« C’est un petit garçon ! »

Ce jour là était un jour spécial dans la vie de pas mal de personnes. Tout d’abord, de Ginny Weasley, une jolie rousse, maintenant adulte, alors que tout le monde se rappelait d’elle comme l’adolescente ayant combattu les mangemorts il y a si longtemps. Ensuite, de Harry Potter. Non pas un garçon qui portait le prénom du héros en hommage. Non, le « héros » en personne. Celui ayant combattu puis tué Voldemort il y a si longtemps. Un gentil garçon banal, après tout. Ensuite, pour tout un tas d’autre monde. La famille Weasley, toutes les épouses de tous les frères, les enfants, les proches. En effet, la naissance d’un des premiers des cousins Potter/Weasley était né. Baptisé « James » en hommage à son défunt grand-père, sa photo apparut dans le journal, à peine âgé de quelques jours. Des gros titres. « Potter a un enfant ». Et c’est là le début de l’histoire.

Il habitait une jolie maison située à Londres. Il avait une belle chambre cosy mais pas trop grande rien que pour lui, avec des jolies peintures et tout une ribambelle de jouets qui volaient tout seuls, ainsi qu’un balais volant pour bébé. « Pour quand il tiendra debout », avait annoncé Sirius, le parrain d’Harry, en lui offrant. Il avait la larme à l’œil. Harry savait que c’était parce qu’il lui avait offert le même quelques jours avant le décès de James et Lily. James volait bien dessus et ça l’amusait vraiment. Ce qui continua. Il commença à voler sur un vrai ballais, puis eut le sien rien qu’à lui. Il volait bien.
Durant l’été avant ses 11 ans, il reçut une lettre par hibou. Avec le cachet de l’école de Poudelard. Sirius était justement là, par hasard. Ils l’ouvrirent, toute la famille ensemble : Sirius, Harry, Ginny, Albus et Lily (ses frères te sœurs) et James. Il était le premier des enfants à recevoir – enfin – sa lettre. Il était tout fou. Il la lut à haute voix.

« Cher Monsieur Potter,

C’est avec une joie immense que le corps enseignant de l’établissement de sorcellerie Poudelard vous invite à rejoindre nos étudiants.

Avec l’expression de nos sentiments distingués,

Penelope Dumbledore, directrice de l’établissement Poudelard. »

Tu m’étonnes qu’il saute partout. Et quelques jours après la lettre, il alla, accompagné par son père, aller faire les emplettes sur le chemin de traverse. Il adorait y aller. C’était une super occupation. Arrivé l’instant fatidique : l’achat de la baguette. Sa baguette était en bois de Chêne – fort et courageux – avec une écaille de dragon – pour les courageux et les doués en sort d’attaque, encore une fois. Il était tout fier de lui. Enfin, il avait sa baguette ! Il brûlait d’envie de l’essayer mais n’aurait pas su, bien évidemment.

Il était arrivé à Poudelard. Quelques heures plutôt, ses parents, son frère et sa sœur se disaient au revoir sur le quai. Maintenant, il était aux cotés de Roxanne et Myar. Il les connaissait si bien. Et pour cause, Roxanne était sa cousine tandis que Myar, la fille de Sirius. Il avait toujours trouvé Myar plus sympathique que Roxanne, mais Roxanne était quand même géniale. Le choixpeau le désigna Griffondor. Génial. Roxanne, elle, finit Serpy et Myar le rejoint à la table des rouges.

Les années qui suivirent furent rapides. Il s’inscrit dans l’équipe de Quidditch et en devient capitaine. Il était batteur. Ca se transmettait sûrement de générations en générations chez les Weasley. Quelque chose qu’il avait hérité des Weasley, pour une fois =D. Il était avec Myar, comme co-capitaine. C’était génial. Il s’entendait à merveille avec pas mal de monde. Il était sorti avec pas mal de filles, aussi. C’était un vrai tombeur. On l’appréciait toujours. Sauf quelques Serpentard, et encore pas tous. C’était agréable de se sentir comme ça. Il débute sa dernière année et est un peu triste de devoir quitter tout le monde, mais en même temps il va pouvoir enfin étudier pour son métier avenir, peut-être rencontrer la femme de sa vie, bâtir une famille et tout ce qui s’en suit...