtout que toute sa famille de tueurs de moldus dormait dans la maison, alors très mauvais plan roméo, très mauvais.
Sujet: Re: maybe that's what happens when a tornado meet a ... volcano ? no he's not a volcano ... anyway Jeu 6 Jan - 9:26
Dans tous les différents scénarios qu’il s’était imaginé de cette soirée, celle-ci ne lui avait même pas traversé l’esprit. C’était également de loin, pire que ce qu’il avait pensé, et ce n’était pas faute d’avoir fabriqué un tas de scénarios foireux. Enfin, il resta là en silence. Il avait tellement mal aux mains que s’il lâchait une brique il tombait d’un coup sec dans le gazon et il pouvait aussitôt dire au revoir à la vie. Pourtant, la solution était là, dans ses poches, sa baguette magique qu’il avait besoin d’atteindre pour lancer un sort d’invisibilité pour quelques secondes et le tour serait joué. Il pourrait arranger le tir. Il reprit son souffle, ferma les yeux et se colla contre le mur. Ça allait certainement lui laisser quelques égratignures sur son visage, mais temps-pis. Il avait déjà vu sa dans un film. Le méchant regardait par sa fenêtre et ne voyait pas le gentil perché au mur. Toutefois, le film de sa vie, en ce moment, était à très mauvais budget.
Au même moment il vit Ludivine passer la tête de sa fenêtre. Il lui gratifia d’un grand et beau sourire innocent. Elle semblait être en beau pétard. Oups. Elle repartit bien vite, surement pur réparer les pots qu’il avait cassés. Il venait pour se pardonner et voilà que le début de ses excuses lui donnait déjà une mauvaise impression. Il grimpa quelques briques de plus et perdit de nouveaux pieds, mais cette fois, sans faire de bruit. Toutefois, ce second dérapage l’obligea à ne plus bouger.
Bien vite, tous les Windsor retourna se coucha. Il ne savait pas qui l’avait sauvé, mais il le remerciait déjà. De nouveau, il vit Ludivine sortir. Il avait l’air d’un parfait imbécile, et bien tant pis. Peut-être que de cette façon elle serait trop concentrée à le traiter d’idiot qu’à l’ignorer. Il préférait quel le frappe, quel le traite de stupide, con, salaud, que d’être ignoré. Après quelque seconde à l’observer dans cette position de faiblesse, elle se décida enfin à l’aider a monté dans sa chambre. Bien assez vite, elle lui ordonna en silence de s’installer dans la chaise qu’elle venait de placer en face de son lit où elle venait de s’asseoir. Évidemment, il ne se fit pas prier. Il n’allait quand même pas l’opposer pour une futilité surtout en ce moment, donc il ne passa aucun commentaire, bien qu’en temps normal il aurait facilement dit une connerie.
Il l’observa. Ça faisait tout de même 6 mois qu’ils ne ‘étaient pas vus. Elle était au naturel. Qu’est qu’elle avait ses filles a toujours vouloir se mettre une couche de maquillage ? Il trouvait vraiment craquante sortit du lit, au naturel et avec son pyjama mauve. Lui, de son côté avait pantalon jogging, un chandail bleu et une veste blanche. Rien de bien compliquer, mais il ne voulait pas mettre quelque chose de trop gros. Cela l’aurait gêné durant son escalade. Évidemment, il avait pensé à ne pas geler cette fois en ce lancer un sort avant sa quête. Celle-ci était en train de lancer des sorts pour pas que le reste de sa famille ne puisse les entendre, et ce, même s’il collait leur oreille contre le mur. Il avait déjà pris cette précaution-là, mais il ne lui en dit rien. Elle allait surement lui dire que son sort n’était pas assez puissant ou blablabla, mais il avait été stupide de penser qu’il ne ferait aucun bruit avant d’arriver dans sa chambre et c’est pourquoi il avait fabriqué son sort pour ne cibler que la chambre de Ludivine. Il regarda ensuite sa chambre très rapidement, mais du rapidement se tourner vers elle qui attendait qu’il parle. Il se recroquevilla dans ses épaules. Il était gêné. Il avait grimpé son mur et maintenant il ne savait pas quoi dire précisément.
WHILLAM – Merci pour mon cellulaire. Il baissa la tête et décida d’ignorer ce quel venait de dire. Il soupira puis la fixa de façon confiante. Je m’excuse. Je m’excuse. Je m’excuse. Tu ne peux pas savoir à quel point je m’en veux. J’ai été un réel con. J’ai été assez lâche pour utiliser ta faiblesse pour te faire le plus de mal possible. J’voulais que tu t’en ailles, tu comprends ? Je voulais… Il baissa la tête et prit ses bras dans ses mains avant de reprendre son discours. Je voulais pas te voir avec mon cousin. Il prit une autre pause. Écoute, j’ai vraiment merdé. Frappe moi, crie moi après, mais parle-moi. Je veux entendre le son de ta voix.
Ludivine R. Windsor
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Sujet: Re: maybe that's what happens when a tornado meet a ... volcano ? no he's not a volcano ... anyway Jeu 6 Jan - 10:26
Whillam était un fou, sincèrement il fallait vraiment qu’il vienne dans sa chambre, pour la forcer à attendre ses excuses. La raison qui faisait en sorte qu’elle s’en sortait pour ne pas avoir à répondre à Will, à accepter ses excuses, c’est qu’elle n’avait Willham en face d’elle avec ça belle petite face de chien battu qu’elle trouvait assez mignonne. Elle l’évitait parce qu’elle savait qu’à la minute où elle le verrait, elle le pardonnerait sans qu’il n’ait rien à dire. Qu’il vienne la voir en montant un mur durant l’hiver juste pour la voir, ça aidait encore plus, mais Ludi ne voulait pas lui faire comprendre, à ce moment, elle voulait le voir souffrir un peu.
Blondinette n’était le genre de fille à se mettre quatre pieds de maquillage, mais elle n’était pas du genre à sortir du lit et avoir l’air prête pour une autre journée dans le monde dur de la vie. Will et elle, n’était pas assez proche, du moins selon elle, pour qu’il mérite la superbe vu de son réveille, mais elle n’aurait pas le choix de faire avec n’est-ce pas ? Elle ne pouvait pas le faire descendre le salon était rempli de méchant sorcier tueurs, la fenêtre était la seule option et malheureusement, si elle le poussait, ça ferait de Will un homme mort, qu’il survive à la chute ou non. S’il survivait, il aurait la famille au complet à ses trousses, bref un homme mort. Elle soigna Will, comme elle le pu, elle faisait des études en sécurité magique, pas en médecine magique. Elle gérait les plaies ouvertes, plus ou moins mineures, au-delà de ça, fallait ne pas trop espérer. Elle le regardait, attendait qu’il dise quelque chose, peu importe quoi ferait l’affaire, du moins, si c’était gentil. Il n’eut droit à un mince sourire de la part de Ludivine en guise de de rien pour le cellulaire, elle n’était pas pour le laisser la de toute façon
LUDI que tu me le dises trois fois, plus les autres fois dans les lettres, ne me rende pas la tâche tout d’un coup plus facile pour te pardonner
Oh c’était déjà fait, tout le monde le savait. Elle l’avait pardonné quand elle l’avait vu prendre la peine de monter sur son mur alors que sa maison était une maison de la mort pour quelqu’un comme Will à ce moment même. Mais elle n’était pas pour passer par-dessus l’occasion avec ce qu’il lui avait fait non ? D’ailleurs il n’était pas obligé de la ramener là-dessus, ce n’était pas un moment qu’elle tenait à ce remémorer, le sourire disparu, elle n’aimait pas ce faire dire qu’elle avait de faiblesses, mais elle ne pouvait pas vraiment lui crier après pour ça tout le monde en avait non ? Elle essaya de cacher son sourire lorsqu’il dit qu’il ne voulait pas la voir avec son cousin, elle ne voulait pas qu’il pense à tort et à travers, mais oui ça lui faisait plaisir à entendre.
LUDI effectivement, con est le bon mot, ou imbécile ou crétin ou jackass et j’en passé. Alors, c’était si dur à dire ? C’est tout ce que je voulais entendre, je ne voulais pas te voir à mon cousin, pas très compliqué il me semble comme phrase
Elle n’était pas méchante, loin de là, la frustration était passée, elle était simplement blessée et ça se réparait tout seul un peu tranquillement. Le frapper, elle l’avait déjà fait, crier aussi, l’insulter aussi, elle n’avait pas envie, pas ce soir en plein de milieux de la nuit alors qu’elle savait qu’a la seconde où elle s’allongeait, elle s’endormait, alors très peu pour elle. Elle souriait, doucement, il voulait entendre le son de sa voix, c’était bizarre d’avoir un moment aussi sympathique et simplement simple et beau ? Alors que la dernière fois qu’ils s’étaient vu ils s’étaient presque tués l’un l’autre.
LUDI Je ne vais pas te crier après, t’insulter ou te frapper, bien que ça soit très tentant comme option. La prochaine fois que tu voudras entendre le son de ma voix, sonne à la porte, dans la journée de préférence, ne monte pas sur le mur de ma maison Roméo, parce que tuer mon doux sommeil n’est pas la meilleure façon d’obtenir mon pardon. Alors, t’es prêt à aller jusqu’où pour que je prononce le mot pardon pour toi ?
Elle ne voulait pas jouer, du moins pas comme l’année passée, mais au moins le faire poireauter un peu. Il était mignon à voir aller lorsqu’il se sentait coupable et elle n’en profiterait pas trop longtemps, parce qu’elle se sentirait mal et que dans une heure elle voulait pouvoir faire des beaux rêves dans son pyjama mauve!
Sujet: Re: maybe that's what happens when a tornado meet a ... volcano ? no he's not a volcano ... anyway Jeu 6 Jan - 23:57
Il savait qu’elle ne le pardonnerait pas que pour ses bons yeux, du moins elle ne savait qu’elle l’avait excusez pour ses beaux yeux, donc il pensait que cette tâche allait être encore plus difficile. Il commença à jouer avec ses mains, geste qu’il effectuait en toute situation qui le rendait mal à l’aise. Avoir su, il n’aurait jamais tenté quoi que ce soit. Avoir su qu’il allait s’arracher la peau des mains, qu’il allait réveiller tous les Windsor et passer à deux doigts de mourir, pas parce qu’il était sorcier, né-moldu, mais parce qu’il voulait entrer en effraction dans la chambre de Ludivine. Ouais, définitivement, avoir su, il serait resté chez lui. Toutefois, rendu où il était rendu, il était content d’être en face d’elle, même s’il ne savait pas quoi dire et que celle-ci le réprimandait et lui disait qu’il avait beau lui dire un millier de fois « Je m’excuse » cela ne règlerait rien. Il le savait Merde. Il aurait dû engager un scénariste pour lui dicter écrire ses excuses en avance pour que son scénario de départ se réalise, quoi que ces films se transformaient un vrai film d’horreur depuis le début de cette aventure.
En ce moment, il réfléchissait à toute vitesse. Toujours la tête baisser, il ne vit pas Ludivine le regarder, du moins pas au moment où elle prenait la parole. Il n’osait pas. Il était vraiment un trouillard. Ces deux éléments firent en sorte que Whillam n’usa pas de sa tactique habituelle : observer le sujet pour décrypter ses réels sentiments. Eh non ! Il ne joua pas le petit détective à ce moment et ne prit même pas la peine de comprendre ce qu’elle ressentait en ce moment. Pour lui, elle était toujours super en colère contre lui et lui en voulait à mort. Genre, s’il l’a regardait dans les yeux lorsqu’elle parlait elle allait le tuer d’un simple regard. Peut-être qu’elle était assez douée en magie pour faire ça. Après tout, celui-ci était bien moins doué qu’elle avec ce qu’il l’avait vu exécuter un peu plus tôt. Juste pour ses mains par exemple qui était toujours en feu, mais dont les plais c’était refermé.
Encore une fois, il ne répondit à sa réplique qu’il prit comme étant cinglante, même si elle ne l’était pas. Toujours baisse tête qui lui donnait, d’après lui, une certaine sécurité, il arrêta de jouer avec ses mains. Ça y est, il ne pouvait plus se défiler.
WHILLAM – Tu aurais vraiment voulu que je sonne à ta porte ? Sois franche, tu ne m’aurais pas fermé la porte au nez ? Si je t’avais suivi dans la rue, je parie que tu m’aurais ignorée. Je ne voulais pas demander à mon cousin de te faire un piège, la dernière chose que je veux c’est te faire un coup foireux. Bon j’avoue que de monter ton mur, c'était pas la meilleure idée du siècle, mais c’est la seule que j’ai trouvé. Il vit qu’elle allait parler, mais il l'a coupa aussitôt. Tu vas certainement me dire que je t’ai pris au piège en montant ton mur, mais si tu y penses bien tu n’avais qu’à me laisser moisir là. Je n’aurai pas réussi à escalader le reste seul et puisque ta famille était repartie se coucher, tu n’aurais pas a culpabilisé pour ma mort. Donc, mon plan a fonctionné et c’était le meilleur.
Déjà que Whillam était un type très social dans ce genre de situation, sois il se taisait, sois il vidait son sac d’un coup. Évidemment, il n’avait pas fini, mais il prit tout de même une autre petite pause. Et oui une autre. Aussi, il avait l’impression que quelqu’un allait se réveiller et allait se pointer à tout moment, même si Ludivine avait pris des précautions. Bref, il reprenait des pauses à chaque fois pour bien vérifier que la maison était de nouveau silencieuse et qu’aucune âme n’était réveillée
WHILLAM – Je veux pas faire quelque chose pour que tu me pardonnes. Je veux dire, je veux que ça vienne de toi. Je veux retourner il a un an et deux jours, trois jours maintenant, où on s’amusait et où se connaissait à peine, mais où déjà tu avais la manie de me sauter dessus. Il eut un rire nerveux. Où tu as rougi lorsque je t’ai replacé une mèche de cheveux alors qu’on ge-lait. Où tu plaçais ta main dans la mienne où c’était simple et que je n’avais pas eue une réaction stupide.
Cette nuit l’a, il n’avait pas remarqué ces petits détails, mais à force de repenser à cette soirée les jours suivants, il s’en était rappelé
Ludivine R. Windsor
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Sujet: Re: maybe that's what happens when a tornado meet a ... volcano ? no he's not a volcano ... anyway Ven 7 Jan - 1:23
En fait c’était toute une chance que Will ne soit pas resté chez lui, parce que franchement, qu’elle file de ce monde ne cèderait pas pour quelqu’un qui grimpait aux murs de sa maison alors que cette dite maison était remplie de méchant sorcier qui allait le tuer au moindre faux mouvement simplement pour dire qu’il était désolé ? N’importe qui craquerait, même Ludi, elle avait craqué au moment où elle avait vu Will sur son mur. Elle ne voulait tout simplement pas l’ademettre, ni à elle-même, et surtout pas à lui. Il aurait la grosse tête et elle préférait qu’il ne lui refasse pas ce genre de coup foireux.
Ludi semblait en paix, un sourire mince sur ses lèvres et les deux yeux dans la graisse de bean, parce que franchement, elle était crevée, mais en paix. Les choses semblaient, on ne sait trop comment, prendre place, s’arranger. Elle avait été contente que will ne l’écoute pas et lui écrive, même si elle ne lui répondait pas, il continuait. Il devrait la regarder, peut-être est-ce que sa lui donnerait du courage, ça en donnerait à blondinette. Elle ne le tuerait pas d’un regard, bien qu’elle en soit peut-être capable, disons qu’elle n’avait jamais essayé. On voyait dans ses yeux qu’elle était fatiguée, mais on constatait aussi facilement qu’ils brillaient, alors baisser la tête n’était pas la meilleure option pour Roméo à ce moment précis. Elle eue un petite rire à l’idée de lui claquer la prote au nez, elle l’aurait fait, avec sourire même.
LUDI- Honnêtement, les possibilités sont aux nombre de quatre, dépendamment de qui t’aurais ouvert, mais oui je t’aurais claquer la porte au nez, avec raison d’ailleurs. Et si tu m’avais suivis tu n’aurais peut-être pas survécu, mais tu m’as quand même observer et tu t’en est bien sortis, je ne suis pas aveugle. Elle lui fit un petit clin d’œil, à ce moment elle était sur que c’était lui en noir dans la rue depuis quelque jours. Elle ne lui avait rien fait, même si au fond elle avait toujours su que c’était lui, elle voulait le voir, elle ne voulait simplement pas aller le voir.
LUDI – J’ai un cœur figure toi, je ne t’aurais pas laisser sur mon mur en plein hiver sans culpabiliser, tu aurais pu tomber, faire du bruit, te faire tuer, bref, oui, plan parfait d’une certaine manière, je l’admet.
Écrivez ça quelque part quelqu’un elle venait de dire plan parfait, il faut faire un X sur le calendrier, vite. Et c’était vrai, plan parfait, c’était le seul moyen pour qu’elle le laisse entrer, les roches, elle l’aurait laissé en bas, la porte elle l’aurait claqué, la rue elle serait partie en courant, bref, c’était effectivement le meilleur plan. Pourquoi fallait-il que Whillam trouve le plan parfait et les mots parfaits ? Pourquoi est-ce que ca semblait si facile pour lui, pourquoi est-ce qu’à l’intérieur elle se sentait flancher si facilement ?
La maison était à son plus clame depuis des lustres, pas un bruit et aucune âme éveillée, puisse-t-il avoir des âmes chez les Royal et les Windsor. Il y a un an, ça avait été une belle soirée tout compte fait et elle n’avait PAS la manie de lui sauter dessus, je tiens à préciser et d’ailleurs elle donna une petite tape à Will à ce moment là.
LUD je n’ ai jamais eue la manie de te sauter dessus, tu dis n’importe quoi! C’est toi qui voulais que je te saute dessus. Et j’ai jamais rougis, t’as aucune preuve de ce que tu avance!
Nie autant que tu veux blondinette on a tous vu, tu as rougis et encore là tu rougis donc essais pas de nous mentir. C’était beau de voir Ludi calme et souriante, ça faisait changement surtout ces temps-ci avec toute la famille, disons qu’elle ne les appréciait pas plus qu’il ne le fallait. Elle prit la main de Will et le fit asseoir à côté d’elle sur le lit, accoter sur le mur. Elle garda sa main dans la sienne en toute simplicité.
LUD Jusqu’à ce que tu devienne jaloux tu veux dire ? elle faisait tune blague, très fondé sur la vérité, mais le ton indiquait clairement blague. Juste, promet moi une chose et je te pardonnerai à tout jamais parole de Rouge et Or. C’est certains qu’on va s’engueuler encore, juste, n’utilise jamais le fait que les membres de ma famille sont les pires enfants que la terre ait porté, je suis pas comme eux.
Oh oui elle savait que ça allait crier encore et qu’ils n’allaient pas toujours s’entendre, mais elle voulait être certaine ne pas être comparé à des gens avec qui la seule chose qu’elle partageait était son sang. Elle n’aimait pas sa famille, sauf son frère et Églantine et dans certains moment, certain d’entre eux pouvait ce montrer digne d’un peu de respect, mais pas trop souvent. Elle n’avait pas besoin d’ajouter qu’elle n’était pas comme eux c’était plutôt clair, mais elle préférait spécifier. Elle aurait bien voulu mettre sa tête sur l’épaule de Will en se moment, mais elle s’en dormirait, alors elle ne cèda pas à la tentation, du moins, pour le moment. La main de Will dans la sienne, sa baguette dans l’autre, il fallait bien assurer ses arrrières si quelqu’un touchait la poignée de porte elle devait prendre les quelques secondes que ça lui donnait pour faire un sort de caméléon sur Will pour s’en sortir, elle attendait simplement qu’il promette pour pouvoir devenir complètement gentille et simple durant les quelques heures où elle serait capable de rester éveillée.
Sujet: Re: maybe that's what happens when a tornado meet a ... volcano ? no he's not a volcano ... anyway Sam 8 Jan - 0:19
Comme sa elle avait remarqué qu’il l’avait suivi. Il n’avait pas été très méticuleux sur ce point alors il n’était pas vraiment étonné. Tant que le père de Ludivine ne l’avait pas remarqué, c’était bien ça le point important. Évidemment, c’était bien plus facile pour elle de le repérer puisqu’elle le connaissait. Il décida une fois de plus de se taire et de clore ce sujet. Elle lui avait donné raison après tout, bien que ça ne fasse pas son affaire et c’est tout ce qui importait. Elle put comprendre son point de vue. Eh bien, tant mieux.
-Attention gros paragraphe de merde parce que j’dois me défouler- Il eut ne douleur soudaine au niveau de la mâchoire, plus précisément dans le bas à droite de ses dents. Merde alors, il n’avait pas pensé que cela puisse arriver à ce moment-ci. Ce n’était vraiment, mais vraiment pas le moment. Il venait tout juste de se faire enlever les dents de sagesse, ce qui était courant à son âge, il a de cela deux semaines et à certain, la douleur lui revenait comme une sorte de spasme qui ne durait que quelques secondes à maximum deux minutes. Toujours la tête pencher par en avant, il passa sa main sur la joue et espéra très fort qu’elle ne voit pas se geste. Quoi qu’il était déjà au plus mal, pourquoi pas juste un peu plus. Voilà également la raison pourquoi il n’était pas allé la voir avant Noël. Pendant les 39 secondes exactes que dura sa douleur, le Tweeds ne dit pas un mot et ne laissa pas échapper un seul son. Il n’était pas du genre à se plaindre et il ne voulait surtout pas qu’elle le prenne en pitié et le pardonne pour cette raison.
Il rit nerveusement lorsqu’elle lui dit qu’elle avait un cœur et quand elle ne l’aurait pas laissé moisir contre le mur de sa maison parce qu’il aurait pu faire du bruit. Eh ben, pour la dernière partie, il était au courant. Il avait même réveillé toute la maisonnée. Il prit deux petites secondes pour regarder qui l’avait appelé : Devon. Il roula les yeux, il n’avait pas appelle au bon moment, non vraiment pas. Mais Whillam le pardonnait son cousin n’était pas capable de survivre sans lui. (a) En même temps, il mit son cellulaire sur silencieux pour pas que la gaffe se reproduise.
Elle lui parlait avec un ton doux et calme. Quand il remarqua la différence, il releva enfin la tête. Avait-il bien entendu ? Venait-elle juste de plaisanter ? Enfin, une sorte de plaisanterie. Du moins, il était certain qu’elle avait pris un ton moqueur et du genre ‘’j’essaye-d’être-offusqué-et-de-me-rattraper,-mais-ça-ne-fonctionne-pas-du-tout-donc-je-te-frappe.’’ dont il était tombé sous le charme lors de leur première rencontre et dont il avait fait l’expérience ayant retrouvé quelques ecchymoses sur les bras et un petit mal de tête le lendemain. Pas quel frappe fort, mais à force de tapé toujours au même endroit… Voilà, vous avez découvert son secret : Whillam est bel et bien sadomasochisme. Il devrait peut-être en faire part a Ludivine pour… heum heum vous voyez Enfin, il ayant aperçu enfin son accord, il se relâcha et reprit le dessus sur lui en retrouvant sa posture habituel pour commencer puis en laissant échapper un vrai petit rire suivit d’un de ses rares vrais sourires.
Elle le fit s’asseoir sur son lit avec elle et il prit cela comme une sorte de pardon. Elle ne l’avait encore dit donc il savait qu’il avait encore ses preuves à faire, mais au moins elle ne lui en voulait plus autant qu’au départ de cette soirée. Elle prit sa main et il fit une légère pression pour lui montrer qu’il était bien là. Cette fois, lorsqu’elle lui remit en pleine face son erreur, il ne se défila pas. Il continua à la fixer. Face à sa requête, il se serra les dents un peu avant de lui porter un bec dans les cheveux et de retourner son visage vers le sien tout en lui caressant la joue grâce à son autre main.
WHILLAM – Autant être franc. Je ne peux rien te promettre quand je suis dans l’état où tu m’as vu, mais si jamais j’en viens à te parler de ça, frappe moi. Comme ça tu vas pouvoir te défiler et je vais pouvoir revenir à moi-même. Il ne bougea pas restant dans cette position à la suite de cette révélation. . Allons, allons, là c’était le moment de penser romantique et pour vrai. Il n’entendait plus que sa respiration à elle. Comme deuxième exigence, tu dois faire ce que tu as en tête en ce moment. Dit-il en chuchotant en se rapprochant d’elle.
Ludivine R. Windsor
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Sujet: Re: maybe that's what happens when a tornado meet a ... volcano ? no he's not a volcano ... anyway Sam 8 Jan - 2:11
Le père de Ludi ne voyait que ce qu’il voulait voir, comme il savait que sa petite fille était rentré un soir cet été plutôt triste à cause d’un garçon il en avait conclu qu’il n’aurait plus à gérer cette partie de la vie de Ludi avant un petit bout de temps et il en était très réjoui. Sa fille était disons, pas comme il l’aurait souhaité surtout côté garçon, un petit serpentard de bonne famille ça ne lui disait rien ? Pourquoi fallait-il qu’elle reçoive toujours des lettres d’un garçon de poufsouffle ou gryffondor hein ? Et cette dernière vous répondrais parce qu’elle ne veut pas être trompé ou encore parce que les froussard très peu pour elle. Bref, il n’avait pas remarqué Will surtout parce qu’il ne le voulait pas et ne le cherchait pas. S’il avait voulu il l’aurait vu partout, même à des places où il n’était pas. C’était Rickard Windsor dans toute sa splendeur, à chercher des poux.
- je ne parlerai pas trop de tes dents de sagesse, parce que c’est pas pertinent, mais je compatis quand même. Bref, blondinette regardait un peu partout, parce que Will la tête baisser la mettait quelque peu mal à l’aise et donc elle ne remarquait pas grand-chose de sa dite douleur à la bouche, bien qu’elle aurait peut-être compatis, ou peut-être pas non plus. Tout dépendrait de comment la chose était présentée.
Devon il aimait bien faire un peu de merde dans le futur couple vos trouvez pas ? Sortir avec la futur copine de son cousin et appelez son cousin en plein milieu de la nuit pour passer proche de le tuer ? Il ne le savait probablement pas, mais quand même, il commençait à être omniprésent le gars. Va, va faire ta vie amoureuse mon garçon, bien que Ludi continuait de garder contact avec lui si vous voulez savoir. Ils avaient réussi à rester amis et juste ami assez facilement, ils n’étaient peut-être pas faits pour sortir ensemble, mais pour être amis ils étaient assez bons. Et puis, le cellulaire aurait bien pu se remettre à sonner, ça n’aurait pas réveillé personne, ça aurait un peu brisé le moment par contre, ça oui, mais aucun danger de meurtre, quoique peut-être Ludi serait-elle tentée.
Bref, revenons-en à nos intéressé, assis un à côté de l’autre se tenant la main sur le lit de la blondinette, c’était-tu pas mignon ? Ludi baissa la lumière avec sa baguette, celle-ci commençait à être trop forte pour ses petits yeux endormis. Donc, il ne pouvait pas promettre, remarquer, elle aimait mieux qu’il ne promette pas quelque chose qu’il ne pouvait pas tenir qu’il lui lui fasse une promesse qu’il ne tiendrait pas. De toute façon, elle était un peu aveuglé par le sentiment qui l’envahissait suite au bec sur la tête et la main sur la joue, il aurait pu dire n’importe quoi, ça n’aurait rien changé, mais il pu tirer un sourire des lèvres de la jeune fille.
LUDI – Je le ferai avec plaisir.
Et puis vint –enfin- le moment romantique cliché tant attendu par tous et surtout par toutes parce que y a que les filles qui attendent ce genre de moment. Et elle allait faire quoi la jeune fille, elle se retint de la frapper, franchement utiliser une exigence sur ce coup, c’était cruel. La fatigue du jouer sur ce qu’elle avait décidé de dire avant de faire ce qu’elle pensait.
LUDI – anhhh tu va me laisser aller me recoucher et me rendormir dans le sommeil profond dont tu m’a tiré ?!
Allez savoir pourquoi elle avait dit ça, probablement parce que j’ai écouté trop de Veronica mars (a), blondinette souriait, de toutes ses dents et même si elle avait l’air épuisée, elle était simplement heureuse. Elle n’avait pas bougé, jusqu’au moment où elle décida d’effectuer l’exigence de monsieur Tweeds. Elle s’était approchée et avait enfin posé ses lèvres sur les siennes et l’embrassa, laissant sa baguette sur son bureau pour libérer sa main et la porter sur la joue de Will. Ça aurait pu mal tourner comme exigence, vous imaginez si ce qu’elle avait en tête c’était de le pousser en bas de la fenêtre, disons qu’il avait choisi son moment, et tout d’un coup, la jeune fille n’avait plus autant envie de dormir.
Sujet: Re: maybe that's what happens when a tornado meet a ... volcano ? no he's not a volcano ... anyway Sam 8 Jan - 19:48
Baissant les lumières, il prit un temps pour se demander quelle était la cause de cette action. Puis, cela lui sauta en pleine face, soit elle voulait une ambiance super-méga-romantique-style-j’ai-caché-des-bougies-et-des-pétales-de-roses, ambiance qui l’aurait pris de surprise, pour ne pas dire, l’aurais effrayé, soit c’était la deuxième option qui était la plus probable. L’observant attentivement, il remarqua que celle-ci avait des tout petits yeux et lâcha par-ci, par-là des petits bâillements discrets. Rapidement pour ne pas quelle le voit joue avec son cellulaire en sa présence, il pressa le premier bouton qui se trouva a sa porter : l’étoile, ce qui eut pour effet d’activer celui-ci qui lui afficha aussitôt l’heure. Il ne savait pas qu’il était aussi tard. Étant un couche-tard, il ne ressentait pas encore la fatigue, bien qu’il soit maintenant passé 2h du matin. Oups. Toutefois, il se devait d’agir en pleine nuit pour s’assurer d’avoir le moins possibilité de la part de ses parents ou quiconque dans sa famille de ce pointer dans la chambre de Ludivine pour les déranger. Il trouva tout de même qu’elle s’en sortait bien pour quelqu’un de fatiguer. A sa place, dès qu’il aurait été sur son lit, il se serait écrouler endormit. Il n’était pas résistant de ce côté. Ce n’était pas bien compliquer, soit il était réveillé, soit il dormait, il ni avait pas de place pour l’un ou l’autre.
Comme ça elle le prenait bien qu’il lui dise la vérité bien que ça ne soit pas la réponse qu’elle attendait, il en prenait bien note et tomba une fois de plus sous son charme lorsqu’elle lui répondit avec un grand sourire qu’elle adorait le frapper. Ayant déjà eu un avant-goût de sa gifle, il savait qu’elle ne se ferait pas prier et qu’elle le ramènerait vers le bon chemin.
Toujours aussi près d’elle, celle-ci décida d’aller se coucher en suite à son exigence. Merde, il avait utilisé une de ses exigences pour rien. Maintenant, il ne lui en restant plus qu’une et il devait choisir le bon moment et la bonne exigence puisqu’après leur petit jeu serait terminé et peut-être que pour se venger elle déciderait de voler sa baguette a lui pour lui en faire voir de toute les couleurs, comme il faisait. Non, non, il ne pouvait pas se permettre ça, il devait garder le contrôle en tout temps. Bref, il ne se formalisa pas, elle voulait dormir, parfait ! Ça ne le dérangeait pas bien qu’il soit un peu déçu. Il avait essayé de pousser le destin en se rapprochant dangereusement d’elle pour la poussé à penser à ce qu’il voulait bien qu’elle pensé. Et bien c’était loupé et il est vrai que lorsque l’envie de dormir se fait sentir, toute dernière, du moins pour lui. WHILLAM – Alors, je vais pouvoir dormir avec t—
Vous savez qu’est-ce qu’on dit, que le meilleur moyen de faire taire quelqu’un est de l’embrasser. Sur ce coup, Whillam était bien d’accord. Du moins, bien plus que si elle l’avait frappé encore une fois Il répondit évidemment à son baiser en le rendant doux et passionner et en glissant sa main qui se trouvait sur sa joue dans ses cheveux pour la rapprocher encore plus de lui, si possible. Il la fit tomber doucement sur le dos tout en donnant plus d’ardeur au baiser, puis mit fin à leur premier baiser, mais surement pas le dernier en restant toutefois tout aussi près d’elle. WHILLAM – Donc, comme je disais, je peux rester dormir ?
Cela fut suivi d’un grand sourire plein de sous-entendus et surtout dit en plaisanterie. S’il restait bel et bien à dormir, il restait à ses côtés et sans plus. Mais comme on dit, un gars s’essaye.
Ludivine R. Windsor
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Sujet: Re: maybe that's what happens when a tornado meet a ... volcano ? no he's not a volcano ... anyway Dim 9 Jan - 19:56
S’écrouler sur son lit, dormir, fermer ses deux petits yeux, c’était probablement tout ce que la jeune fille désirait à ce moment précis, peut-être pas non plus, mais particulièrement et majoritairement ça. Elle préférait ne pas savoir quel heure il était, sachant pertinemment que si ça tournait autour de deux trois heure du matin son cerveau étant en connaissance de ce fait refuserait complètement de coopérer, parce celui-ci fermait boutique à deux heure trente en connaissance de cause, si on lui faisait croire qu’il était plutôt disons, une heure il durerait un peu plus longtemps, c’était comme ça que le cerveau de la petite Ludi fonctionnait. En fait, c’est pas mal comment le cerveau de toute la famille fonctionnait, alors les cousins, les cousines, les oncles et les tantes dormaient probablement dans un sommeil doux et profond. Enfin, il fallait l’espérer, parce qu’il était préférable que ses deux là ne finisse pas comme Roméo et Juliette. La plupart des membres de sa famille ne se poserait pas de questions et l’immobiliserait au moins avant de le faire et finirait probablement par le tuer parce qu’il était né-moldu, bref, il était préférable pour tout les habitants présent de cette pièce qu’aucun Windsor ou Royal n’entre.
Mademoiselle avait peut-être eue le sens de l’humour un peu mal placé à ce moment là, mais de voir le visage de Will déçu était assez mignon et donc en valait la peine. De toute façon trois secondes après, elle le coupait en l’embrassant. Ludi avait les deux yeux fermés, elle était couché sur le dos, elle résistait à la fatigue, surtout parce que l’amour qui battait dans son cœur lui interdisait totalement de dormir présentement. Elle ne voulait pas que ça s’arrête, mais Will semblait avoir quelque chose à dire. Ludivine lui sourit, il pouvait bien rester, il faudrait juste augmenter la sécurité de la pièce. Et ça tombe bien, mais blondinette fait des études en sécurité magique, alors, elle savait s’y prendre. Elle embrassa doucement Will avant d’étirer son bras pour reprendre sa baguette.
LUDI Si le mort d’ordre est dormir oui, mais va falloir faire des petits ajustement si tu ne veux pas en mourir
Bon, il passerait probablement une bonne partie de la nuit à s’embrasser et à parler un peu, mais mademoiselle était pucelle et contait le rester ce soir, sait-on jamais, will avait un sourire sous-entendu, elle ce doutait que c’était plus le genre de sourire je-suis-un-garçon-faut-bien-que-je-m’essaye, mais elle préférait préciser. Elle avait refermé ses yeux, surtout par fatigue qu’autre chose. Ne croyez pas qu’elle était super méga bonne sorcière et qu’elle peut tout faire les yeux fermés, elle le pouvait juste dans sa chambre parce qu’elle savait exactement où tout ce situait, la distance, leur grosseur, tout.
Elle ce mit à agiter sa baguette dans les airs, ne bougeant pas d’où elle était, ne bougeant pas will ne plus, surtout parce qu’elle ne voulait pas mettre de distance entre lui et elle, parce que si non ça aurait pu être pratique. Elle barra la porte avec un sortilège plus puissant que la normal qu’un simple Alohomora ne réglerait pas, elle fit de même avec la fenêtre et ferma les rideaux. Lança un sort pour les avertir quand quelqu’un était proche de la porte, elle ferma la lumière parce qu’elle était fatiguée et aussi parce que le filet de lumière sous la porte était tout sauf subtile. Elle amplifia le sortilège d’Assurdiato, juste pour être certaine et redéposa enfin sa baguette. Personne ne serait debout avant midi, une heure de l’après-midi, alors pas besoin de cadran. Elle reporta son attention sur Will, elle avait rouvert ses yeux parce que deux secondes de plus et elle s’endormait. Bon, le moment était magnifique d’accord, mais il y avait quelque chose qui chicotait blondinette. Dans trois jours, elle partait pour cinq à six mois. Elle partait plus tôt cette année, ayant trop de devoir et d’étude à faire et la maison n’était pas un endroit particulièrement adéquat et elle le devenait encore moins avec Will dans les parages. Ludivine n’était pas à serdaigle, mais elle y était passé proche, simplement son esprit de rébellion et d’envie d’emmerder ses parents avait été assez fort pour que le Choixpeau s’en rendre compte, ça et aussi le fait qu’elle ne voulait pas se retrouver dans la même maison que sa cousine. Elle avait passé ses bras dans le cou de Will et sourit et se mit à rougir, elle était un peu gênée par la situation et aussi parce ce qu’elle allait dire.
LUDI je , will, je pars dans trois jours … est-ce que …. Est-ce que tu va m’attendre ?
C’était au tour de Ludivine de ne as être si à l’aise que ça, elle regardait partout dans la pièce sauf vers Will. Elle se sentait gênée, vulnérable parce que cette question en dévoilait tellement plus qu’une simple insécurité, ça dévoilait qu’elle avait des sentiments pour lui et ce n’était pas des sentiments qui étaient apparu aujourd’hui c’était certain, elle n’avait pas répondu à ses lettres, mais elle avait voulu le faire, simplement Ludivine quand elle se sentait mal elle changeait. Elle n’aimait pas se sentir aussi insécure que présentement, et si quand elle reviendrait de Poudlard il n’était plus là ? Et si pour lui, elle n’était qu’un trophée dans une collection de trophée ? Oui, elle était comme ça, mais personne ne le savait vraiment et elle préférait que ça reste ainsi, mais si Will savait lire un tant soit peu entre les lignes il devrait comprendre.
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Sujet: Re: maybe that's what happens when a tornado meet a ... volcano ? no he's not a volcano ... anyway
maybe that's what happens when a tornado meet a ... volcano ? no he's not a volcano ... anyway