Toi, tu va l'payer ! { PV MYAR; grande soeur tyrannique et maléfique >:)

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La rentrée avait enfin commencée. Depuis que le temps qu'Eros attendait ce jour. Chaque année, c'était la même chose; il mourrait d'envie de retourner à Poudlard, de revoir ses amis, et de se retrouver cloitré dans le château, avec ses nombreuses règles. Ouais, la seule chose qui ne changeait pas, c'était sa famille. toujours sur son dos, celle là. bon, forcément, Eros l'adorait. Même plus : il ne pouvait pas s'en passer, en fin de compte. Mais entre ses parents directeurs, directeur adjoint et professeur, et la plupart de ses frères et sœurs dans la même maison que lui, il avait peu de temps sans sa famille. Ouais, non, quasi aucun, en fait.

Même si il était arrivé la veille, la vraie rentrée était belle et bien aujourd'hui. Les cours s'étaient enchainés, et Eros Rémus avait l'impression que la journée était passée à une vitesse folle. C'est donc épuisé qu'il s'était rendu dans sa salle commune. Du moins, qu'il avait essayé de rentrer. En effet, même après 5 années ici, Eros avait toujours du mal à retenir le nouveau mot de passe, à chaque rentrée. Il avait donc passé un gros quart d'heure, à essayer de se souvenir de ce foutu mot de passe, seul avec la grosse dame, en robe rose dans son tableau. Heureusement, sa solitude fut rompue par un deuxième année, qui lui -au moins- avait le mot de passe en tête.
La grosse Dame lançait des regards noirs à Eros, qui lui, se faisait tout petit. Il entra donc avec plaisir dans la salle commune, à l'ambiance chaleureuse et feutrée. Il n'y avait que peu de monde dans la salle, et heureusement pour lui. Il s'avança vers la cheminée, là où des années auparavant Harry y avait vu son père dans la cheminée et posa son sac contre le fauteuil le plus proche. Eros soupira, et s'écroula de fatigue sur le fauteuil, qu'il connaissait si bien. Il ferma les yeux quelques secondes, puis de longues, très longues minutes.

Il se réveilla en sursaut, éveillé par une étrange sensation, au dessus de sa tête. Il se leva d'un bon, et découvrit que la sorte de chatouillis qu'il sentait dans ses cheveux n'était que les doigts de Myar Caliope, sa grande sœur. Elle avait un regard fière d'elle, amusé. Eros, lui, venait à peine de se réveillé de se léger sommeil. Et autant vous dire que le réveiller, même d'un soleil léger, ce n'est jamais une bonne chose. Il serra les lèvres, et l'air légèrement rieur, il lança à sa sœur, tout en se jetant sur elle :

Toi, tu va le payer !

Il se jeta sur le fauteuil, afin d'attendre les côtes de la blondie, pour effectuer la torture ultime : les guillis.

Ah la rentré, une rentrée plus que difficile cette année pour notre petite blonde, mais elle n’allait pas se laisser abattre, elle ne se laissait jamais abattre. Alors, pourquoi ça serait différent aujourd’hui ? Après sa journée remplie de cours, dont un double de potion, la miss décida de revenir à sa vieille mauvaise habitude de flâner dans la salle commune, elle monta les marches quatre à quatre. Arrivé devant le portrait de la grosse dame, elle lui afficha un grand sourire, la grosse dame et elle, c’était toute une histoire. En fait, la grosse dame ne l’aimait pas du tout, mais pas du tout, mais comme elle était la fille de la directrice, elle faisait semblant de bien l’aimer. Alors, quand elle arriva devant celle-ci tout sourire, la grosse dame leva les yeux au ciel, et Myar lui répliqua qu’elle devrait être plus polie avec els élèves. Elle dit le mot de passe et le tableau la laissa passer.

Qui vit-elle endormie sur le canapé en entrant ? Son cher petit frère, de deux tête de plus qu’elle, qu’elle adorait emmerder et surtout a qui elle ne montrait pas qu’elle l’aimait. Elle s’approcha sans bruit de celui-ci et se mit à ébouriffer les cheveux du jeune homme. Elle se fichait bien de le réveillé et encore plus de l’humeur qu’il aurait à cause de sa, elle trouvait ça plus que marrant alors, elle le faisait. Le regard de la jeune fille s’illumina quand Eros se réveilla en sursaut. Il se lança vers elle, pour la chatouiller. La jeune fille rit un peu et finit par se dégager et regarda son frère sévèrement.

« Un peu de respect pour son aîné tsss »

Celle-là, elle la sortait tellement souvent. Elle poussa Eros, vers le fond du canapé et s’assoya à ses coté, remplaçant son chandail, pour être sûre qu’aucune bout de sa peau, notamment son tatouage ne se vois.

« J’espère que c,est pas moi qui t’ait réveillé toujours »

bah ouais toi, avec le sourire de victoire qu’elle affichait mes enfants, c,est bien évident qu’elle connaissait la réponse.

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Eros, poussé sur le canapé, par sa sœur d'un an son ainée, était donc assis sur le fond du fauteuil incroyablement confortable de la salle commune des Gryffondor. Le sourire victorieux que sa blonde de sœur affichait avait le don d'énerver Eros Rémus, mais il était bien obligé d'admettre qu'elle avait toujours le dessus sur lui. C'est horrible à dire, mais les muscles ne font pas tout. Il soupira, et observa Myar, qui avait l'air -malgré son contentement- plutôt sur ses gardes.

Non, pourquoi tu m'aurait réveillé ? Non, j'ai juste eu d'un coup l'impression qu'un serpent venimeux venait me faire un câlin. Et je ne te vois pas d'écailles

il marqua une pause

Quoique.

Eros regarda avec attention Myar, un sourire en coin, et pourtant avec un air très sérieux.

Et je ne crois pas qu'un jour j'ai la malchance que tu me fasse un câlin. Donc pas la peine d'espérer, ce n'est pas toi, n'est-ce-pas ?

Il regarda Myar, droit dans les yeux, un sourcil relevé. Il se passa la main dans les cheveux, et les ébouriffa légèrement. C'était un geste qu'il effectuait extrêmement souvent, presque trop. Même avant qu'il se coupe les cheveux cet été, il avait cette manie de se passer la main dans ses cheveux brunes et soyeux. Sauf que avant, ils se remettaient en place. Là, ce n'était plus vraiment le cas. Et puis, après une journée pareille, ils étaient dans un sale état.

Toujours aussi exténué, il bailla d'une façon peu raffiné, et pas vraiment délibérée. Après quelques micro-secondes, il referma sa bouche, de peur que sa sort n'y jette un quelconque objet vendu chez Weasley Farces, et qu'il ne vomisse ou saigne du nez quelques secondes après. Ouais, on est jamais trop prudent avec la Blondie, non, vraiment. Sans vraiment de conviction, mais avec un pointe de réelle "inquiétude", il demanda :

Sinon... Bonne journée ?

Sur ces derniers mots, il bailla à nouveaux. Et dire que ce n'était que le premier jour.

Myar depuis, cette été était devenue une personne toujours sur ses gardes. Elle ne voulait pas que sa famille découvre tout ce qu’elle avait fait, bon, ils le savaient tous, elle avait eue un copain, un parmi tant d’autre pour eux et l’unique pour elle. Tout est subjectif non? Et surtout, quand on n’a pas toutes les pièces du puzzle on ne sait pas vraiment tout. Alors, il n’y avait que elle à tout savoir et que elle qui saurait tout. Elle donna une claque derrière la tête de son frère après ses premières répliques non mais! Elle, un serpent tsss.

Une chance que Wendy n’était pas à Gryffondor, parce que Myar était sûre de se retrouver dans un combat à deux contre un, si ça avait été le cas.

« Non, ce n’est pas moi en effet. Tu n’auras pas le privilège que je te fasse un câlin. »

C’était bien connu et bien bizarre, Myar ne démontrais jamais d’affection, du moins physique, à son frère Eros. Allez savoir pourquoi, elle ne lui faisait jamais de câlin, jamais de bisous, ne le protégeait pas. Non rien de tout ça, pourtant, avec beaucoup de gens, elle démontrais son affection tout le temps et était quelqu’un de très aimante. Mais pas avec Eros, avec qui elle était tyrannique et a qui elle ne montrait pas grand-chose de ses émotions. Elle regarda Eros, replacer ses cheveux et ça la fit sourire. Il faisait toujours ça, oui, elle lui souria, s’pas parce qu’elle ne montrais pas qu’elle l’adorait qu’elle n’était pas gentille avec lui … parfois.

Puis monsieur lui bailla pas très poliment au visage et même après lui avoir demander si elle avait passer une bonne journée. Elle leva les yeux au ciel… les hommes je vous dis. Sa journée? Bah normale, elle avait envoyer balader Zeke encore une fois, avait été convoqué au bureau de la directrice, ce qui était plus que normale après tout ce qu’elle avait fait dans le train. Elle regarda son frère et finit par dire.

« Bah normale, je me suis engueler avec des Serpentards, j’ai envoyer promener le directeur des Serpentards. Ah oui, et je t’ai réveillé, alors une journée Nikel! Et toi? »

Elle ne tenait pas a tous dire à Eros, de peur qu’il l’aime moins, qu’il elle en savait rien, mais elle ne lui disait pas tout. Mais bon, il avait le général au moins nan?

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Eros leva les yeux au ciel. Décidément, Myar n'en ratait pas une pour se disputer avec n'importe quel Serpentard, qu'il soit simple élève, ou directeur de maison. Quand elle parlait de s'être engueulée avec des Serpy, Eros voyait forcément apparaitre la tête blonde de Zeke, dont il avait juste entendu parlé, Merlin soit loué. Silencieusement, il sourit, et approuva en quelques sortes les faits de sa sœur. Même s'il savait pertinemment qu'elle ne lui disait pas tout, le simple fait qu'elle mette la pâté aux serpentards était en soit une fierté. Même si Eros avait des amis à Serpy, il était toujours d'une humeur joyeuse quand sa sœur atteignait d'une quelconque façon la maison de Salazar Serpentard.

Même si, au fond, Eros et Myar se ressemblaient beaucoup, lui n'allait jamais défier un élève de cette maison. En fait, il avait trop peur des représailles, ou qu'il soit provoqué en duel, chose dont il avait extrêmement peur. Même s'il relèverais le défis sans hésiter, il savait qu'il le raterait. Quoique, en fait, il n'avait jamais essayé. Eros esquissa un sourire, et s'apretta à répondre, quand il se rendit compte qu'en fait il n'avait absolument rien fait d'intéressant de la journée. Il avait une nouvelle fois tenté d'emmenner Wendy or de la bibliothèque, il avait renversé le pot d'une Belladone - et se fit ensuite largement insulter par son professeur-

Ouais, bonne. Enfin, je crois. Je peux pas te dire, les journées sont toutes les mêmes chaque année.

En disant cela, il exagérait forcément puisque chaque jours il ajoutait une bêtise, une punition de plus. Mais ça, c'était inutile d'en parler. Tout à fait inutile.
Eros, même fatigué, ne supportait pas de rester assis une minute de plus. Ou du moins, pas à côté de Myar. Se tordre le coup pour lui parler n'était pas évident, ni franchement plaisant. Il se leva donc, et s'assit par terre, tournant le dos à la cheminée. Le sol était un peu froid, mais peu importe. Et puis, en face de Myar, il sautait mieux se défendre, contre une attaque qui -en fait- n'arrivera pas. Mais on est jamais trop prudent, hein. Depuis des années, sa sœur et lui se chamaillaient sans cesse. Pourtant, Eros aimait sa sœur Myar. Il l'admirait, en fait. Mais ça, personne ne le saurait jamais.

La vie à Poudlard de Myar se résumait souvent à se chamailler avec les Serpentards, tout comme son père le faisait quoi. Les plus jeune de cette maison, allait même, pour certains, jusqu’à la craindre, enfin, les Serpentards normaux la craignait, ceux avec un peu plus d’envie de duel s’en prenait souvent à elle. Mais elle reste invaincue, sauf avec Zeke et Roxanne, avec qui, c’est une lutte constante, au moins, si elle veut avoir du challenge, elle sait où aller voir. Bien sur, elle ne s’en prenait pas à tout les Serpentards, elle évitait d’emmerder les amis de son frère, parce qu’elle est gentille voyez-vous xD. Mais, elle leur disait de dire à Eros, que parfois, elle s’en prenait à eux, elle n’en voulait pas qu’il sache qu’elle faisait du favoritisme. Ah oui et pour être sûre qu’ils ne lui disent pas le contraire, elle les menaçait de vraiment s’en prendre à eux xD.

Eros et Myar se ressemblait en général, mais pas sur le fait que Myar elle, cherchait les problème, elle conservait la rivalité Serpy et Gryfon. Elle était comme ça et c’est tout, elle était aussi beaucoup plus fouteuse de trouble et se fichait pas mal de l’autorité, même si par tout où elle vas, c’était ses parents qui était l’autorité. Constatent la réponse de Eros, elle pu imaginer que celui-ci avait eue une journée routinière, tout comme elle quoi.

« C’est encore drôle, je m,en prend pas au même serpy à chaque jours tu sais! Ça change mes journée, on a pas els même cours, j’ai pas les même retenues. En quoi ici, c’est routinier? »

Elle fit une grimace à son frère, qui décida de s’asseoir par terre et elle lui ébouriffa les cheveux. Myar était une abonné des retenues, avec presque tout les prof, sauf peut-être la directrice de poufsouffle, mais elle n’avait pas de cours avec celle-ci, mais au dernière nouvelle, toute deux s’entendait bien. Elle regarda son frère, il lui avait manqué cet été, mais elle n’allait pas lui dire, elle ne savait même pas ce qu’il en avait fait.

« Alors petit frère, tu as fait quoi de ton été? »

Eros admirait Myar? Myar n’en savait rien, mais elle se disait que c’était peut-être la cas, quoi qu’elle en doute, mais c’est pour ça, qu’elle ne lui raconte pas tout, de peur qu’il ne l’aime pu, ne l’admire pu. Mais, c’est assez étonnant qu’il l’admire avec toute les retenue, tout les conneries qu’elle fait, m’enfin, c’est son choix et la blondinette ne le saurait jamais.

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Eros songea à cet été. Lui non plus, n'avait pas été fantastique. Il avait passé presque tout son temps chez les amis de la famille, comme tout les été. Il avait fait peu de nouvelles rencontres, et il avait passé tout son temps à faire la fête et à flirter ça et là. Ne pouvant pas utiliser sa baguette magique, il n'avait fait qu'essayer de se souvenir des cours de sortilège de l'année précédente. En fait, il avait passé un été comme les autres, sans vraiment beaucoup de rebondissements. La vie d'Eros était d'un calme affolant. Myar, elle, semblait avoir fait beaucoup plus que ça. Elle et Eros n'avait pas beaucoup eu le temps de parler, depuis cet été, mais elle semblait changée. Au moment où Myar l'appela "petit frère", celui-ci esquissa un sourire. il était rare qu'elle l'appelle comme ça. Ou du moins, qu'elle l'appelle autrement que par Eros, ou par un surnom désobligeant.

Mon été... Lui non plus, il n'a pas été incroyable. Tu sais, comme d'habitude. La drague, la fête, l'insouciance.... Normal quoi. Ah, si. J'ai découvert qu'il y avait une goule dans la cave des voisins. M'enfin, à part ça...

Et toi alors, Grande sœur

il insista sur ces deux mots, un sourire en coin

... Qu'est ce que t'a fais de beau ?

Pourquoi elle avait parlé de l’été celle-là? Elle s’auto forçais à repenser à son histoire d’amour, à ses cuite, à son tatou et à bien d’autre chose, qu’elle ne dirait sûrement pas à son frère. Sa mère, en savait sûrement une partie parce qu’elle était sa mère et qu’apparemment, sa se voit dans les yeux. Mais Eros, n’allait sûrement pas le voir dans les yeux de Myar, c’était un mec après tout. Elle se mit à pensée à tout sa, au belle sortie, aux belles paroles, au claire de lune, au couché et lever de soleil. Pour une des rares fois, Myar était resté chez elle tout l’été, juste pour voir son boyfriends de l’été, été qui avait passé tellement trop vite à son goût, mais on ne peux pas jouer avec le temps, ni pour revenir en arrière ni pour l’arr^ter ou l’avancer.

Apparemment, son frère, lui, n’avait pas eue un aussi bel été qu’elle. Elle trouvait sa dommage, elle trouvait aussi dommage, qu’elle, se cache de faire la fête alors que tout le monde en parle ouvertement, mais elle est la grande sœur non? Montrer l’exemple… el plus possible du moins et si ses frère et sœur savaient, tout ce qu’elle avait fait… boff.

« Grande sœur, elle c’est trop un petit copain, pour avoir à le largué deux mois plus tard, parce que j’allais supposément au pensionnat. »

Pouvait-on considéré que le ton de la voix de Myar, si on l’étudiait bien montrais de la tristesse, était une façon de montrer pour la première fois à son frère qu,elle avait des sentiments, pas pour lui, ça sa arriverait pas, mais des sentiments tout cours. Elle ne voulait pas lui en dire trop, mais elle aurais aimé lui en dire plus, sauf que c’est pas facile à faire, disons le. Puis, elle réalise, qu,il y avait une goule chez les voisins, Myar détestait les goule

« Si pour la goule c’est une blague, c’est pas drôle Eros, je déteste le goule tu le sais! »

Ah Myar, oui elle avait changer, beaucoup plus qu’elle ne s’en rendait compte elle-même. Plus méfiante et sur ses garde pour que personne ne sache, mais aussi un peu plus terne à l’intérieure, chose qui se règlerais sûrement dans deux semaines, comme d’habitude, mais pour la méfiance…

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Avant que Myar ne commence à répondre à Eros, elle semblait réfléchir, penser. Non, elle semblait plutôt se souvenir. De cet été, surement. Mais Eros n'était pas dans sa tête, malheureusement. Il voyait en elle une once de tristesse, et ça lui faisait de la peine. Il ne montrait pas non plus son affection envers sa sœur, du moins pas comme il l'aurait fallu, mais il se faisiat du soucis pour sa sœur, réellement. Avec Wendy, ils avaient conclus que quelque chose avait changé, mais ils ne préféraient pas en parler avec Myar. Si elle devait leur en parler, elle le ferait. Du moins, les jumeaux l'espéraient.

Alors quand elle commença a parler, elle ne fit que confirmer ce qu'Eros pensait. A cause du ton de sa voix, elle semblait encore plus mélancolique. Même si elle ne lui disait pas ce qu'il s'était réellement passé, elle se révélait pour la première fois à Eros, en quelque sorte. En fait, le simple fait qu'ils parlent sérieusement était déjà un pas en avant. Alors le fait que Myar parle de son été... « Un petit copain, hein ? Ouais, c'est qui celui là ? Si jamais il lui a fait quoique se soit je... Heh, mais je m'énerve pour Myar, là ?! » pensat-il. Il sourit, quoiqu'un peu inquiet. Il hocha la tête, pour inciter Myar à continuer, même si c'était inutile.
Quand Myar lui parla de la goule, Eros sourit de plus belle, et ria doucement. Ha, il avait oublié qu'elle n'aimait pas les goules. Malheureusement, ce n'était pas une blague. Il s'en était rendu compte, un soir tard, quand il avait entendu des bruits de tuyaux. Le lendemain, dans une visite clandestine, il avait découvert que le faiseur de trouble n'était qu'une goule inoffensive, aux dents proéminentes.

Heu beinn. De toute façon, on est à Poudlard encore pour quelques mois, jusqu'aux prochaines vacances. Alors, d'ici là.

Mais tu n'en profiterais pas pour changer de sujet... ?

Myar n’avait pas l’intention de tout dévoilé au jumeaux, elle ne voulait pas baissé dans leur estime encore plus qu’elle ne soit croit déjà bas. Elle ne veut pas qu’ils la voient faible, parce que Myar a toujours été la forte de la famille, a toujours été la téméraire, la courageuse, celle qui était comme son père et qui veux être comme son père. Alors, en parler aux jumeaux très peu pour elle, sa fierté, son ego et son orgueil en prendrait tout un coup.

Qui ne serait pas mélancolique? Qui ne voudrait pas tout faire pour oublier et s’en souvenir à la fois? Qui voudrait arrêter de croire que c’était vraiment arriver? De toute façon, Myar avait preuve à l’appui et pas des miettes! C’est toujours triste de laisser les gens qu’on aime derrière soit, surtout quand cette personne est celle que vous aimez le plus parmi ceux que vous aime. Surtout quand cette personne vous a tellement fait vivre des moments extraordinaire, que vous vous sentez coupable à ne pas pouvoir lui dire en face que vous devez partir. Myar, regarda Eros dans les yeux, essayant de voir si il avait compris quelque chose ou pas, s’il avait vu le changement ou non. Elle était presque sûre qu’il avait constaté le changement, Eros n’avait pas pu connaître Mike, parce que ça n’avait pas adonné, mais Kendra l’avait rencontré, Alphonse, Sirius, Peneloppe et Wendy aussi. Tout le monde, sauf le brun. Elle se demandait si Eros, pensait des choses du genre, le salot s’il a fait quelque chose à ma sœur. Et ça la fit sourire, elle en doutait, pourquoi penserait-il ça? Il ne voulait pas la protéger, c’était un sentiment mutuel que partageaient les deux jeune gens, de ne pas se montrer leur sentiment un envers l’autre. Eros parla de la goule, qu’elle serait peut-être partie, elle espérait bien, si non, elle la ferait dégager et vite. Puis, il dit qu’elle essayait de changer de sujet, même pas vraiii. En fait c’était tout à fait vrai mais bon, elle leva les yeux au ciel et mit ses coude sur ses genoux et accota sa tête de dans.

« peut-être bien… mais si je le fais c’est sûrement mieux pour toi non? »

mais qu’elle mauvaise excuse, c,est pour ton bien, mon c*l oui! Elle continua de regarder son frère espérant qu’il ne se dise pas de regarder par-dessus Myar parce qu’il verrait un joli début de tatoo et espérant aussi, que l’excuse bidon lui suffise.

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Myar semblait de plus en plus pensive. Eros s'inquiétait, au fond de lui. Mais en apparence, il ne laissait rien paraître, bien entendu. Comme d'habitude, en fait. Le jeune homme avait la fâcheuse habitude de ne jamais rien montrer de ses sentiments. Ce pourquoi tout le monde pensait qu'il était courageux, tout ça, tout ça.

Eros ne pouvait se douter qu'en fait, il était le seul à ne pas être au courant. Et cela était tant mieux. Il détestait être le dernier au courant. En fait, Eros avait toujours été le lourdingue de service. Celui qu'on envoie paitre, celui dont on se sert pour des petits jeux malsains. Et malgré lui, ce schéma se répétait sans cesse. Comme là, à présent, avec Myar. Ou avec Roxanne, dont il ignorait le petit jeu. Ou encore même avec Ryan, qui le rembarrait à tout bout de champ. Au fond, il se demandait si quelqu'un tenait à lui, pour ce qu'il était. Mais pour lui, c'était impossible, puisqu'il montrait peu sa vraie personnalité.

En fait, Eros était l'exemple même de l'oignon, composé de plusieurs couche. la première, courageuse, baratineuse. La seconde, que les gens découvrait malgré eux, qui laissait paraitre un garçon peu courageux. Et enfin, le cœur. Surement seul le choixpeau le connaissait, car même Eros avait du mal à savoir ce qu'il cachait.
Perdu dans ses pensées, il avait à peine entendu Myar lui répondre. Pourtant, instinctivement, il lui répondit, un sourire en coin :

Ha. Et si tu me disais la vérité, tu devrais me tuer, d'un coup de baguette magique, c'est ça ?

Eros haussa les sourcils, avec un air faussement supérieur. il avait vraiment envie que Myar se livre, pour une fois.

Eros avait se point commun de ne pas montré leur sentiments, enfin, Myar les montrait mais pas à tout le monde, elle choisissait les heureux élus. Elle les choisissait souvent en sachant que la personne en question ne sera pas déçue et se dire simplement que les erreurs ça arrive à tout le monde. C’était comme ça qu’elle fonctionnait, son but c’était de ne pas décevoir personne, d’être toujours à la hauteur, le problème quand on commence comme ça et qu’on est courageuse comme Myar c’est que dès qu’on fait un faux pas et un vrai tout le monde le vois et vous chuter de haut.

Elle regarda son petit frère, elle était fier de lui, vraiment, mais elle ne lui disait pas, alors qu,elle devrait peut-être le faire un jour ou l’autre, parce que le pauvre enfant, personne ne lui disait, personne ne lui disait vraiment qu’il l’aimait, ou encore lui annonçait les choses en premier, m’enfin, Myar ne savait pas si oui ou non ça affectait vraiment son frère. La jeune fille finit par se lever du canapé et s’assoya par terre en tailleur en face de son petit frère. Elle eue un petit sourire à sa réplique. Est-ce qu’elle devait lui dire? Juste un peu de chose? Rien que pour que quelqu’un sache? Myar décida de pendre sur elle un petit peu et regarda son frère avant de s’accoter sur le canapé tout en restant assise sur le plancher. Elle pris une bonne respiration et finit par dire

« Tu as le droit à cinq questions, je vais te dire la vérité, mais tu as pas le droit de répété ce que je vais te dire compris?! Si non, je vais vraiment devoir te tuer »

Bien sur, elle n’irait jamais jusqu'à tuer son frère, elle l’aimait bien trop pour ça, mais qui le savait? Cinq question… elle espérait qu’il en poserait pas des trop bonnes.

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A la grande surprise d'Eros, Myar vint s'assoir à ses côtés, en tailleurs. Après sa longue inspiration, elle lui laissa le choix, le droit à cinq questions. Eros devait choisir les bonnes. C'était une sorte de marque de confiance, que de lui accorder cinq questions. Mais Eros avait aussi la sensation que c'était un piège. Comme s'il était testé dans le fait de choisir les bonnes questions, ou plutôt, les mauvaises questions. Les pensées du jeune homme commençaient à s'embrouiller, puis il tourna sa tête vers celle de sa sœur, plongeant son regard dans le sien. Au fond de lui, il pensait que choisir les mauvaises questions soulagerait Myar. Comme si dans son cœur, elle voulait qu'il réponde à côté, afin d'éviter à la jolie blonde de répondre à des questions embarrassantes.

D'un autre côté, il avait tellement envie de savoir. savoir ce qui dérangeait la jeune fille. Qu'est ce qui lu était arrivé, pourquoi elle semblait si mélancolique. Trop de questions se bousculaient dans la tête du jeune homme. Après quelques secondes, il hésita, puis demanda enfin :

Ce .. ce petit copain. Enfin, cet été... Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

Eros avait bafouillé. Il était un peu perdu, et ne savait décidément pas quoi dire. Dans la grande salle, il n'y avait plus personne, à part les deux frères et sœurs, qui semblaient parler pour la toute première fois de leurs vies. Il devait être tard, ou du moins, bien assez tard pour que les élèves, trop fatigués, soient partis se coucher. les dernières personnes qui étaient rentrée avaient filés aussi sec.

Laisser Eros avoir le droit à cinq question, était pour elle une façon de lui monter qu’elle était fière de lui, une façon de lui monter qu’il serait le premier au courant et qu’il le méritait. Une façon de lui montrer sans trop le faire, qu’elle l’aimait. Myar souhaitait que les questions qu’Eros allait poser ne serait pas trop embarrassante pour elle, mais elle le connaissait, il était intelligent, il poserait les bonnes questions et ça, elle le savait, depuis qu,elle avait eue l’idée, elle le savait et ça lui ferait peut-être du bien d’en parler, ou peut-être pas, elle n’en avait tellement aucune idée.

Elle fixa son frère dans les yeux, elle essayait le plus possible de caché ses émotions dans son regard, elle était doué pour montrer ses émotions comme pour les caché, elle voulait peut-être en parler un peu à Eros, mais elle n’allait pas l’aidé. Première question, bon choix, bonne voix, mais beaucoup trop vague. Il s’était passé tellement de chose, tellement de chose en seulement deux moi. Quand elle entendit les mot sortir de la bouche de son frère, elle fut porté à mettre sa main dans son bas de dos, comme à chaque fois qu’elle parler de l’être aimé « Bonne voix.. Mais ta question est beaucoup trop vague, il est arrivé tellement de choses, on ne la comptera pas d’accord? Soit un minimum plus précis. » Elle était gentille non? Elle effaçais le compte et lui disait qu’il était sur la bonne voix.

Myar regarda autour d’elle, elle ne tenait pas à être écouté, apparemment, il se faisait tard parce que tout le monde était couché sauf les frère et sœur, assis un en face de l’autre. Deux frère et sœur qu’on ne dirait jamais de la même famille sauf en caractère. Une blonde aux yeux bleus, un brun aux yeux brun. Un grand une petite, ils étaient tellement contrasté…

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