un nouveau jouet ? [oliver]

- Ken come on, quand est-ce que tu va être capable de marcher sans rentrer dans quelqu’un hein ?

- Jamais Jé. Que veut tu je suis ainsi.

Impressionnant cette grosse machine rouge sur roulettes qui crachait de la fumé. Non, ne me prenez pas pour un idiot, je sais que c'est la locomotive du Poudlard Express. Mais que voulez-vous, vous êtes dans mon esprit, alors contentez-vous de se que je pense.
Je disais donc, et bin dis donc! L'année est prometteuse ! Regarder moi ses cadavres qui m'entoures ! j'aimerais bien leur donné une pichenette sur le crâne pour voir si ils réagissent ou pas ...
Nan, sérieusement, je tire ma valise qui pèse trois tonnes et la fais roulé sur le sol sale du quai. Les gens se pressent ou sont deux de tensions, ils disent au revoir à leurs proches, ou restent muets comme une tombe, ils sourient et discutent, ou tire la tronche en lançant des regards méchants à ceux qui les approche.
Bienvenue Oliver ! Qu'elle belle journée tu ne trouve pas ??
Faisant abstraction de cette ambiance pourri, je me dirigeais à l'extrémité du quai, là où la foule était moins dense. C'est plus facile pour hisser sa valise dans le wagon. J'ai l'impression d'être en retard, parce que les gens sur le quai ne sont plus que des membres familial des élèves.

Arrachant du sol la cage de son hiboux rester à quai, Oliver la rentre bien rapidement dans le train, de peur qu'elle ne parte sans lui. Tandis que le plancher commençait à vibrer sous ses pieds, le nouveau venue fit le tour des compartiments. C'était peine perdu. Le peu de personne qui souriaient ne se trouvaient pas dans les compartiments qu'il visitait, et sa commençait à le déprimer. A l'arrière extrême du train, voilà qu'une fille dans la même tranche d'âge que lui affiche un petit sourire adresser à personne étant donné que le wagon ne comportait qu'elle. Il toque timidement, traînant derrière lui sa valise et Elina qui n'attendait que de sortir.
La seul réponse qu'il reçu fut un sourire, synonyme d'approbation. Ni une, ni deux, ayant trouvé la perle rare qui sourit et répond affirmativement, il ouvre la porte et coince sa malle tant bien que mal dans le filet au dessus de la banquette où il s'assit la minute suivante.
Il se perdais dans ma contemplation discrète de ma voisine de banquette lorsque Elina fit chavirer la cage dans laquelle elle était enfermer.

Oups, j'ai oublier de la sortir...
se relevant non sans vacillé en peu étant donné que le train était en mouvement, il ouvrit la fenêtre qui donne sur un paysage bien différent de Londres : la campagne. Il ne se souvenis plus depuis combien de temps la locomotive était en marche mais sa le surpris d'être en province si rapidement. Enfin bref, il souleva le loquet qui fermait la cage d'Elina et là, accompagné d'un grand coup d'aile qui vint s'écraser sur son visage, son hiboux chérie qu'il aime tant s'envole sans un seul merci.

Retombant sur la banquette après avoir refermé la fenêtre, il croise le regard de l'inconnue aux yeux bleus.

- Elle a un caractère bien trempé

, expliqua-t-il, comme pour justifié le comportement d'Elina.
il n'était pas sûr que se sois la question qu'elle se posais intérieurement, mais une chose était certaine, elle avait une réponse, qu'importe la question !!

- Au faite, moi c'est Oliver.

Il lui dédia mon plus beau sourire tout en disant cela.

Kenny aurait bien pouvoir faire une tête d’enterrement elle aussi par moment, mais elle en avait choisi autrement. Comme oliver, elle en avait marre aussi de les voir tous pleurer, elle ne pleurait pas et avait perdu la seule personne qu’elle aimait vraiment et qui la conaissait pour de vrai, elle devrait faire une tête d’enterrement, mais elle ne le faisait pas. Bon si c’était parce qu’elle était forte et encaissait le coup on pourrait admirer la belle brune, mais c’était simplement pour garder sa couverture, continuer de pouvoir jouer aux idiotes qui ne sait pas ce qui se passe. Ça en énerverait plusieurs, elle le savait, mais elle devait rester ainsi, sinon elle allait perdre la face et ça, c’était ce qu’elle voulait le moins au monde. Assise dans son compartiment, rare étaient ceux qui venaient s’asseoir avec elle, a part Lissa la plupart des gens à qui elle parlait avait bien d’autre amis plus proche qu’elle. Elle aimait bien être seule aujourd’hui, sa solitude fut dérangée par un beau jeune homme qu’elle n’avait jamais vu. Elle lui souria quand même, enfilant la masque de la Kenzy qui n’avait pas lieu d’être à Serpentard.

Elle regarda le jeune homme entrer et déposé sa valise. Il semblait éprouver quelques difficultés mais sans plus. Son hibou fit des siennes et le chat de Ken s’agita aussi, il était quelque peu chasseur à ses moments, elle l’attrapa vite fait bien et le garda sur ses genoux le temps que la chouette puisse sortir. Elle rigola un peu quand Oli dit que sa chouette avait un caractère bien trempé, son chat aussi.

– lui aussi

Affirma-t-elle en parlant de son chat, qu’elle venait tout juste de lâcher dans le compartiment. Elle avait aussi pris soin de fermer la fenêtre, pas au complet, mais assez pour pas que minou se dise tiens je vais passer par-dessus bord. Le jeune homme finit par se présenter et Ken souria.

– Je m’appelle Kenzy, la plupart des gens m’appelle Ken, mais fait comme tu veux.

Kenny se fichait de comment au l’appelait tant que cela restait lié à son premier nom et pas au deuxième. Elle était étonné de voir que le jeune homme semblait heureux, elle n’avait vu personne sans sa tête d’enterrement ici et le fait qu’elle ne l’ait jamais vu – bon d’accord Poudlard c’est grand, mais il était mignon le mec et il n’avait pas l’air de faire partie des biens plus vieux que moi ou plus jeune hein- faisait que Ken se posait des questions…

– Il y a bien longtemps que je n’ai pas vu quelqu’un sourire ici.

Ce n'était pas un reproche, d'ailleurs, la belle lui sourit en retour. C'était simplement une question caché, mais pourquoi diable toi tu souris, alors que je suis la seule qui le fait ? .

Oliver gardait son sourire en toute occasion. Lorsque l'inconnue qui répondait au nom de Kenzy lui proposa de l'appelé Ken, une image se matérialisa dans l'esprit du nouveau. Et bin oui, quand on lui dt Ken, c'est une poupée Barbie, version masculine ! C'était bien loin de la personne qui se trouvait face à Oliver ! Non, il allait l'appelé Kenzy ou Kenny, parce que dès qu'il prononcera le nom Ken, c'est certain qu'il rigolera, cette connotation étant gravé en lui à jamais.
Mais bon, pour l'instant, il s'occupait plus de sourire et de scruter la belle brune sous tout les angles. Le plaisir des yeux, que voulez-vous !!
– Il y a bien longtemps que je n’ai pas vu quelqu’un sourire ici.

Tout à fait d'accord. Oliver était 100% approbateur à cette affirmation. Ce n'était pas que pour le physique de la brune qu'il c'était installé dans se compartiment. C'est sûr que sa avait drôlement altéré son jugement, mais tout de même, c'était pour son sourire. Un sourire une unique, bien évidement et rare en ses temps sombres... Nan, arrêtons les bandes-annonces de films, il s'agissait simplement de l'une des premières personnes qu'il voyait sourire, et sa lui réchauffait le cœur de se savoir moi seul tout d'un coup. Est-ce de l'égoïsme que de faire connaissance avec une personne pour la simple raison qu'elle vous rend moins seul ?? Bien sûr que non, sinon, toute relation serait parti d'un principe d'égoïsme.

- Oui, moi aussi ça me fait bizarre tout ses visages en deuil. Mais c'est beaucoup mieux maintenant de voir une autre personne sourire que mon reflet !

Il accompagnais ses paroles par un sourire, histoire de souligné son propos.
Et puis une idée vint à l'esprit du nouveau.

Mais elle, elle a pas perdu quelqu'un ? Tout le monde à perdu quelqu'un, pourquoi elle sourit alors ?? Soit elle est fêlé, soit elle a fait le deuil, soit...

- Et toi ?

Tu n'as pas connu quelqu'un qui est décédé en fin d'année ?

Ma question me sembla en peu personnel et mal posé. J'ai manquer de tact, j'en suis conscient. Mais il n'y avait pas cinquante façon de le demander. Bon, c'est sûr, j'aurais pu poser la question implicitement mais sur le coup, j'ai pas trouvé quelque chose d'assez...
Enfin bref, ce qui est fait est fait. J'ai posé la question, tant pis si elle le prend mal, ou si elle se renferme, ou si elle reste comme elle était, simple, jolie et visiblement optimiste.

Ken, disons que ce surnom ne plaisait pas à tout le monde, Kenny l’aimait bien par contre. Elle ne savait pas trop pourquoi, mais elle trouvait amusant que les gens confondent avec un garçon quand ils entendaient des rumeurs avec le surnom de Ken. Toutefois, la plupart des gens l’appelaient Kenzy ou Kenny, Ken c’était plus les garçons qui la voyaient comme un des leurs qui l’appelait ainsi. Le sourire de Kenzy s’élargit en entendant Oliver, il allait être un proie facile celui-là, suffisait de faire un beau sourire et bam bam elle l’avait dans sa poche. Elle se demandait toujours comment les gens tombaient si facilement dans le panneau, on n’est pas si gentil et bête dans la vie, voyons.

Si Kenzy était assez forte pour sourire et garder son masque malgré tout, c’était bien parce qu’elle avait peur. Peur que les gens découvrent ce qu’elle était, une manipulatrice hors pair et un vrai petit génie. Pas qu’elle n’est pas été fière d’être intelligente, mais le goût du jeu était plus grand encore. Oli s’aventura sur un terrain difficile pour Kenzy, elle n’avait pas perdue quelqu’un elle, comme tout le monde ? Elle ne pouvait pas mentir, toute l’école savait que son frère était mort, mais alors, il la prendrait pour une fêlée ? Allons Ken, t’es une grande fille tu sais comment t’en sortir.

- Mon petit frère est décédé.

Il y avait une pointe de tristesse, elle n’allait quand même pas passer pour un cœur de pierre. Toutefois, la vert et argent gardait un sourire mince, comme si le souvenir de son frère était heureux, comme si se souvenir de lui ne lui rappelait que de bon moment. C’était vrai, son frère était synonyme de joie et de bonheur, le vrai.

- Il ne voudrait pas que je pleure encore.

C’était en partie pourquoi elle ne pleurait pas réellement, son frère ne voudrait pas. Il ne voudrait pas qu’on la découvre car il savait ce que cela créerait chez Kenny. La serpentard contrôlait la conversation, elle avait tout planifié dans ce qu’elle avait dit, chaque mot était calculé. Que je pleure encore, elle avait pleuré, elle avait finit, plus de question à poser sur Viktor maintenant. Elle sourit comme pour signifier que la question ne l’avait pas dérangée.

- et toi ?

Elle savait qu’il n’était pas de poudlard, elle faisait rapidement les liens. Il ne savait pas qu’elle avait perdu son frère, alors que maintenant tout le monde savait qui avait perdu qui. Il était heureux et pas affecter par l’an passé, mais elle devait rester la cruche de service, alors elle n’avait que demander s’il avait perdu quelqu’un l’an passé. Question à laquelle, elle savait pertinemment qu’il répondrait non. Mais quand on met un masque, on le garde.

Le visage de Kenzy s'assombrit un instant lorsqu'elle évoqua la perte de son petit frère puis redevint le sourire charmeur que je lui connaissais. C'est vrai qu'on ne peut pas pleurer un être chère toute sa vie, mais il y a tout de même un laps de temps pendant lequel on est contre le monde la vie, un laps de temps pendant lequel la nourriture perd toute saveur, pendant lequel les sourires ne sont plus que des masques que l'on porte pour faire croire aux autres et à nous même que tout va bien. Mais on ne va jamais bien, surtout lorsqu'on perd quelqu'un du même sang que nous. Bizarrement, Kenzy était certainement la seule dans se train à avoir passé le cap. Elle avait fait le deuil, accepté le départ de son frère et tournait la page. Pourtant, il y avait un je ne sais quoi sur son visage qui me titillait l'esprit. Aucune chance de mettre le doigt dessus, je ne la connaissais que depuis moins d'une heure.

Lorsqu'elle aborda le sujet de ma perte, je remarquais qu'elle n'était pas très futé. Toute personne qui se respecter aurait mit les pièces du puzzle bout à bout et en aurait ressorti une magnifique réponse : Je viens d'ailleurs.
C'est vrai que je pourrais lui dire que j'ai perdu ma sœur. Mais étant donné que c'était il y a quelques années déjà, autant ne pas comparer les deux décès. Et puis j'en avais fait le deuil. J'avais tourné la page, comme Kenzy, j'avais réajusté se sourire très faux qui criait à quiconque me voyais : "Tous va bien !"
Dure, dure... Se sourire qu'elle affichait était-il faux ?
Peut-être, qui sait ?

- Je viens d'arriver à Poudlard

J'étais à Durmstrang avant.

Remarquez que je n'ai pas dis que je n'avais pas perdu quelqu'un. En faite, j'ai subtilement éludé la question, pour ne pas avoir l'air du petit nouveau qui pleure encore parce que sa sœur est morte. Ok, je ne la pleure plus depuis longtemps. Mais la seule mention de son prénom et mon sourire s'efface. Ciao ma bonne humeur, ciao mon regards protecteur... Je deviens froid, distant et près à vous envoyer chier à n'importe quel instant. c'est se sentiment de culpabilité qui en est la cause. Culpabilité ? mais pourquoi ? Elle n'est pas morte par ma faute ? Ahahah... jeune naïf. Vous gober se que vous voulez entendre.

- Ah… eh bien bienvenue !

- Tu connais ta maison ?

L'accueil de Kenzy réconforta Oliver même si il ne le montrait pas spécialement. Personne ne l'avait accueilli avec autant de bonne humeur et sa faisait du bien de trouver quelqu'un qui se soucie de vous. C'est que sa crée un sentiment de malêtre lorsque vous êtes reçut dans une nouvelle école par des visages dépressifs. Tandis qu'un sourire, aussi faux soit-il, ça réchauffe beaucoup plus le cœur !

Ma maison ? J'ai complètement aucune idée des couleurs que je porterais ses prochaines années. Une équipe de quidditch à supporter ? non, je me réserve le droit de vénéré une équipe le jour où je porterais l'écusson de ma maison. Tous se que je sais, c'est que j'ai quatre choix disponible et que sa ne dépend même pas de moi ! Quel sentiment d'impuissance... ne même pas savoir si on va se trouver dans la même maison que cette belle brune ... quel supplice.

- Non, je ne la connais pas encore , mais je dois allé dans le bureau directorial pour être réparti.

Ah ! Qu'elle belle perspective ! Aller chez le dirlo avant même d'avoir foulé le sol d'une salle de classe ! C'est une première pour moi, surtout que je ne suis pas trop celui qui se fait envoyer chez le directeur habituellement, là, je dois avoué que c'est le pompon.

- Et toi ? tu es dans quel maison ?

Il fallait que je sache, juste pour savoir si je me retrouverais dans sa maison, en revenant pour assisté au dîner. Juste pour savoir si je la croiserais tout les jours dans la salle commune...

Mon sourire restait collé à mes lèvres. En temps normal, je ne suis pas aussi souriant, parce que sa en devient vite fatiguant au niveau des joues mais elle, elle me donnait envie de sourire, bêtement, et je me sentais moi-même idiot. Mon comportement était puéril et vraiment ridicule, je tentais donc modérés mes ardeurs. il ne fallait quand même pas que je me jette sur elle pour l'embrasser ! J'avoue, c'est pas mon genre, et de toute manière, je ne pense pas que j'aurais été capable de faire cela à une presque inconnue, mais après tout, quand tu fait appelle à des prostitués, tu ne fait pas connaissance avant de passé à la case "sexe". Oublie tes idées malsaine petit vicieux, j'ai jamais appelé de prostitué, je vaut tout de même mieux que cela !

Nan mais revenons au sujet de base, je voulais en apprendre plus sur cette fille, c'était certain. Je voulais connaitre cette personne qui semblait faire tache dans se paysage morbide. Une tache que je trouvais d'ailleurs bienvenue !

La chose qui faisait que le sourire faux de Kenzy était difficile à décelé c’était le fait qu’elle souriait de la même façon depuis plus de cinq ans et que donc, son faux sourire était devenue son sourire habituel. Pourtant, on pouvait voir que parfois, il changeait se sourire et devenait différent, et là on croyait qu’il était faux, alors qu’il était vrai. Pour le moment, elle était neutre face à Oliver, un sourire mince, beau et simple. Ni faux, ni vrai, elle ne savait pas encore comment le classer. Elle n’avait pas vraiment d’ami, c’était plus des pantins pour elle.

Quand Oli lui dit qu’il ne savait pas, elle fut quelque peu déçue et elle en fut étonnée. Elle aurait aimé savoir s’il allait lui faire la guerre après avoir été reparti. Elle l’avait classé comme un pantin, mais elle avait l’impression de le voir différemment. Elle se doutait bien qu’il ne serait pas chez Serpentard, il souriait vraiment, semblait attentif, patient et il faut dire il avait la tronche de quelqu’un de loyal qui allait être mit chez les jaunes, mais on sait jamais, elle avait cette face là aussi aparrament

– Tu as des doutes sur ta maison ou pas du tout ?

Kenzy en posant cette question se souvint de sa répartition, tout le monde la voyait à poufsouffle, c’était clair. On lui avait dit, oh tu iras probablement chez les jaunes. Au départ beaucoup la voyait faire comme sa sœur, mais après on c’est rendu compte qu’elle était bête comme ses pieds alors, Serdaigle non ce n’était pas pour elle. Après, Gryffondor? Probablement pas, elle semblait peureuse et beaucoup trop maladroite pour ça. Serpentard ? Vous rigolez ? Cette fille était la douceur incarnée, quel choc quand elle fut envoyé chez les vert et argent ! Ça n’avait pas été simple pour le choixpeau, la première maison qu’il avait éliminé fut Poufsouffle, Kenzy n’avait aucune patience, n’était loyal qu’avec certaines rares personnes et n’était pas honnête. Gryffondor fut le suivant, pas assez courageuse, ni très généreuse. Et il restait Serdaigle et Serpentard. Où placer cette jeune fille intelligente comme pas deux avec l’ambition de tout les gens de Serpentard réuni ? Son cœur dû crier Serpentard ou encore le choixpeau avait vu quelque chose car elle finit chez les vert et argent.

- Serpentard.

Elle ne savait pas trop à quoi s’attendre comme réaction, en général les gens avait tous des réactions très variés. La réputation des Serpentard était connu partout et surment tout autant à Dumstrang. À dire vrai, pour la première fois Kenny se réoccupait quelque peu de ce que l’autre pensait. Mais sa va pas dans ta tête ma fille ? C’est qu’un nouveau jouet merde ! La belle brune ne laissait pourtant rien paraître, toujours souriante, un regard un peu inquiet pour faire croire qu’elle avait peur qu’il ne veuille plus lui parler où quelque chose du genre, une grande actrice cette petite, on devrait lui donner un oscar ! Quoiqu’aujourd’hui, elle semblait réellement intéresser à connaitre Oliver, elle ne savait pas pourquoi et elle refoulait cette pensée comme la peste.

Si j’ai des doutes ? Oui, bien sûr. Je n’ai aucune certitude de ma maison. Mais j’ai eu le temps de cogiter depuis que je sais que je vais à Poudlard. J’ai éliminé déjà deux maisons, Gryffondror et Serpentard. Pourquoi ? Parce que je n’ai rien de courageux. Je ne suis pas trouillard non plus mais le courage n’est pas le meilleur mot pour me définir. En faite, c’est assez difficile de me définir. Après, pour Serpentard, je l’ai éliminé puisque l’ambition ne c’est jamais vraiment niché dans ma tête. Je suis tellement flémard, les études ce n’est vraiment pas mon truc alors on oublie tout de suite. Je me suis toujours contenter de se que j’avais à porter de main, même si sa n’était pas se dont je rêvais, j’ai bien compris qu’on n’obtient pas toujours ce que l’on veut. Décrocher un job bien payé sans trop se forcé, c’est assez compliquer à trouver, voir impossible, à moins d’être un fils à papa, se qui n’était pas mon cas. Alors il me reste Serdaigle, parce que l’éliminé signifierait que je ne suis pas très intelligent, se qui fait du mal à mon égo alors je l’ai gardé.

-Poufsouffle. Après élimination, je pense atterrir à Poufsouffle.

Un blaireau comme emblème, c’est vrai que sa pourrait affecter mon ego également. Mais restons sérieux, au moins, lorsqu’on me dira que je suis un blaireau, j’aurais deux façon de l’interpréter. Je suis un Poufsouffle, ou alors, je suis un gros crétin. Je préfère la première interprétation (encore mon égo).

Et bin mince, elle est à Serpentard, dommage que cette maison ne soit pas dans mes favoris. Et inutile de parié, je suis quasiment certain qu’avec la chance que j’ai, je n’irais pas à Serpentard. Je connais leur réputation, même de l’autre côté de la mer du nord, j’ai entendu parler d’eux. Officiellement une maison comme une autre, officieusement une maison qui a tendance à accueillir les futurs « bad boys » de la prochaine ère. Oui, il s’agit bien d’une référence aux Mangemorts, à Voldemort et à toutes ses conneries qui se sont passés bien avant ma naissance. Mais je vais vous avoué une chose, Durmstrang non plus n’a pas bonne réputation, enfin, d’après l’œil des britanniques. Alors on va faire table rase de tous ses préjugés. Parce que je suis quelqu’un d’assez ouvert d’esprit, et que je préfère tout de même me fier à mon propre jugement. L’ère des « bad boys » est révolu, revenons donc à la réalité, ce n’est pas comme si un mage noir allait survenir du jour au lendemain parce qu’il est allé à Serpentard. Je n’ai pas l’habitude de parié parce que j’ai une chance vraiment pas très coopératrice avec moi, mais il y a beaucoup plus à parié que le prochain mage noir sortira de Durmstrang plutôt que de Poudlard. Du moins je l’espère, sinon cette école n’a vraiment pas apprit de ses erreurs, se qui n’est pas à son avantage.

Stop de blablatage (mot non crédité dans le dictionnaire mais qui correspond à « bavardage ») Je suis face à une fille extrêmement mignonne, qui va à Serpentard, et qui semble m’apprécier à se que j’ai pu capter. Alors oublions l’histoire des Maisons de Poudlard, revenons à cette merveilleuse créature face à moi, assise sur l’autre banquette, qui me sourit d’un sourire… Faux ?
Se n’était pas spécialement son sourire qui était faux, il m’avait d’ailleurs l’air d’être plus vrai qu’autre chose, mais c’était ses yeux. Il y avait quelque chose avec ses yeux, quelque chose qui trahissait son beau visage heureux et calme. Ne me demander pas se qui cloche chez elle, je ne sais pas se que c’est, mais je sais qu’il y a un quelque chose.

- C’est dommage parce que je ne serais surement pas à Serpentard. J’aurais bien voulut connaître au moins une personne.

Bin voyons, la connaître et plus si affinité. Nan mais franchement, c’est ridicule la façon donc j’ai tourné ça. J’avais qu’a dire tout simplement que je suis déçut parce que je n’ai aucune chance d’allé à Serpentard et parce que j’aurais voulu me rapprocher d’elle. Se problème que j’ai pour parler de façon complètement différente de se à quoi je pense… J’ai qu’à lui dire qu’elle me plait et que j’ai envie de l’embrassé mais… non, je ne suis pas trop de se genre. Et puis je la connais vraiment pas cette fille, elle peut être n’importe qui avec moi, n’importe qui sauf elle. Tient, sa me rappelle moi… histoire intéressante, inutile que je la raconte mais en faisant court : Cette joie de vivre que j’ai depuis la mort de ma sœur, c’est une carapace, que je me suis forgé et que j’ai fini par adopter pleinement et consciemment. Un beau matin je me suis réveillé sans avoir à penser à être joyeux et optimiste, je l’étais, tout simplement, parce que j’avais tellement feins d’être quelqu’un d’autre, que je suis devenu véritable quelqu’un d’autre.
Et cette fille merveilleuse qui se tient devant moi, elle est différente de se que j’étais. Elle n’a pas de carapace. Ou du moins une carapace éphémère. C'est tout se que je lui souhait en tout cas...

Et pile dans le mile. Kenzy avait toujours un don bizarre pour cernée les gens, pour les comprendre et voir qui ils étaient vraiment, sans jamais poser trop de questions. Ça se voyait à comment ils agissaient, ils souriaient, ce que els gens disent n’a pas temps d’importance, c’est ce qu’ils ne disent pas qui en a. Elle sourit, un sourire plus de victoire qu’autre chose, mais cela ne paraissait pas, ce n’était pas bien difficile de savoir à quel maison les gens allaient atterrir, quoi qu’avec elle, tout le monde c’était bien gouré.

– moi tout le monde pensait que j’allais finir chez eux, mais on m’a préféré les vert.

Kenny souriait toujours, comme si, les préjugés de sa maison n’existait pas, comme si c’était une maison parmi tant d’autre qui n’avait pas tant de particularité que ça, comme si, elle avait été admise à Serdaigle, poufsouffle ou Gryffondor, comme si aucun mage noir en était sorti. Et pourtant, Kenxy était très bien au courant de tout ça, sauf qu’elle savait tout autant qu’elle n’était pas se genre de personne. Elle n’était pas chez les verts et argents parce qu’elle allait devenir un mage noir, loin de là. Elle n’était pas gentille, ni généreuse certes, elle aimait manipuler et s’amuser avec les gens, sauf qu’elle était chez les serpy pour son ambition et sa ruse pas parce qu’elle était fourbe, langue de vipère ou quoique se soit. Elle était là pour la principale qualité recherchée pas pour les préjugés. On aurait pu la mettre chez les serdaigle, mais elle ne voulait pas voir la face de son attardée de sœur qui se pensait siii intelligente.

Le sourire de la belle se fit plus vrai quand Oliver dit que c’était dommage puisqu’il ne serait probablement pas chez les verts et argent, un petit éclat dans les yeux de la jeune fille durant une nano seconde se fit percevoir, il n’y avait rien eut dans ses yeux depuis la mort de son frère et il avait été le seul à réussir à produire cet effet sur Kenzy. Il n’allait connaître personne ? Au font d’elle, Kenzy espérait que c’était une excuse pour ne pas dire qu’il aurait aimé la connaître plus ou quelque chose du genre. Elle repoussa cette petite voix intérieure, ignora que son œil avait recommencé à vivre durant un instant. Kenny n’était pas le genre à apprécié les gens, elle voulait jouer avec et elle comptait bien jouer avec Oliver aussi. Il était une proie facile, elle voulait cette proie, ou tout s’expliquait ainsi.

– Ce n’est pas bien grave, au moins tu connaîtras quelqu’un au château. J’aurais bien aimé avoir un nouveau visage autre que celui des plus jeunes dans ma salle commune

Elle haussa les épaules, comme si elle ne pouvait rien y changer. Ce qui clochait chez Kenzy c’était bien simple, elle avait perdue la seule personne qui la rendait humaine pour de vrai. Kenny elle faisait semblant, tout simplement. Son frère la rendait réellement souriante, réellement heureuse et presque réellement aimable. Elle n’était maintenant que son propre pantin, elle s’avait faire semblant et tout le monde la connaissait sous cet angle et donc cela ne se voyait plus, mais pour quelqu’un de l’extérieur peut-être cela se voyait-il, mais selon Kenzy non. Alors, elle ne craignait pas du tout qu’Oliver sache, selon elle, il ne se rendait compte de rien. Elle voyait bien qu’il avait une carapace, personne n’est si heureux dans la vie, non personne. Il y avait quelque chose qui clochait, un truc pas net. Elle c’était elle aussi créé une carapace, on se reconnaît entre personne meurtri. Kenny venait à se demander, pour les premières fois de sa vie, si ce jeune homme ma foie très charmant, pourrait en venir à la comprendre … non.

Je ne savais pas trop comment prendre sa remarque. Disait-elle "j'aurais bien voulu un nouveau visage surtout aussi mignon que le tien à Serpentard" ou bien un truc plus du genre, "dommage que tu sois pas à Serpentard", sans plus. Mais non, je me fais des idées. Mon cerveau réfléchit trop, c'est déroutant !
A force d'avoir envie de l'entendre dire un truc du style "si ta pas de petite amie, on peut faire plus ample connaissance toi et moi." N'importe quoi ! Franchement, comment une fille aussi canon qu'elle pouvait être célibataire ? Et si vraiment c'était, elle devait avoir bien assez de prétendant... Et alors ?? un de plus sa ne lui ferais surement pas de mal ... Non. Concentrons-nous. Je ne vais tout de même pas me jeter sur la première venue ! Quoi que sa ne me gênerais pas !
Et bin, qu'elle belle image on aurait de moi. Le nouveau draguant une fille peut-être (j'espère pas) déjà en couple avec un grand balèze qui va aller cassé la gueule à se minus. Oh le film! C'est un cliché complet! n'empêche que sa pourrait être vrai... Non, soyons optimiste, disons que Kenzy est célibataire et 100% pour une relation. Aucune chance, mais c'est pas grave, le faite et que j'arrive encore à me contrôler, à me fixer des limites, et celle là, celle consistant à dragué une potentielle amie (ou petite amie!) c'était se genre de ligne à ne pas franchir. Si sa se trouve, c'est une vrai salope qui aime torturé les animaux en chantant des tubes des années 80. L'horreur ! Faisons plus ample connaissance et voyons comment évolue ensuite le truc, si il y a possibilité ou pas...
Enfin, j'affichais un sourire, (pour changer!!) et jetais un petit coup d'œil au dehors. C'est qu'on va vite dans se vieux rafiot à vapeur! Ciao Londres, Bonjour les vaches et pairies.
- Oui, enfin, si sa se trouve, quand tu me connaîtra mieux, tu ne voudra surement plus entendre parler de moi ! Ce n'est pas que je suis un terrible, mais disons que j'énerve facilement les gens, enfin d'après mon frère, qui n'est pas vraiment une source fiable.

Le pire c'est que c'est vrai ! Je parle trop et parfois pour dire de grosse connerie. J'arrive pas à la fermer et quand c'est le cas, c'est pour déprimer dans un coin, vous envoyant boulé comme une merde. Il faut me suivre, je ne dit pas le contraire, mais les sautes d'humeur, sa arrive à tout le monde...
Remarquez que j'ai joué la carte de la franchise. Je la tien préparé au pire, pour qu'elle sache à quoi s'attendre. Et si elle accepte mes pires défauts,et bin c'est dans la poche ! J'avoue, c'est une bonne technique, mais faut-il encore qu'elle marche. Juste une précision, lorsque je dit qu'il faut dire ses pires défauts, omettre certains détails sa ne peu que vous avantagé. Sinon, il y a la carte de la crétinerie, consistant à vous faire passé pour un gros bêta et si elle vous parle toujours après vous être tournée en ridicule, c'est que c'est en bonne voie. Ses deux techniques restent tout de même risqué selon qui vous êtes. Également, Tant que j'y suis, je précise que ceux qui on un charme naturel (moi ?) toutes ses manipulations vous sont non nécessaire, puisque vous les faites toutes tombés naturellement.

– Ou c’est peut-être toi qui ne voudras pas de moi ? Parce que ma sœur elle te dirait de partir en courant bien loin de moi. Je ne suis pas génial selon elle.

Spoiler HTML code