Le destin est une pute ou un salaud je sais pas. Vu que c'est le je vais aller pour le salaud, mon père vient me dire que c'est ma destiné d'aller à Poudlard, genre après c'te putain de découverte il espère sérieusement que je vais retourner là-bas? Un moldu, j'ai pas ma place dans c't'école de SORCIER. moi ch'ui un moldu, avant je croyais être un sorcier, mais en fait nan, ch'ui qu'un putain de moldu. Celui là je pourrais jamais le comprendre, ma mère la trompé, il y a seize ans elle l'a trompé avec un enfoiré de moldu, -un vieil ami de fac- elle disait, ouais mon cul. Et bien sûr fallait qu'elle tombe enceinte, youpi un deuxième enfant! youpi dit mon père -j'vais enfin avoir un fils!- bah non, il se trouve que c'est celui -d'un vieil ami de la fac- et lui, c'te con il trouve rien de mieux à faire que de rester avec elle. mais putain quel con, mais quel con. Et pour finir avec la cerise sur le gateau, l'autre Biancà de mes deux ne trouve rien de mieux à faire que de murmurer -sang de bourbe- à chaque fois que je passe. Putain, dans la famille fallait que ça tombe sur moi! Comment j'aurais trop aimé que se soit la petite Biancà, serpentard la plus pimbêche à ma connaissance, ouai même ses copines ne font pas le poids, même les malfoys. Ah qu'est-ce que j'aurais aimé ça. Pff, au moins la ptite rozy a été épargnée, le seul point positif dans l'histoire. West.

ROZY - Westley pourqoi tu es pas content? pourquoi papa et maman sont tristes? WEST - Viens là munchkin! J'vais te dire quelque chose. La petite fille se rapprocha d'un pas silencieux vers son frère, tendant son oreille vers lui. Depuis sa naissance, les deux avaient toujours partagé ce lien étrange, il a la comprenait et elle la comprenait, et pourtant elle venait de fêter ses sept années. Parce que Rozy s'était ce petit brin de fraicheur et d'innocence qui semblait découvrir une nouvelle pièce d'un puzzle appelé le monde. S'était l'opposé de Biancà. la première fille des Fascinàlli, une stereotype de la serpentard insupportable. le fait de ne plus être entièrement relié à son frère, maintenant elle espérait juste que son père avait trompé sa mère avec une jolie sorcière de sang pure évidemment, elle se considérait comme enfant unique, Rozy, elle voulait en faire quelque chose mais celle-ci la trahit en rejoignant le camp de l'ennemi. Bref aujourd'hui ce n'était plus que rozy et westley. WEST- Quoi qu'il arrive, nous deux ça restera comme ça. Dit-il en croisant les doigts. ROZY - Comme ça? imitant son geste. WEST - Ouaip, comme ça, faut pas que tu t'inquiète, papa et maman sont juste ... fatigué. Hep, tu me promets que tu seras sage pendant l'année? Hein grenouille? son sourire était apaisant, la fillette se sentit tout de suite mieux. ROZY - Oki doki, mais à une condition, je veux des chocogrenouilles. WEST - Bonne négociation, allez va te coucher la crapule. Elle avait ce don de l'apaiser, de transformer cet ado en pleine crise d'adolescence, en un garçon calme et bienveillant. après son départ, il se rendit compte que les mots écrient sur la feuille de papier ne montrait qu'un gamin égoïste, idiot, et inconscient. Oui, parce qu'il n'était pas vraiment conscient de la situation de ces parents, seize ans ça remonte quand même, et quelque part il était vrai qu'en vouloir à quelqu'un pour une faute commise il y a plus de seize ans n'était pas évidente. Pour l'instant, il réfléchissait, évaluait la situation, et pendant ce temps là, Westley devait s'occuper de sa petite sœur, bien trop jeune pour savoir quoi que se soit. Il voulait qu'elle est la même enfance que lui avait eut, dans le temps Biancà était encore une fillette normale un peu chiante mais pas méchante, et lui était ce petit garçon se prenant pour peter pan à chanter à tue-tête - you can fly, you can fly, you can fly, you can fly, you can flyyyyy- et sautant dangereusement du haut de son lit, heureusement son père le rattrrapait à l'aide d'un sort de lévitation. Bref, leur vie n'était pas pareil, Biancà et Westley avait eut la chance de grandir dans une famille épanouie, avec des parents jeunes et amoureux, et quelque part le jeune homme s'en voulait que Rozy sa petite sœur adorée allait grandir seule ici, dans ce petit loft en plein Londres, avec un frère et une sœur absents, et des parents fatigués et perdues. Non, la manière dont il avait écrit ce passage était juste ... idiot. Il devait aller à Poudlard, pour sa sœur, pour lui, pour ses parents, et alors, s'était un moldu, au fond il n'avait pas changé, et ce n'était pas comme si ça se savait déjà. Jhess reprit ou il en était.

Dans trois ans, il faudra que je soit devenu plus mature, plus responsable. faudra que j'arrête de planer, et que je me consacre plus à mes études. Faudra plus que je cherche les embrouilles avec des cons de seprentards, en faudra plus que je cherche n'importe qui. Ouai ok, c'est le genre de promesses que tout le monde fait et qui ne tiennes plus au bout de deux semaines, mais là, je dois le faire pour rozy, la famille avant tout, nan? West

Sa posée contre la vitre, il regardait d'un œil distrait le paysage défiler devant lui. Enfin , ils avaient quitté la ville, Londres, traversant villages en villages, ils allaient bientôt être arrivé. L'été venait à peine de commencer, et pourtant jhess appréhendait déjà la rentrée, trois ans plus tôt, il hésitait sur son retour à poudlard, et aujourd'hui il était de même. Son regard semblait vide, un visage encore marqué par l'attaque laissant apparaitre quelques cicatrices sur la tempe gauche et la joue. Comme tous les ans (en fait, une fois sur deux), les enfants fascinàlli passait l'été chez leurs pères, eh oui, ils avaient divorcés, les deux inséparables s'étaient séparés, au grand bien de tous il y a un an. Oui, depuis leurs ruptures, Maggie avait eut le temps de se reconstruire, sa plus grande décision avait été de se couper du monde magique, maintenant s'était Peter qui s'en occupait, il avait quitter Londres pour une grande maison perdu au beau milieu des plaines anglaises entourés de bois, il fallait bien l'avouer que Biancà et Jhess préféraient de loin aller chez leurs père plutôt que dans le même loft de leur petite maman. D'ailleurs depuis l'attaque, les deux s'entendaient beaucoup mieux, cette nuit-là ils étaient ensemble à la lisière de la forêt, Biancà avait faillit perdre son frère, et Wes avait faillit perdre sa sœur. bien sûr les petites blagues sarcastiques demeuraient encore et toujours, mais ils s'étaient rapprochés. Justement s'était la jeune fille qui conduisait la voiture depuis qu'ils étaient sortit de Londres, à l'arrière Rozy ne pouvait s'empêcher de poser des tas et des tas de questions, vivement qu'elle aille à Poudlard. Mais quelque part,Biancà et Jhess pensaient la même chose= et si maman décidait de ne pas l'envoyer à l'école, l'empêcher de devenir une sorcière. Elle ne voyait déjà quasiment plus les deux ainés, et c'est vrai qu'elle se sentait horriblement seule. Un sourire s'afficha sur le visage de est, il pouvait sentir la fumée venant de la cheminée. Quelques secondes plus tard, il aperçut la maison de son père, rozy cria de joie, elle avait désormais dix ans, mais en trois ans la petite fille n'avait pas changé. Biancà se gara devant la porte, devant était posté Peter, les attendant à bras ouvert. Les trois Fascinàlli sortirent de la voiture accourant vers le père, ce fut d'abord Rozy qui lui sauta dans les bras, puis Bianca au cou, Pete prit son fils par l'épaule et le rapprocha de lui, qu'est-ce que ça faisait du bien de revoir sa famille. PETER - Quoi? Pas de Westlaid ou de Biancaca? j'ai loupé quelque chose ou quoi? ROZY - oublie pas, rozizi! Oui, la famille.