exposed - do you ever live racism ?
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 like a hobo • uc

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Thomas E. Barbary
Thomas E. Barbary
septième année ▬ finalement


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MessageSujet: like a hobo • uc   like a hobo • uc EmptyLun 21 Sep - 19:28

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    (c) misery angel.


    — thomas
    « rpattz. » barbary


    nom complet : « L’identité semble être une coutume que trop récurrente ces derniers temps et je m’en las un peu, mais bon puisque nous sommes tous dans la même situation autant le faire dans la joie et la bonne humeur - tout en étant rapide -. Thomas Elliot Oscar Barbary. Voilà mon prénom complet. Mon prénom usuel Thomas n’a pas vraiment d’origine particulière - si ce n’est sa signification en araméen « Jumeau » - qui ne veut pas dire grand-chose dans mon cas bien que mon caractère pourrait en faire un parfait objet de raison. Elliot quand à lui répond a un ordre purement croyant dont ma mère en faisait son porte chance. « Le seigneur est mon dieu ». Très clairement je ne crois guère que la grâce de dieu m’accompagne et je m’en contre fiche royalement. Le dernier quand à lui me vient de mon grand père et point à la ligne. Barbary ? Oui merci j’en connais la provenance et on ne peut guère faire plus britannique à mon gout. »
    âge : « L’âge con ! En vérité il n’y a pas d’années pour l’être ou le devenir, j’ai la vingtaine pour être exact. Et oui que demander de plus très franchement ?! Rien ! Bonne réponse mon gars. »
    date et lieu de naissance : « Les Beatles y ont joués leur tout premiers succès et bien d’autres, le Prince Charles y tient un rôle d’honneur, les plus grands dramaturges y ont vécus, en d’autres termes vous l’aurez devinez je suis nait dans la capitale londonienne. En dépit de cela ce fut la clinique de Londres qui abrita mes yeux de poupon innocent le vingt cinq décembre mille neuf quatre vingt neuf. Mais quelle coïncidence dites moi ?! »
    cursus : « Nouvelles réformes pour nouvelle âge d’admission je suis actuellement en sixième année, avec une légère différence qui me rend d’autant plus souriant. Vous désirez savoir laquelle ? C’est simple ma sœur ainée se retrouve dans la même classe que moi, à un détail près. »
    sang : sang mêlé.
    rumeurs/secrets : Les rumeurs. Elles ne forment vraisemblablement qu’un bon condensé de médisance égale au téléphone arabe qui est donc que très peu fiable. Certains murmures parcourent les nombreux corridors du château magique et parmi eux prône la fourbe idée que le jeune Barbary serait un homme à femmes. Réalité des faits, Thomas est bien un dom juan mais ce n’est qu’une apparence car il ne joue guère avec le sentiment. Ce n’est qu’un stratagème pour tromper son monde. Une erreur d’information ou réelle vérité ? Et bien oui, le batteur de la maison des aigles est bien victime d’une maladie de cœur, mais silence c’est un secret mes amis.

•• allons un peu en profondeur.

▬ ce qui vous rend unique
« Si vous entendez par là une notion fortement philosophique alors oui nous demeurons tous unique sur le sens de nos valeurs. La première qui prône en tête de liste est très certainement la notion de respect de l’autre. La médisance sur telle ou telle personne à le don de m’agacer, pour autant ne vous fiez pas a mon coté solitaire lorsque je suis passage vous pourriez être surpris. La deuxième et dernière valeur est la protection que je porte envers ma frangine ainée. La famille est un fondement de piliers nécessaire et le préserver est un instinct que je sais mettre à profit. »
▬ oui ou non
« les deux, tout dépend de lamatière à réflexion. »
▬ votre plus grande qualité et défaut
« je n'aime pas me mettre en avant, alors je ne discuterais pas sur ce thème. »
▬ votre dessert favori
« eclair au café. »
▬ où aimez-vous vous assoir en classe
« en milieu de rangée sur le coté près de la fenêtre. »
▬ votre boisson préféré
« whisky pur feu. »
▬ la première fois que vous avez manger un bertie crochu, votre réaction
« bonne appréciation puisqu'elle était au gout du pain grillé, bon petit déjeuner. »

Dernière édition par Thomas E. Barbary le Jeu 24 Sep - 16:46, édité 5 fois
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Thomas E. Barbary
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MessageSujet: Re: like a hobo • uc   like a hobo • uc EmptyLun 21 Sep - 19:28


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MessageSujet: Re: like a hobo • uc   like a hobo • uc EmptyLun 21 Sep - 19:28


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(c) bedshaped



    Citation :
    Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toutes les terres habitées.J'étais plus isolé qu'un naufragé sur un radeau au milieu de l'océan. Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix m'a réveillé. Elle disait :
    - S'il vous plaît... dessine-moi un mouton !
    J' ai sauté sur mes pieds comme sij'avais été frappé par la foudre.J'ai bien frotté mes yeux.J'ai bien regardé. Etj'ai vu un petit bonhomme tout à fait extraordinaire qui me considérait gravement. Je regardai donc cette apparition avec des yeux tout ronds d'étonnement. N'oubliez pas que je me trouvais à mille milles de toutes les régions habitées. Quand je réussis enfin à parler, je lui dis :
    - Mais... qu'est-ce que tu fais là ?
    Et il me répéta alors, tout doucement, comme une chose très sérieuse :
    - S'il vous plaît... dessine-moi un mouton.
    Et c'est ainsi que je fis la connaissance du petit prince.
      « le petit prince ». St Exupéry.


la marche est un
« like a hobo . »symbole.



    " Elle se meurt petit à petit dans son chagrin infini,
    en oubliant aux alentours les bonheurs de l’amour.
    Ne me laisse pas pour seul ressentit une expression impassible,
    aux risques de croire que tout est impossible.

    C’était la seule phrase qu’il avait prononcé devant la défunte personne qui l’avait abandonnée. Cette dernière bien trop encrée dans un paradis idéaliste avait succombée à la dure fatalité de la vie. Une vie qui ne voulait plus d’elle et où seul le paradis était son tombeau. Pauvre amie nourricière de son amitié entretenue, elle traversait à son tour les nuages blanc et cotonneux du jardin d’Eden en compagnie des anges et dieux, qui avaient bercés ce pays songeur et idyllique. Devait il y penser en chimères ou bien devait il est fataliste envers cette thèse théologique et biblique ? L’adolescent qu’il était ne voulait se mouvoir que dans un monde réaliste et vrai quitte a souffrir en attendant le salut qui a son tour lui permettrait de traverser les couloirs de l’entre deux. Ses airs mystérieux et son regard améthyste ne jouaient guère en sa faveur pour ne pas attiser la flamme de la curiosité, et pourtant son visage enfantin et doux emprunté au dieu Apollon des allures d’Adonis et de perfection. Assis aux bords d’une route de campagne qui longée quelques maisons, le gamin marchait d’une démarche nonchalante avec pour seuls témoins le ciel azur et ses pensées beaucoup trop dures. Ces dernières l’accompagnées toujours depuis sa naissance, a croire qu’il représentait parfaitement le Jugement des Parques. Positif ou négatif ? Il fallait savoir trancher, et cela Thomas en avait grandement l’habitude. Il déambulait tranquillement en regardant droit devant lui, mais l’horizon de son chemin ne lui montrait rien - ou presque -. Un bruit sourd tel un ronflement se fit dès lors entendre sur la route du silence qu’il empruntait depuis bientôt une heure et demie. Basculant son regard clair vers la gauche, il remarqua la présence d’un vieil homme âgé avoisinant les soixante dix années. Son apparence mal fagotée, en disait long sur son appartenance sociale. Un chapeau de cow boy posé a la va vite sur le sommet de son crane, une chemise trouée et un pantalon de velours vert foncé, et une veste de pêcheur sur le dos, le vieillard était adossé paisiblement contre le tronc d’un vieux chêne. Une brindille de blé dans la bouche, le vieil homme relava doucement son visage vers le petit bonhomme qui lui faisait face présentement.

    « Bien le bonjour jeune homme. »

    Sa voix enjouée et calme, laissait le jeune Barbary observateur et impassible. Ses yeux ne trahissaient aucunement ses émotions. Très vite, le petite sorcier en déduit qu’il s’agissait d’un vieil homme qui vagabondait au travers du pays pour voir le monde et ses méandres peut être, qui sait ? Au bout de quelques minutes, Thomas se décida à s’abaisser à la hauteur de son interlocuteur.

    « Tu n’es pas du genre très bavard dis moi ? »
    « En vérité je ne parle que très rarement, c’est dans ma nature c’est tout. Et vous pourquoi vagabondez vous ? »

    Sa voix cristalline d’enfant raisonnait alors dans la campagne de couleur. Mains sur ses genoux l’ange rigolard regardait de manière intense et patiente l’hardi vagabond. Il semblait l’avoir déjà vu quelques part mais il avait encore des doutes sur sa véritable identité. Se redressant davantage à l’écoute de la question du gosse, le nomade s’éclaircit la gorge et leva les yeux vers le ciel clair et dégagé de toutes pluies. Un soupire s’échappait alors de sa barbe quelques peu jaunis par le temps, et dans une voix joyeuse et rauque il répliqua.

    « Tu m’a l’air d’un jeune sorcier bien perspicace et intelligent. Tu es patient aussi, c’est tout a ton honneur jeune homme. Pour ce qui est de mon choix de vie, dis toi que c’est une sorte de pèlerinage qui un temps soit peu, m’aide à oublier la douleur de la perte d’un être cher. »
    « La douleur ne s’en va guère, elle est demeure présente dans chaque pas, et dans chaque minutes de temps qui s’écoule. »
    « Ne craint pas le monde mon gamin, il a tant de choses à t’offrir … »
    « Je ne crains pas le monde, c’est les gens qui devrait me craindre je porte malheur. »

    Face à la maturité des propos de son récepteur, l’homme âgé restait pantois. Ce petit ange déchu était d’une sagesse incroyable pour son jeune âge ; mais à trop s’écouter il avait perdu la notion du rêve et de l’illusion. L’illusion savait entretenir l’imagination chez l’homme et l’homme lui-même était un rêve non imagé certes, mais tout de même. Fouillant dans l’un de ses nombreux sacs de voyage, l’homme sortit une boite en ferraille. A l’intérieur entouré de coton et plume siégeait un œuf blanc. Un froncement de sourcil se dessina sur le visage de Tom, tandis que le vieux lui faisait signe de s’en saisir. Obéissant au propriétaire de l’œuf, le jeune taciturne saisit de manière délicate l’œuf reflétant tant de mystères. En l’observant de plus près, le garçonnet reconnu l’espèce à laquelle appartenait cet œuf. Il s’agissait bel et bien d’un œuf de la chouette de Tengmalm.

    « Il est rare d’obtenir ce genre de choses, comment l’avez eu en votre possession ?! »
    « Ma chouette Ella, a faite une ponte très récemment. Malheureusement le prédateur ne rodait pas loin et en voulant sauvez les siens, elle y a laissée sa propre vie. Et cet œuf que tu tiens si précieusement dans tes mains et celui qui a survécu. Et maintenant il est à toi mon grand. »

    Ecarquillant ses yeux d’un rond magnifiquement définit, le jeune érudit fronça très nettement les sourcils d’un air offusqué. Il ne comprenait pas ou bien il ne voulait pas comprendre. Non seul la première seulement lui venait réellement a la l’esprit. Cette œuf d’un aspect innocent représentait à lui seul les vestiges d’une vie oublié dans les limbes du temps, alors pourquoi voulait il le lui offrir à lui ? Toujours accroupi face à son interlocuteur, Thomas fixait alors la vie ronde qui tenait à l’intérieur, puis doucement toisa le vieillard.

    « Il est tout ce qu’il vous reste alors pourquoi ne pas le garder auprès de vous ? »
    « Je sens intérieurement que tu as une grande capacité et des dons potentiels en magie qui sommeillent en toi, en tant qu’ancien professeur d’Astrologie je m’y connait un peu. »

    Lui adressant un clin d’œil suivit d’un petit rire sincère et jovial, le gamin aux cheveux en bataille esquissa un sourire mince aux commissures de ses fines lèvres. L’information que lui avait divulgué l’ancien enseignant lui revint alors en mémoire et il souvenait bel et bien de son visage malgré les quelques balafres qui ornaient ses joues creuses et mattes marquées par le soleil. Oui ce personnages haut en intelligence était l’un des plus grands professeurs d’Astrologie mais aussi un chercheur de renommée internationale - ou presque -. Souvent comparé à l’Indiana Jones moldu, cet érudit demeurait l’un des écrivains dont Thomas lisait le plus d’écrits depuis qu’il était en âge de lire. Dernièrement cet homme à la notoriété grandissante avait perdu sa femme dans des circonstances douteuses et depuis plus personnes n’avaient entendu parler de lui. Peut être que la vie était traitre à l’homme, et peut être que l’existence humaine consistait à souffrir pour mieux s’en sortir grandit, mais qui le savait vraiment ?

    « Bien mon jeune ami, je vais devoir te quitter pour bouger ma vieille carcasse de savant fou vers d’autres horizons, qu’en penses tu ? »

    L’expression amicale et souriante du vieux fut comprise de la part de son cadet, qui opina en sa faveur. Il se leva à son tour et tendit la main à son nouveau camarade afin de l’aider à se remettre sur ses jambes. Sacs de voyage sous les bras et dans le dos, l’ancien fit un signe de main chaleureux au petit sorcier qui lui l’observa jusqu’à ce qu’il disparaisse sous la lumière puissante des rayons du soleil.

    " Ton souvenir ronronne en moi comme une mélodie doucereuse.
    J’apprendrais à l’apprivoiser pour que dans une brise joyeuse,
    tu puisses l’entendre de ton ciel lointain.
    Et alors un beau matin d’un jour prochain je te tiendrais la main.


Dernière édition par Thomas E. Barbary le Ven 25 Sep - 19:50, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: like a hobo • uc   like a hobo • uc EmptyLun 21 Sep - 19:29


le souvenir est une
« remember the time. »mémoire.



    " Tu demeures un petit virtuose, en qui je place beaucoup d’espérance,
    Ne crois pas en la fatalité qui ronge la moindre de tes fines croyances.
    La valeur du don qui tourne en toi se veut clair et éternel,
    Et apprend que cette dernière passe par ton lien fraternel.


FLASH BACK.


    L’œuvre du temps est bien définitive dans le cercle d’une vie humaine. Ce dernier passe puis ensuite trépasse, le tout pour laisser ensuite sa place. La musique avait ses propres vertus, et le temps apprenait à l’humain à grandir. Un phénomène que vivait tout enfant en passant de l’enfance a l’adolescence. Cette dernière pouvait se montrer dépressive, oisive, changeante, rebelle ou encore contradictoire. Chacun la vivait à son rythme au gré de l’ambiance familiale, ou des chemins qu’il emprunte. Ne pas croire en quelques choses relevait pour certains de la fatalité, et pour d’autres personnes cela n’avait aucune signification particulière et cette remarque faisait partie de la philosophie du brun aux reflets couleurs de bronze. Il ne pensait que les beauté des croyances existaient et encore moins la possibilité que les grands seigneurs religieux puissent y mettre leur grain de sel comme si tout dépendait de leur bon vouloir. Doucement une brise de vent hivernale vient s’échouer dans la chevelure en bataille de l’adolescent perché à une bonne trentaine de mètres du sol fertile du terrain de quidditch du quartier. Installé sur son balai – acheté quelques années auparavant – Thomas tendait à observer l’issu du match amical qui s’activait entre son équipe d’amis et leurs adversaires venant d’une autre ville voisine. L’horizon commençait doucement à se dessiner lorsqu’une voix criarde et impatiente le tira de sa rêverie soudaine mais quotidienne à la fois.

      « Thomas réveille toi ! Tu attends quoi par les chaussettes de Merlin ?! Que le ciel te tombes sur la tête ? »

    Les paroles de sa meilleure amie raisonnaient dans sa conscience comme une musique en fond sonore. Le virtuose se questionnait encore sur le pourquoi du comment de la situation actuelle. L’intelligence dont il faisait preuve ne le laissait aucunement douté face à l’issu du résultat final du match. Le sorcier était agile et svelte, et la place qu’il occupait dans l’équipe était primordiale pour mettre fin à la rencontre sportive. Cette dernière pensée en mémoire, le britannique partit sans crier garde en direction de la balle la plus vivace – à savoir le vif d’or -. Ses mouvements s’accordaient sans détours aux fougasses de vent, et sa rapidité ainsi que sa force décrivait à la perfection ses prochains actes. Aucune surprise ne fut nécessaire lorsqu’il fut en possession de la balle tant convoitée par l’équipe adverse, et c’est avec un mince sourire satisfaisant sur le visage, que le futur étudiant de Poudlard redescendit en direction de la terre ferme. Balai dans une main et l’autre tenant fermement la petite balle dorée, Thomas fut de nouveau très vite entouré pas sa bande d’amis de l’époque. Tous s’afférait à le féliciter avec de grands compliments – certains qu’ils trouvaient plus qu’exagérés – et lui comme un bon compagnon tentait d’esquisser un sourire amical. Relevant alors quelques peu son visage vers les hauteurs du plafond bleu azur, le mystérieux observa sa compagne des fous rires de toujours, qui sur son balai ancien lui faisait signe de la rejoindre un peu plus tard. Balançant dès lors son visage pour masquer sa soudaine malice, il lâcha d’un signe bon enfant de la main ses camarades pour recouvrait le chemin du rire qui le mènerait sans discussion aucune vers celle avec qui il avait connu la description première de l’amitié.


FIN DU FLASH BACK.


    De nos jours.
    Domaine de Poudlard.


    Dos calé contre le tronc d’un arbre centenaire, le jeune Barbary tenait entre ses mains un énième ouvrage d’astronomie. Une matière qui le passionnait sans pour autant qu’il n’en fasse des efforts particuliers. Les efforts. L’érudit aux allures d’Apollon n’en faisait guère plus ces derniers temps, a croire que la joie de vivre dont il faisait quelques peu preuve avait soudaine disparue sans explication. Hors l’explication de la cause était réelle et bien présente comme encrée dans un passé qui avait sauvegardait son existence. Une existence qu’il remettait souvent en cause. Ses prunelles d’un regard clair et ambré se fondaient parfaitement dans les écrits du bouquin qu’il tenait devant lui. Les cris qui l’entouraient ne le gênaient pas plus que cela, il en faisait parfaitement l’abstraction jusqu'à ce qu’une voix douce et quotidienne ne parvienne à son esprit. Relevant alors rapidement son visage d’un geste vif, le serdaigle reconnu sans détour sa sœur aînée – qui tout comme lui avait quelques peu transformée con caractère coutumier -.

      « Encore sur ce vieux livre ! Thomas parfois tu me désespères. »
      « Que veux tu, on ne change pas les bonnes vieilles habitudes. »
      « Pourquoi tu ne laisserais pas un peu tes livres de cotés, pour venir je sais pas avec ta frangine à la sortie de Pré-au-Lard ! Hein ?! »

    L’expression sincère et mielleuse de la brune avait – de manière générale – toujours eu raison de sa conscience, car il n’aimait pas vraiment décevoir Jheylann mais son humeur quelques peu changeante ne lui donnait pas l’envie de s’amuser. Il n’en avait pas du tout la moralité et la raison quand à elle ne suivait guère en ce genre de faveur. Il ferma dès lors l’ouvrage de l’étude des étoiles, et esquissa un mince sourire aux commissures de ses lèvres. Il opina pour ne rien à dire, ne rien conter et tout garder à l’intérieur de sa conscience afin de profiter pleinement du lien qui l’unissait à sa frangine. Ils formaient une sorte de tandem bien complice mais ils étaient aussi divergents ce qui leur permettait sûrement de se compléter. En un sens comme dans l’autre, Thomas se résigne a sa raison qui demeure selon lui le seul maître de la lumière. Ne plus souffrir, une idée fortement idéalisée. L’ange rigolard lui n’y croyait plus tellement et sur une note de fatalisme que le batteur des aigles parti d’un pas nonchalant vers la sortie du domaine de Poudlard.


Dernière édition par Thomas E. Barbary le Dim 11 Oct - 13:27, édité 1 fois
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Alacendra Mawls
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MessageSujet: Re: like a hobo • uc   like a hobo • uc EmptySam 10 Oct - 17:02

      Le forum n'a pas encore ré-ouvert officiellement et de ce fait, nous sommes moins sévère et nous laissons plus de temps pour terminé les présentation, mais cella fait plus d'une semaine que tu n'y a pas touché. Si dans les deux jours suivants nous n'avons toujours pas de nouvelle, nous déplacerons ta fiche aux archives.
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MessageSujet: Re: like a hobo • uc   like a hobo • uc Empty

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