# intrigue, les serres

intrigue

Vous n'êtes pas du genre à être bien gentils mais plutôt de petit garnement ! On vous a pris dans les couloirs en pleine nuit, vous avez fait enrager votre prof en cours ou bien vous avez fait une farce et vous vous êtes fait prendre ? Vous voilà en retenue et vous devez nourrir toute les plantes se trouvant dans la serre sans baguette. Donc, vous ne vous êtes pas fait réveiller par votre directeur de maison vous informant que des loup-garous ainsi que des Erkling et des Harpies s'avancent rapidement et dangereusement vers l'école. Bien sûr, On n’avait pas pensé qu'il pourrait avoir une attaque de créatures féroce. Étant dehors, vous voyez que ses créatures approche très rapidement et vous voilà donc seul sans baguette, à moins que quelqu'un est transgressé la règle... Espérons !

odre de passage ( peut être sujet à des modifictaions ) : Lacey M. Sauvage - Bella Mcgowan - James Potter - Danaey I. Murray - Alixey E. Hartfey

En tant que farceuse en chef, on pouvait dire que les occasions n’étaient pas rare où j’en payais le prix. Et pour cause, la encore alors que je préparais une bonne blague à des premières années paf chopé. Après tout ce n’était pas bien grave ça met un peu de piquant, j’ai beau être constamment d’un calme Olympien, je n’en demeure pas moins joueuse. Heureusement d’ailleurs, sinon je pense que je serai ennuyeuse comme la pluie. Dommage pour le coup ça aurai pu être drôle si seulement on avait pas découvert le pot aux roses.
Enfin bon, j’étais pour la énième fois punis pour mes âneries, manque de bol, je devais passer la nuit à m’occuper de plante dans la serre et en prime sans baguette. Hmm bon bah après tout pourquoi pas ça serai l’occasion de me réconcilier avec les plantes, moi qui suis allergique à la botanique, me voilà condamné à un « cours » magistral en compagnie d’autres perturbateurs. Super, quasiment constitué que de Serpentard en plus, non pas que je les déteste, la rivalité entre nos deux maisons, étaient selon moi idiote. Mais pas pour tout le monde. Tout s’annonçait vraiment très joyeux.

J’étais passé maître dans l’art de l’ironie, vous l’aviez remarqué ? Enfin bref la nuit fut assez calme, je m’étais concentrer sur ma tâche, ne comprenant pas grand-chose à tout ça, j’en observais les autres, je jouais un peu les muettes, mais bon, j’étais réputé pour être calme et pensive, alors ça ne choquait pas, du moins j’espère, loin de moi l’envie de passer pour une snob ou une associable. Mais même concentrer sur mon travail je n’avais pas pu ignorer le vacarme qui régnait dehors.
Je m’approchais doucement de la fenêtre, apparemment mes camarades de retenue avaient-elles aussi entendu.
J’étais soudain prise d’un mauvais, très mauvais pressentiment. J’étais de nature instinctive, prenant toutes mes décisions suivant ce que mon cœur me dictait. Mais la il s’agissait plutôt de mon cerveau qui était en ébullition, réfléchissant à mille hypothèses en même temps.

L A C E Y ▬ Qu’est-ce que c’est que ce plan ?!

Peut être que la direction avez monté un plan tordu, pour nous faire peur dans l’espoir qu’on se calme. Non ils n’iraient pas jusque là quand même, du moins je l’espère. Parce que je n’avais même pas ma baguette, et je n’arrivais même pas à distinguer ce qui se passait dehors, tellement j’étais épuisée. J’espérais que mes « amies » de retenue pourraient m’éclairer sur la question.

Génial. Vraiment super. C’est vrai,il n’y avait pas d’autre mot pour désigner la situation,non? Moi? Ironique? Ça va pas!
En plus c’était moi,toujours moi qui me faisait prendre. Je dois avouer que 1h du matin,c’est certainement pas l’heure idéale pour aller se promener dans la forêt interdite avec Benjamin Summers mais bon…Évidemment,Benjamin s’en était sortit et ce débile de concierge m’avait attrapé. Mon meilleur ami! Quel lâcheur,c’est pas croyable.
J’arrête de me lamenter. Mais j’aurais voulu consacrer cette soirée à écrire une lettre à Andrew,j’en voyait déjà le contenu.
Je suppose que Papa va comme d’habitude…tu ne trouves pas qu’Henry est bizarre en ce moment…oui je sais,le département des Mystères…ah,aussi,mon devoir en botanique…Maman?…Henry! Non! Et si tu te fais prendre…C’est contraire à la loi…je ne me ferai pas prendre ma chérie…on ne peut pas escalader la tour à mains nues…tu m’as oublié Belly?…J’étais pourtant sure d’avoir réussi…
Je me réveillais en sursaut,transpirante. Eh c’est pas vrai! Je m’étais assoupie. Pourquoi le lit était-il aussi dur?
Je pris du temps à me rappeler que j’étais toujours en retenue,dans les serres et que Benjamin s’amusait très certainement dans un endroit quelconque. Mes compagnons de malchance exécutaient machinalement leur travail assommant. Lacey,seule,observait l’horizon. Un pli soucieux barrait son front. Abandonnant lâchement mes plantes désespérantes,je m’approchais de la Gryffondor. Derrière nous,les Serpys chuchotaient. Le parc du château présentait la même aura magique qu’à l’ordinaire. La nuit profonde traçait une marge entre la réalité et le rêve.
Il n’y avait absolument aucune étoile et je le sentais donc dans la plus grande incapacité de définir l’heure. Rien ne me la laissait même deviner.
Un cri perça le silence ambiant. Toutes les têtes se tournèrent vers la provenance du bruit. Les filles étaient affolées pour de bon maintenant,moi y compris. Dans un réflexe habituel,je passais ma main dans la poche arrière de mon jean. Et merde,plus de baguette,plus de magie. Nous étions faites. Comme des rats pour être précise.
« Tu te battras jusqu’à la mort? »,me demanda une voix désagréable dans ma tête.

▬ Non, répondis-je à voix haute, jusqu’à ce qu’on gagne.

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Quoi, madame ? Vous ignorez encore que la moitié des élèves de cette école s’amuse à brûler les couvre-feux ?!!

Merde

loups-Garous

Erklings

Harpies

Qu’est-ce que c’est que ce plan...

Lancer des loups-garous dans l’enceinte de Poudlard, plutôt folle comme idée, non ?

Dis-je d’un air moqueur et sarcastique, en voulant leur faire comprendre que je ne croyais absolument pas que tout cela soit une simulation ou un plan quelconque venant du personnelle de l’école.

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Une retenue, hein ? Depuis le temps, je commençais à m’habituer à ces longues heures enfermées dans un local, à ne rien faire, ou bien à recopier autant de fois que le pouvait notre petite main les règlements de l’école… ou jusqu’à ce que le prof en ait marre de me voir écrire. Mais je dois vous avouer qu’aller nourrir les plantes dans les serres était loin d’être une idée qui m’enchantait. Oui bon, je n’avais pas été très sage il fallait avouer : j’étais encore sortie de mon dortoir après le couvre-feu. C’était une activité à laquelle je me livrais souvent, sauf que cette fois-ci, contrairement aux autres, je m’étais fait prendre. Et puis voilà où je me trouvais. Mes longs cheveux blonds attachés en un chignons négligé, les manches de ma cape repliées jusqu’à mes coudes, je tentais bien malgré moi de surmonter le dégoût que me provoquait ces plantes aussi étranges les unes que les autres. Et le pire dans tout ça, c’était que nourrir et replanter des plantes était déjà ennuyeux, mais que si les plantes tentaient de vous chopper la main au passage, c’était encore pire ! J’avais attaché mes cheveux depuis qu’une d’entre elle avait tenté d’en attraper un bout pendant que je la replantais et je découvris à l’instant les désavantages d’avoir une aussi longue crinière. Et ma malchance continua de me mener et je commençai à jurer silencieusement contre ces bestioles. C’était bel et bien décidé : je n’avais pas le pouce vert.

Normalement, j’aurais été du genre à lâcher diverses conneries que pour égayer l’ambiance, mais apparemment, sur ce coup, je n’avais rien trouvé de mieux à faire que de me taire et me concentrer sur ces plantes. Pour une fois que je me mettais vraiment au travail. Et pourtant, j’aurais eu tous les outils en main pour faire de cette retenue des heures bien amusantes. James était avec nous dans le groupe de retenue : il était certainement celui que je connaissais le plus dans cette serre étouffante. Mais qu’un sourire esquissé et puis rien d’autre, alors que normalement, lorsqu’on était tous les deux, on tenait rarement plus que deux secondes sans déconner. À croire que cette retenue avait bouffé le moral de tout le monde.

Je soupirai longuement, levant les yeux vers l’extérieur, m’accordant une ou deux minutes de pauses. Sauf qu’à mon plus grand étonnement, ce ne fut pas un paysage tranquille qui se présenta à moi, mais bien une horde de ce qui me semblait à première vue des loups garous, des harpies et des Erklings. Mais c’était quoi cette histoire ? Inutile de vous dire que j’en eus immédiatement froid dans le dos et que ma curiosité me fit rapidement lâcher les plantes, laissant mes gants de coté sur la table, pour aller me joindre à mes compagnons de retenue qui semblaient aussi étonnés que moi.

« Qu’est-ce que c’est que ce plan... »

« Lancer des loups-garous dans l’enceinte de Poudlard, plutôt folle comme idée, non ? »

Le ton dans la voix de James nous laissa rapidement savoir qu’il ne pensait pas du tout que c’était un plan ou une simulation quelconque puisque les dangers étaient clairement trop élevés pour les élèves. À moins que les professeurs soient cachés ? Oui bon, si c’était le cas, ce n’était vraiment pas drôle et je souhaitais sérieusement qu’ils sortent à l’instant même car tout ça serait loin d’être une partie de plaisir.

Ma main se porta immédiatement à l’endroit où je mettais normalement ma baguette. Je me rappelai alors qu’on nous l’avait confisqué pour que nous puissions pleinement profiter de nos heures de retenue comme il le fallait, sauf que là, on était dans le pétrin. Et pas juste un peu, non ! Fronçant les sourcils, je commençai à réfléchir, sauf que l’intellect’ n’était pas vraiment mon fort. Non, j’étais plus du genre à foncer la tête baissée, sans vraiment réfléchir. J’aimais l’action, ce qui bougeait et je sentais que dans un sens, j’allais être servie ce soir, non ? Malheureusement, une action qui ne serait pas préméditée nous mènerait sans aucun doute à notre perte, et c’était ça qui faisait le plus peur.

« Peu importe qui monté ce plan, on devrait se dépêcher de nous en trouver un aussi. »

Quel plan ? Je n’en avais aucune idée. Sortir et partir en courant était peut-être suicidaire, mais peut-être aussi notre dernière chance. Rester dans la serre était pratiquement comme nous servir sur un plat à ces bêtes et pour tout vous avouer, je n’avais pas envie de servir de repas ce soir. Malheureusement, je ne savais pas où donner de la tête et j’espérais sincèrement que mes confrères de retenues auraient bien une idée qui leur passerait par la tête. Sinon, bonjour l’improvisation, et on s’en laisserait aux mains du destin.

Idiote. Voilà ce qu’Alixey avait pensé d’Hespella Clagg, directrice de la maison serdaigle et également bibliothécaire, quand cette dernière était venue la collée en retenue. Tout ça parce qu’elle faisait du bruit dans la bibliothèque, n’était ce pas un peu exagéré ? Apparemment non car personne n’avait réagit, certes, Miss Clagg était venue trois fois la prévenir que la pollution sonore d’Alix était beaucoup trop élevé mais, comme à son habitude, la jeune demoiselle n’avait rien prit en compte et avait continué comme si de rien n’était. Et puis Hespella Clagg n’avait vraiment rien de la dame sévère : beaucoup trop honnête, elle semblait s’excuse de chaque parole qu’elle prononçait. Pitoyable. Ali’ se retrouvait donc en retenue dans les serres, en compagnie de Lacey, James et d’autres personnes qu’elle ne connaissait pas vraiment. Enfin disons dont elle ne connaissait pas le nom et qui était, on peut le dire, la dernière préoccupation de la jeune fille. En plus court : elle n’en avait rien à faire. Tout ce qu’elle savait, c’est qu’elle était la seule serpentard, et autre point, la plupart était des gryffondor. Ce qui n’était pas étonnant : ces derniers désobéissaient très souvent au règlement intérieur, tout comme les serpentard, mais était beaucoup trop niais pour être discret. La guerre entre maisons n’avaient jamais été le souci premier d’Alixey mais elle reconnaissait que la où les gryffondor fonçait sans prévenir, les serpentard réfléchissaient à la meilleur tactique. Elle était donc là, plantant et replantant les plantes qu’elle haïssait tant, ses cheveux attachés en un chignon légèrement déstructuré pour ne pas la gênée dans son travail. Le bracelet de Jamie était toujours à son poignet ce qui prouvait qu’elle n’avait toujours pas réussi à lui pardonné, du moins pour le moment. Alixey était toujours concentré sur son travail n'avait pas prêté attention au cri, personne n’avait parlé depuis le début mais un commentaire lui fit relever la tête.

LACEY : Qu’est ce que c’est que ce plan ?

JAMES : Lancer des loups garous dans l’enceinte de poudlard, plutôt folle comme idée non ?

Comment ça des loups garous ? ‘Lix lâcha ses instruments de jardinage et se dirigea vers ses camarades. Un spectacle horrible lui parvint : des loups garous stabilisés sur leur deux pattes arrières avançaient vers le château, leurs poils gris brillaient sous l’éclat de la lune, les harpies avaient adoptés leurs vraies formes : monstres hideux censés mangés les enfants quand aux Erklings…ces elfes avaient réellement du charme.

DANAEY : Peu importe qui monté ce plan, on devrait se dépêcher de nous en trouver un aussi.

Quelle déduction de la part de cette fille inconnue d’Alixey, cette dernière leva les yeux aux ciels. Ali’ regardait les autres adolescents un par un : chacun avait essayé d’attraper leur baguette, tentative veine ils ne les avaient pas. C’est à ce moment là qu’Alix bénit sa sœur : en effet, lorsqu’elle était dans la bibliothèque, elle avait piqué la baguette de sa sœur jumelle pour son exposé sur « Les agissements des baguettes selon leurs composants ». Evidemment Miss Clagg lui avait confisqué sa baguette, enfin disons une baguette vu qu’il s’agissait de celle de Tinsley. Alixey, esquissa un mouvement vers la poche arrière de son jean et en sortit sa baguette, ce bénissant intérieurement de l’avoir emporté. Elle réfléchissait à toute vitesse, elle étudiait le visage de ses camarades tout en élaborant un…plan si on pouvait appeler ça ainsi.

ALIXEY : Il serait idiot de sortir de la serre : c’est le seul obstacle entre eux et nous. De plus si on sortait, les loups nous rattraperaient allégrement. Quelqu’un d’autre a-t-il sa baguette ?

Apparemment non, Alixey reposa son regard au loin. Elle arqua un sourcil : un loup garous se ruait vers eux, il avait détecté leur présence. Il ne restait que peu de temps avant que toute la meute se dirige vers eux. Mais pour l’instant, aucun autre ne changea de direction : il semblait tous préoccupé par le bâtiment principal de Poudlard, ce qui était une chance. La jeune femme réfléchit aux options qu’elle avait et aux sorts qu’elle pouvait utiliser contre cet agresseur. Alixey se dirigea vers la porte de la serre et sortit, le loup garou courait à présent tout droit vers eux. Elle pointa sa baguette sur lui et lança :

ALIXEY : Impedimenta !

Le loup garous sembla courir au ralentie, Alixey aurait dût se douter que le loup garou était un être trop puissant pour le stopper totalement. Mais qu’importe ça leur laisserait un peu plus de temps. Alix’ rentra de nouveau dans la serre, verrouilla la porte et se tourna vers ses camarades.

ALIXEY : Une idée ?

Super, non mais alors là, nous étions pas le moins du monde dans une galère improbable. C’était courant après tout, une bande de loup-garou, d’Harpies et je ne sais trop quoi encore. Pourquoi m’en faire alors que je n’avais pas de baguette, c’est vrai, ça semblait pouvoir se résoudre facilement, on reste là sans bouger, et miraculeusement, on va se réveiller dans nos lits. Non mais n’importe quoi, je ne cédais pas à la panique non, contrairement à mes pensées toutes aussi embrouiller les unes que les autres, j’étais tout ce qui a de plus sereine. Seulement je tentais de me résonner, de reprendre le dessus et de trouver une solution.
Bella, la jeune serdaigle devant moi, semblait se parler à elle-même. Et bien que perspicace, je n’arrivais pas à comprendre de quoi elle pouvait bien parler.

J A M E S ▬ Lancer des Loups-Garous dans l’enceinte de Poudlard, plutôt folle comme idée, non ?

Et non mais en plus il me déconcentre à vouloir se moquer de mes réactions improbables. Certes c’étaient surement pas un plan c’était complètement stupide, ils ne feraient jamais ça. C’était bien trop dangereux, j’étais prête à parier, que bon nombre d’élève seraient près à risquer leur vie, seulement pour prouver leur valeur armée de leur baguette, ce qui n’a aucun sens. Oui bon, ça avait quelque chose de tentant sauf qu’un problème se pause, l’absence de baguette.

D A N A E Y ▬ Peu importe qui monté ce plan, on devrait se dépêcher de nous en trouver un aussi.

En toute logique c’était judicieux, ouai seulement quel plan ? Non mais sérieusement une bande d’étudiant, sur cinq nous étions trois en septième année, et personne ne semblait avoir pris sa baguette. Sortir pourrait être dangereux, nos mouvements les attireraient et nous les conduirions directement au château. Ce qui était à éviter, après tout une tel panique les professeurs allaient intervenir normalement, non ?!

A L I X E Y ▬ Il serait idiot de sortir de la serre : c’est le seul obstacle entre eux et nous. De plus si on sortait, les loups nous rattraperaient allégrement. Quelqu’un d’autre a-t-il sa baguette ?

Au moins une qui l’a c’est déjà une bonne chose, certes on s’en sortirai mieux avec cinq baguettes, mais une c’était mieux que rien. Oui sortir me semblait pas être une bonne idée non plus, seulement rester ici ne me semblait être guerre mieux. Nous nous retrouvions un peu pris au piège. Attaqué par une bande de bestiole dans une serre pendant une retenue, j’étais sur pour le coup que c’était une fin bien stupide. En parlant de bestiole, un loup semblait se diriger vers nous ce qui n’échappa pas à Alixey, je la vis se diriger vers la porte et en sortir.

A L I X E Y ▬ Impedimenta !

Ce sort ne semblait pas l’atteindre aussi parfaitement que sur un humain, évidemment bien trop gros, l’effet était plus réduit. Si nos sorts étaient en plus peu puissant face à eux que nous restait-il ?

A L I X E Y ▬ Une idée ?

Bien sur en faite j’en avais plein, mais aucune ne me semblait réalisable. Monter un siège dans la serre, la protéger peut être mais comment ? Dans la précipitation j’étais tout habile pour trouver les idées presque inutile mais qui pourrai avoir leur intérêt. Certes protéger la serre me semblait maintenant la meilleure idée. Je connaissais un sort, et j‘étais certaine que je n‘étais pas la seule.

L A C E Y ▬ Protéger la serre, étant donné que sortir n’est pas une bonne idée, il faut pouvoir être en sécurité à l’intérieur. « Protego Totalum » c’est-ce qui me vient en premier.

J’avais du mal à réaliser ce qui était entrain de se produire, je détestais ne pas avoir ma baguette, lancer mes idées sans pouvoir les exécuter moi-même. Je détestais dépendre de quelqu’un. Mon idée me semblait bonne, du moins pour un temps, car il faudrait bien sortir de là un jour.

avant propos ;;

Pour ceux et celles qui ont participé à l’intrigue,
Ou qui au contraire le souhaitait mais sont arrivés trop tard,
Je vous propose de faire une suite à cette bonne idée qu’on eu les admins,
Après l’attaque, nous sommes tous réunis dans la Grande Salle,
Nous nous inquiétons pour nos amis, nos proches, et également..
Pour les professeurs qui ont bien disparu !

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