Brian DeCaprily ;; Ce n'est pas un fleuve tranquille.

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Brian DeCaprily ;; Ce n'est pas un fleuve tranquille. Henry_14

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— Brian « Henry Cavill. » DeCaprily

• nom complet : Brian, simple, net & précis.
• âge : vingt et un ans.
• date et lieu de naissance : Londres, le 17 Juin..
• cursus : Université.
• sang : Sang-pur.
• rumeurs/secrets : J'suis pas si méchant ( FACULTATIF )

••allons un peu en profondeur.

▬vos valeurs La politesse, je trouve ça important, c’est excessif chez moi. Si quelqu’un me bouscule sans dire pardon, ça.. Chauffe pour lui. De même pour le reste. Il faut savoir se faire respecter.

▬ ce qui vous rend unique Ma façon d’être, pour sur. J’ai l’air du grand méchant loup, mais si les gens s’attardaient, ils verraient que je ne fais ça que par nécessité. Mon histoire est dure.

▬ oui ou non? Ou. J'suis pas du genre à répondre à une question aussi complexe que le oui ou non, alors je prend le juste milieu.

▬ Votre plus grande qualité et défaut Je n’ai jamais vraiment le choix. C’est un défaut, je trouve. Dans mes qualités, il y a ma courtoisie, et ma sympathie pour ceux qui savent vraiment ce que je suis et le pourquoi je suis ainsi. Je suis peut-être un peu colérique quelquefois, pour la forme.

▬ votre dessert favori En général, chez moi, on a pas le temps de manger de dessert. La table est déjà détruite.

▬ Où aimez-vous vous assoir en classe J’ai toujours aimé les premiers rangs, de loin bien entendu. En général vous me trouverez au fond de la classe, tapissé dans le noir. A faire des bêtises, en général. Le gros dur, quoi.

▬ votre boisson préféré J’ai un penchant pour le jus de citrouille, mais devant les autres je dirais du whisky pur feu.

▬ La première fois que vous avez mangé un bertie crochu, votre réaction Je suis tombé sur un marron, j’ai cru dur comme fer à ce que ça soit du chocolat. Finalement je suis tombé sur quelque chose de vraiment dégoûtant, mais forcé de rester poli je l’ai avalé sans faire d’histoire.

••poudlard, oh cher poudlard

▬ baguette Bois d’if, plume de phoenix, 29,5 centimètres, elle détermine ma force, et ma faiblesse intérieur. Il faut savoir qu’elle me représente bien, au final. Le bois d’if est dur, en général. Pas autant que le diamant, certes, mais tout autant ou presque. Quand à la plume de phoenix, c’est mon petit côté peluche, j’emprunte cette expression à ma petite sœur. Elle n’est plus. Mon côté dur n’a pas réussi à la sauver, autant que cette baguette. Et je n’y peux rien, malheureusement, je n’y peux absolument rien..

▬ patronus J’ai essayé cette formule cinq fois avant d’arrive à faire sortir un corps de lumière. Au départ j’ai été surtout éblouie par cette lumière, je n’aurais jamais pensé avoir un souvenir aussi puissant dans ma vie, aussi éclairant pour me sécuriser à l’instant même. Après le choc, vint les traits d’une silhouette. Énorme, avec des griffes. J’ai presque cru entendre un rugissement de dément, c’était un ours, un vrai, puissant. Je jurerais que c’est surtout une femelle.. Mais bon, je n’en suis pas si sûr.
▬ Epouvantard Je ne me suis jamais présentée devant une telle créature, je ne pensais pas avoir peur de quelque chose avant il y a peu. Maintenant, sincèrement, je pense savoir ce que j’apercevrais si jamais un épouvantard se mettait sur mon chemin. Un corps blanchâtre, froid comme le marbre qui me ferait culpabiliser avec des mots venus d’outre-tombe, ma petite sœur.

▬ animal de compagnie Mes parents ne sont pas du genre à accepter ne serais-ce qu’une boule de poil sur leur précieuse tapisserie. Je n’ai jamais eu d’animaux à proprement parlé. Néanmoins, une fois j’ai rencontré un chien que j’avais baptisé « Lueur ». Chaque jours j’allais le voir, je devais avoir sept ans. Seulement, un jour, alors que je retournais le voir je ne l’ai pas aperçu, ou du moins plus vivant. Un homme, mon père, était penché sur son cadavre, la main en sang. J’aurais pu croire que Lueur dormait, seulement mon père avait une baguette à la main, et je savais parfaitement quel était le dernier sortilège utilisé. Ce soir-là j’ai pleuré, oui pleuré.

▬ quidditch ou étude Je dois être fort, et préservé l’honneur de notre famille. Ainsi, comme mon arrière grand-père j’ai suivi les traces quidditch et études à la fois. Je suis brillant dans les deux camps, je fais tout mon possible pour briller encore plus dans les cours, seulement il semblerait que quelqu’un soit plus fort que moi, et le pire.. C’est une fille Weasley. Je l’ai par horreur, tout simplement..

••toi, c'est tout ce qui importe

▬ caractère

Je ne suis pas naïf, non jamais. Pourtant mes parents me mènent à la baguette. Il y a peu, j'étais prêt à faire une révolte contre eux, et surtout à gagner la guerre, mais depuis Cathy n'est plus, et sincèrement je ne vois pas pourquoi je souhaiterais changer de place. Au fond, j'ai toujours été bien traité, j'ai toujours reçu moins de coup que ma sœur, qui pourtant avait l'amour de ma mère, ou presque. C'était pour elle que j'avais voulu fuir, je voulais la protéger. Parce que Cathy, elle, n'avait pas réussi à entrer dans les rangs, elle a toujours été éparpillé et finalement je devais la protéger. Seulement elle n'est plus. Alors dire qu'avant j'étais méchant, d'accord. Mais sachez que cette année sera la pire que vous n'avez jamais vécu, aujourd'hui je souffre, et je tiens bien à évacuer cette frustration qui m'habite. Peut-être deviendrais-je gentil si je rencontrais une Cathy 2.. Non c'est impossible, personne ne pourra jamais la remplacer. Je suis et resterais méchant, je suis née dans les coups, je mourrais dans les coups. Sauf que là, c'est moi qui les administreraient ces coups. Et avec plaisir, pour honorer ma sœur, morte au combat. Oui, telle une gryffondor.

▬ biographie

Je n’ai jamais aimé parler de moi, une faille dans l’organisation de ma vie. Si je dis ça, c’est parce que la plus part du temps, j’entends les gens se plaindrent de tout et de n’importe quoi sur leur vie. Tous pensent être malheureux, mais ils ne savent pas toujours ce que signifie ce mot-là. Je ne me mettrais pas dans le groupe des gens qui vivent les pires choses dans le monde, mais néanmoins, je peux affirmer que ma vie n’est pas simple tous les jours. Et cela n’a pas commencé tard, mais plutôt dès lors où je suis sortie de « l’oeuf » ou autrement dit, du ventre de ma mère. Et peut-être même avant, d’ailleurs. Et encore aujourd’hui ça continu. Mon seul rayon de soleil ? Mort. Mais ça, ce n’est que la fin de l’histoire. En général, et mon respect des traditions m’y pousse, on commence par le début. La fin n’est pas joyeuse, à vos risques et périls.

Alors que j’étais encore à l’abris dans le ventre de ma mère, celle-ci se prenait régulièrement des coups en tout genre. Ils étaient en général bien placé, assez éloignés du ventre pour permettre ma survie, et assez prêt pour rendre la douleur plus cuisante, plus douloureuse. Je ne serais vous dire si un jour j’ai été touché par ce genre de projectile, je ne me souviens pas vraiment de cette période là. Parlons donc plutôt de l’après, celui où enfin j’avais de l’espace à revendre, des peluches à gogo.. Ah pardon, ça ce n’est pas tout à fait ma vie. Je ne mentirais pas aujourd’hui, parce que pour une fois je vais montrer ce que je suis, je vais vous prouver que malgré les apparences, malgré les expériences de la vie j’avais encore de l’espoir il y a peu. Mais encore une fois, mon seul rayon de soleil est mort.

Je suis donc sorti du ventre de ma mère avec un peu d’avance sur le planning, apparemment les coups de poing n’était pas la meilleure façon d’apaiser les contractions d’une femme enceinte. Mais ça, les hommes étaient quelquefois idiots et n’y pensaient pas. Je sors de ce lot, du moins j’espère. Bref, je suis arrivé en avance et j’ai commencé ma vie dans le bonheur absolu. Non, je rigole. C’est de l’humour noir, mais bon.. Humour quand même. En faites, je ne me souviens pas avoir aperçu un sourire sur le visage de ma mère une seule fois dans ma vie. Je suis née, elle avait surtout un air malade, et un œil au beurre noir. Et puis, je n’ai pas vraiment été élevé par madame, surtout par des précepteurs plutôt compétent. Je devais en apprendre le plus possible, et le plus vite. L’intelligence c’était le début du plan. Le reste suivrait avec l’âge. J’apprenais donc la magie bien que je ne savais pas encore la pratiquer, ce qui ne tarda pas non plus, vers les cinq ans. Seulement dans notre famille, avoir les premiers signes de magie donnent fin à l’enseignement ’théorique’.

Ainsi, j’avais de nouveau professeur. Cela étaient.. Durs. Ils aimaient surtout me frapper, c’est sûrement pour ça que j’endure beaucoup maintenant. J’apprenais encore plus facilement quand un coup de baguette me menaçait. Ainsi vers mes dix ans, après avoir fait l’école magique, je savais parler couramment trois langues, et je tenais ma baguette avec une certaine fierté. Je devenais méchant quelquefois. Mais jamais vraiment.. Disons surtout que je frappais les elfes de maison avec un certain plaisir, jusqu’à ce qu’un jour ma mère m’ait surprise. Ce jour-là, j’ai eu un nouveau précepteur, ou plutôt une nouvelle. Une femme à l’aspect assez rectangulaire, elle entrait dans les lignes, sans broncher. Elle m’a surtout appris à ma tenir tranquille en faites. Puis avec le temps j’ai su « vraiment » manier ma langue natale, et j’étais d’une courtoisie indéfectible. Grâce à ces nombreux cours, j’entrais à douze ans à la première réceptions de mon père. Il m’exhibait avec une fierté immense. J’étais le fils prodigue après tout. Et puis c’était rare d’être en présence de mon père, cela ne se produisait que pour les grandes occasions, en général.

Puis ma mère tomba enceinte. Une fille. J’étais indigné de ne plus être fils unique, et surtout indigné de voir que cette sale petite avait le droit à l’amour d’un parent, de ma mère. Je vous ai dis plus haut que ma mère n’a jamais souris, je voulais surtout dire n’a jamais souris pour moi. Devant Cathy c’était des sourires à gogo. Et un jour, alors que la petite échappa à la surveillance de sa nourrice je tentais de l’enlever pour la tuer. Oui vous avez bien entendu, je n’avais que quinze ans, j’allais bientôt entrer à Poudlard, et je tenais à tuer ma propre sœur que je haïssais à un point inimaginable. Et puis je l’ai donc retrouvé prêt de la forêt. Ma baguette à la main je m’avançais lentement vers elle, avant que, au comble de mes propres yeux, elle se jeta sur moi en prononçant d’une petite voix « grand frère ». Je fus choqué, bien entendu. Et puis elle ajouta qu’elle m’avait cherché toute la journée, que pour une fois elle voulait passer du temps avec son frère « si » mystérieux. Ce jour-là, j’ai abandonné la tentative de meurtre pour essayer de nouer un amour avec quelqu’un de mon sang.

Je pensais que cela allait échouer, après tout, dans la famille rare était l’amour. Regardons ma mère, par exemple. Les seules marques d’amour qu’elle ait jamais reçu, c’étaient des bleus. Mais je tentais avec un certain espoir. Ce jour-là je scellais un peu mon destin puisque la petite Cathy me changea complètement. Je devenais gentil et docile à son approche, alors que pourtant, jamais elle n’avait levé la main sur moi. Oui, elle m’avait en quelque sorte dressé. J’étais devenu le dur devant les parents, et son « nounours » personnel. Et puis, je suis parti pour l’école. Je revenais pour les vacances, et chaque jour je lui envoyais une lettre, elle me manquait trop. Les années passèrent, et elle vint me rejoindre à l’école. C’est là qu’elle a vu l’image que je prodiguais aux autres. Elle m’en voulait, longtemps. Elle m’avait dit que ici, j’avais eu la chance de me faire des amis, et que j’avais préféré ne rien voir. Mais j’étais peu occupé par les affaires d’amis, après tout ma petite sœur allait recevoir le courroux familial. Gryffondor. Mon ennemi légitime. A part pour Cathy, je n’avais jamais failli à la tradition familial. Doué dans tout ce que j’entreprenais. Méchant, les gens avaient peur à mon approche, il me respectait. Mais ma sœur, elle, avait décidé que dès son entrée elle sortait de leur emprise. Ce fut faux.

Puisque des les vacances j’endurais ses cris d’agonies chaque nuit alors que je tentais de la soigner, en vain. La magie noire laisse des traces. Ce jour-là j’avais juré que la prochaine fois je la protégerais au prix de ma vie, que plus jamais ils ne lèveraient la main sur elle. Mais à la fin de l’année, elle est morte. Simplement attaqué par une horde de loups-garous, elle n’a juste pas survécu aux nombreuses blessures. J’ai pleuré cette nuit là, comme jamais je ne l’avais fais. Maintenant, je n’ai pas changé. Je suis le dur que tout le monde connaît.. Quoique. Je suis peut-être même devenu pire, en comblant de joie mon père. Je n’en ai pas de joie personnel. J’ai mal. Cathy.

La fiche est terminée.

Je me demande si.. Je peux m'auto-accepter ? ;p Sinon je laisse un autre le faire. Bonne chance.

J'crois qu'au niveau de l'âge, ça correspond plus à la septième année avec le changement qu'on a effectué (l'histoire de primaires magiques et tout) Wink

AH mais si, j'ai dis (en tout petit) que j'ai été dans l'école magique. Il a pas dix sept ans, fin il est en 7e années, mais j'ai sérieusement la flemme d'aller voir l'âge que Brian doit avoir.. >.<"

Certes, il a fait l'école primaire magique mais l'entrée à Poudlard est passée de 11 ans à 15 ans, donc ça colle toujours pas tongue

S'il est en septième année, il doit avoir 21 ans Wink

Oui, bah il a 21 ans alors Very Happy

un petit up

nom;;

après mûre réflexion, déblatage avec les différentes partie de ton âme et de tes pensées, j'ai la joie de t'accueillir dans la maison Serpentard. Cette maison est depuis des millénaire le repère des gents intelligent, ambitieux, mais aussi et surtout des gens révolutionnaire. Entrer dans cette prestigieuse maison n'est pas toujours accepté, et les rivalité iront bon train, mais qui d'autre qu'Serpy pourrait les relever mieux que personne ! Ainsi donc, bienvenue dans l'illustre maison de Salazar Serpentard.

Le Choixpeau,
l'infinie de ton esprit m'es ouvert pour ton plus grand bien...

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