Hades C. Rhydderch - Nothing but a jerk {terminée}
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Sujet: Hades C. Rhydderch - Nothing but a jerk {terminée} Ven 1 Mai - 20:40
un. avant toute chose ;;
PSEUDO: Ben. ÂGE : 19 ans. NANA OU MEC : Au dernière nouvelle : mec. TOI, TU AURAIS ÉTÉ DANS QUEL MAISON : D'après un quizz, j'aurais du atterrir chez les verts et argents (j'en déduis que ce quizz est très bien ). OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : En allant de partenaires en partenaires sur différents forums. AVATAR : Tom Sturridge. CODE :
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deux. le choixpeau sait tout ;;
NOM : Rhydderch. Vous avez sûrement entendu parler des entreprises Rhydderch. Vous savez Asphodèle Rhydderch, la grande créatrice de mode qui a ouvert ses propres entreprises et magasins à travers le monde ; eh bien ! Oui, c'est ma mère. PRÉNOM : Hades. Un prénom funeste, révélateur, prémonitoire...Tout cela n'est qu'une question de point de vue. Toujours est-il que ce magnifique prénom est aussi le nom du dieu des enfers dans la mythologie grecque. Caèl. Mon deuxième prénom, je n'en connais pas la signification, mais il est d'origine Irlandaise. ÂGE : dix-sept ans. DATE & LIEU DE NAISSANCE : Le dix décembre deux mille quatre & Ste Mangouste, Londres. SANG : Mêlé. ORIGINE : Purement Anglaise.
trois. et toi alors.. qui es-tu ? ;;
DESCRITION PHYSIQUE :
Dois-je réellement vous décrire les courbes presque féminine de mon corps, les traits fins et gracieux de mon visage si dur et froid. Dois-je faire l'éloge de ma minceur et des quelques cent quatre vingt cinq centimètres qui me donnent cette allure athlétique, mais d'apparence maigrichonne. Dois-je vous dépeindre le mince filet de barbe noire que je laisse pousser sur ma mâchoire légèrement carré. Dois-je vous parler de mes cheveux d'un noir de jais, du même noir que ma barbe, qui encadre mon visage ; ni long, ni court. Dois-je vous faire remarquer la couleur bleu sombre de mes yeux, mon regard pénétrant derrière cette mèche de cheveux qui me tombe sur les yeux et que je repousse d'un geste de la main, désinvolte et classe. Non, je n'ai pas besoin de vous parler de tout ça, ni de vous faire remarquer que je ne porte que les créations de ma mère ; même mes robes de sorcier sont des créations de ma génitrice. Alors, oui j'ai plus de classe que toi, je te regarde de haut parce que mes habits sont plus chics et plus chers que ta maison, parce que toutes les filles me tombent dans les bras, oui, je te souris narquoisement ; une question : et alors ?
DESCRIPTION PSYCOLOGIQUE :
Je suis un enfoiré plein de suffisance, moqueur et cynique qui ne recule devant aucune phrase assassine dans le but totalement assumé de te faire mal. Parce que je ne t'aime pas même si je ne te connais pas, je n'aime pas faire des rencontres. A quoi bon ? Se faire des amis pour qu'il vous trahisse d'ici quelques années, autant tendre un poignard à votre tueur. Je crois, pardon, je sais que je ne suis pas stupide, je suis même assez intelligent comme garçon, mais intelligent chez moi ne rime pas avec sage ; au contraire. Je suis intelligent, mais surtout je suis rusé. Etant doté d'une intelligence froide, je résous les problèmes avec calme ou je m'arrange pour que quelqu'un d'autre fasse le boulot à ma place. Manipulateur, je n'hésite pas à vous faire croire que je peux vous décrocher la lune si en retour vous m'êtes utile. Je suis aussi doté d'un charisme fort, je suis sûr de moi et fier ; ce qui ne fait pas bon ménage. Ayant une âme de leader, je suis rarement à l'arrière de la scène ; j'aurais plutôt tendance à être celui que l'on connaît pour être à l'origine de divers méfaits ayant ponctué la vie de Poudlard. Bref, vous l'aurez compris, je ne suis pas pétrie de qualité, mais ce que l'on ne peut pas m'enlever : c'est que rare sont mes vrais amis, mais quand ils le sont, ils passent avant tout. J'ai beau être arrogant, rusé, manipulateur, cynique, ambitieux, sarcastique ; je suis fidèle avec mes rares vrais amis. Je ne peux pas en dire autant de mes petites amies...
GOÛTS : Contrairement à ce que vous croyez sûrement à ce stade : je ne déteste pas les moldus. Mon père en était un et ces histoires de sang sont ridicules. Pourquoi je vous dis tout cela ? Eh bien ! une des choses que j'adore dans ce bas monde est moldue : le cinéma. Il s'agit là d'une véritable passion. J'aime le cinéma et même quelques séries télévisées. Je suis aussi musicien, la musique que j'écoute étant en accord avec le milieu dans lequel je vis, j'écoute de la musique classique (autant moldue que sorcière). Cependant, je ne peux pas nier mon amour du blues et du jazz. J'ai donc appris à jouer du piano et de la guitare, et j'essaye tant bien que mal d'apprendre à jouer du saxophone et de la trompette. Mais le piano et la guitare reste mes instruments préférés, privilégiés. Comme tout bon sorcier, j'aime beaucoup le quidditch, mais je préfère pratiquer les sports plutôt que de les voir pratiquer par d'autres ; c'est pourquoi je parle assez peu des matchs des grandes équipes donnant l'impression que je ne m'intéresse pas à ce sport.
quatre. one life, happy life ;;
Que voudriez-vous faire graver sur votre tombe ? Quelque chose de court et de simple. Quoi ? Je reviens dans cinq minutes. Eddie Braben
ASPHODÈLE - Ton père est mort.
Je ne sais pas s'il est nécessaire et surtout possible de vous décrire la nonchalance et la désinvolture avec lesquelles ma mère avait prononcé ces mots simples et pourtant terrible à entendre quand on est âgé d'à peine sept ans et que l'on vient à peine de découvrir que l'on est un sorcier. Trop d'émotions contradictoires qui se mélangent et s'affrontent à la fois. La soudaineté de la mort qui frappe sans prévenir et qui pourtant nous rate si souvent au cours d'une vie, cela prêtait presque à rire ; presque. En fait, à l'heure actuelle je n'avais pas très envie de rire. Je savais que ma mère et mon père n'étaient plus en très bon terme à cause essentiellement du travail de ma génitrice. Celle-ci tenait une agence de mode et de haute-couture dans le monde magique...Ah oui ! Pardon, j'ai oublié de vous signaler que je suis un sorcier. Un sorcier avec une baguette magique et qui lance des sorts. Pas tout à fait comme dans les films ; souvent la représentation que vous vous faites des sorciers est en fait ce que la société sorcière était il y a de cela quelques siècles. Bref, reprenons. Ma mère et mon père ne s'entendaient plus et avaient même décider de divorcer. Rien de très surprenant, n'est-ce pas ? Il semblerait qu'aujourd'hui ce soit la mode de divorcer, la famille et la mariage ne sont plus les institutions suprêmes qu'elles ont pu être par le passé. Nous avons beaucoup trop de moyens nous permettant de rompre ces liens et puis souvent on y gagne de l'argent. J'en suis venu à soupçonner ma mère d'avoir tuer mon père. Terrible comme accusation, mais tout portait à croire qu'elle en était capable et que cela ne la dérangeait pas de supprimer les gêneurs. Déterminée et ambitieuse ma chère mère.Un côté dont j'ai hérité. Ce qui me confortait dans cette hypothèse, par ailleurs, c'était les dires de mon grand frère. Il avait cinq ans de plus que moi. Il était la coqueluche d'à peu près tout le monde, il était beau, il était grand, il était fort. Bref, ma mère était fier de lui et pourtant mon frère la détester. Il n'aimait pas sa façon de penser, d'être, d'écraser les autres avec arrogance. Ironiquement, s'il avait tout réussi dans sa vie, c'était pour lui prouver qu'elle avait tort et se faisant il s'était placé tout seul dans la position d'enfant préféré de notre mère. Elle voulait qu'il réussisse, qu'il soit adulé, qu'on reconnaisse son talent. Jusqu'à maintenant, il avait réussi et tout le monde parlait déjà de lui comme étant le futur ministre. J'avais aussi une petite sœur, une douce fleur, un pétale doré égaré dans cet univers chaotique. Elle aurait mérité qu'en tant que grand-frère je débarrasse le monde de toute sa crasse pour elle. Je l'aimais beaucoup. Nous n'avions qu'un ans de différence, presque moins et tout le monde pensait que nous étions des faux jumeaux. Ma mère, par contre, ne l'aimait pas et elle le faisait sentir et mon père de son vivant était aux petits soins pour sa petite fille chérie. Maintenant, que j'y repense je me rends compte qu'à la mort de papa, j'ai pris sa place dans le cœur de ma sœur.
Les évènements qui ont suivi cette scène, pendant laquelle je suis resté figé face à ma mère qui m'annonçait la mort de mon père comme s'il s'était agit du mauvais temps, sont d'une triste banalité. Nous avons digéré la nouvelle comme nous avons pu. Mon frère était amer, triste et révolté. Ma sœur perdue, on aurait dit qu'elle venait de se rendre compte que le merveilleux conte de fée n'était qu'une mascarade. Je savais qu'à partir de ce moment plus rien ne serait pareil. Personnellement, mon père avait été un modèle, il m'avait légué ce qu'il pouvait en sachant que j'étais un sorcier. Il m'avait fait découvrir le cinéma moldu et en quelque sorte c'était le seul héritage dont j'avais besoin. Mais à chaque fois que j'y repensais, j'étais plus amer encore et à chaque année qui passèrent après cela, je sombrais de plus en plus dans la déception. La déception de ce monde et de ce qui le peuplé. C'était affreux. Après l'annonce de la nouvelle, nous avons rencontré un notaire, un vieil homme déjà à moitié mort, lui-même, et qui ne parlait que d'héritage et autre gros sou. L'enterrement à suivi peu après, nous avons pleuré beaucoup, nous nous sommes soutenus mutuellement et ce devait être la dernière que la fratrie Rhyddech était aussi proche. Bizarrement, on redoute l'enterrement, on voudrait qu'il ne vienne jamais ou quand il arrivera qu'il passe très vite, puis quand il arrive et qu'il finit, on se rend compte qu'on aurait voulu qu'il dure plus longtemps pour pouvoir dire adieu à celui qu'on aimait. Je ne me rappelle pas bien de la suite. Notre grand-frère nous a quitté. Rassurez-vous, il n'est pas mort ; quoique cela n'a peut être rien de rassurant. Il est simplement parti vivre chez nos grand-parents, prétextant que le calme de la campagne lui permettrait de mieux étudier pendant les vacances. Connerie. Il cherchait juste à fuir et il a réussi. Le plus intéressant vient après tout cela. Car ne nous mentons pas, le plus intéressant c'est moi. Quand j'ai eu dix ans, j'ai reçu la fameuse lettre. Celle qui vous donne le droit d'aller dans une école où on enferme tous les monstres comme vous. La seule différence, c'est que vous, vous avez conscience d'être un monstre ; eux non. Je ne vous cache pas que je m'en fichais un peu de cette lettre. Ce n'était pas un surprise et j'exprimais rarement mes émotions. Ce qui me tracassait vraiment, c'était de laisser ma sœur seule pendant un ans ; pire, seule avec notre mère pendant un an.
- Mais tu ne comprend pas : je suis un homme ! - Et alors ? Personne n'est parfait. Billy Wilder.
L'école. Merlin, que c'est rempli d'incapable. Déjà les idiots qui vous serrent la main une fois que vous êtes répartis et qui font ces espèces de sourire naïf qui m'horripilaient ; et dire que vous allez les côtoyer pendant sept ans, n'y a-t-il donc pas de justice en ce bas monde ? Peut être que si en fait. Dans ces idiots, je me suis trouvé un ou deux bons amis qui eux aussi semblent penser qu'il faudrait créer une maison pour eux seul car ils n'appartiennent définitivement à aucune de celles qui sont citées. Je me suis donc acoquiné avec ces gens-là. Je dis acoquiné car c'est le terme que ma mère a employé quand elle a reçu la première du directeur à mon sujet. elle s'attendait à des éloges sur mes capacités hors du commun et à la place elle a eu droit à une longue diatribe sur des explosions d'armure libérant des matières visqueuses identifiées comme de la bombabouse. Le directeur lui expliquait quel surcroit de travail cela représentait pour les elfes de maison. Ce à quoi ma mère a répondu qu'ils étaient payés pour cela et que le directeur était payé pour ne pas mélanger la vermine aux gens de mon rang. Tout cela était très divertissant. Les réprimandes si bien pensées qui ont suivi l'étaient beaucoup moins. J'avais donc pris le parti d'être une sorte de star de l'école connu pour ses frasques, ses coups bas et autres contre les élèves, parfois conte les profs. Vous imaginez déjà un jeune Gryffondor souriant, jouant au quidditch et faisant des petites farces, mais jamais bien méchantes. Alors, vous êtes stupides. Je n'étais pas comme cela, moi, je ne m'amusais pas pour le simple plaisir de vous voir tomber dans mon piège savamment concocté. Je m'amusais à vos dépens, je me moquais de vous et de vos déboires, je vous ridiculisais, vous rabaisser, vous humiliais. Je n'étais pas un de ces héros d'opérette arborant le rouge et l'or comme s'il était agit du plus beau don de dieu, prônant de beaux et grands principes sur la manière de vivre et de réagir face à la magie noire, de se comporter avec les gens différents et toutes ces conneries de bouffondors mal dégrossis. Ces idiots avec leur grands principes qui sont persuadés qu'il y a les méchants d'un côté et les gentils de l'autre comme si tout le monde pouvait être classé dans l'une ou dans l'autre catégorie sans variations. Ces imbéciles heureux qui imaginaient que l'homme était bon et qu'il faisait forcément le bien autour de lui. Ces crétins qui imaginaient qu'un être humain était forcément bon parce qu'il était doué de conscience et qu'il s'élevait ainsi au-dessus des animaux. Pauvres Gryffondors, l'homme est le pire animal qui soit, c'est qui pendant tant de millénaires s'est évertué à détruire ce qui avait été construit. Lui qui était capable de tuer par intérêt, lui qui était égoïste, mais ça vous ne voulez pas le voir. Maintenant que j'y repense, quelle qu'ait était ma maison à Poudlard, je les aurais détesté, eux et leurs idéaux stupides. Pendant sept années, je les ai combattu à ma façon en les désenchantant, en les raillant, en leur montrant ce qu'était vraiment l'être humain. Heureusement, à côté de mes bêtises en groupe, j'avais d'excellents résultats scolaires. Quand ma sœur m'a rejoint à Poudlard, c'était le plus beau jour de ma vie, même si nous n'étions pas forcément d'accord sur tout. Notamment, les garçons qui lui tournaient autour. Enfin, le plus intéressant arriva lors de ma dernière année quand on nous déclara qu'une meute de loup-garous avaient décidés d'attaquer l'école ; une belle année.
Dernière édition par Hades C. Rhydderch le Dim 3 Mai - 23:27, édité 1 fois
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Sujet: Re: Hades C. Rhydderch - Nothing but a jerk {terminée} Dim 3 Mai - 23:26
questionnaire
Quel est votre prénom ?
Hades Caèl
Que choisiriez vous entre: Bièraubeurre, Whisky Purfeu, Liquide inconnu et Jus de citrouille ?
Je crois que j'hésiterais entre le Whisky pur feu et le liquide inconnu, puis je ferais gouter le liquide inconnu à quelqu'un et selon sa réaction je le boirais ou non.
Quel est selon vous la meilleur des qualités ? Gentillesse, Courage, Intelligence et Popularité.
L'intelligence est d'une importance capitale, mais il faut savoir l'utiliser et la popularité permet de se faire de bonnes relations. Si l'on veut réussir dans la vie, il faut avoir les bonnes relations.
Et le pire des défauts ? Arrogance, Méchanceté, Flemmardise et Bêtise.
La méchanceté est une question de point de vue. L'arrogance est une forme de franchise. La flemmardise, ce n'est que faire faire ses devoirs par un autre. Donc je pencherais pour la bêtise : le plus grand fléau que le monde ait connu après l'apparition de la race humaine.
Vous préférez oui ou non ?
Non, c'est beaucoup plus drôle. Oui quand c'est une femme qui vous propose farouchement de la raccompagner jusque dans son lit.
La meilleure place dans une salle de classe. Au fond, au millieu, près de la fenêtre, au 1er rang...
Le premier rang est réservé aux serdaigles et aux chattons rouge et or plus intelligent que la moyenne (noté qu'ils sont très rares ceux-là). Le milieu n'est pas top, on est noyé dans la masse. Près de la fenêtre, cela permet de se suicider, je le préconise pour tous les abrutis de gryffondors et de poufsouffle. Je dirais au fond, on est pénard pour discuter et cela n'empêche pas d'être meilleur que les autres.
Quel es votre animal de compagnie ou celui que vous voudriez avoir ?
On a du personnel de maison pour s'occuper de ce genre de chose. M'encombrer d'une bestiole idiote qui n'aura que pour fonction de salir mes draps, et quoi encore.
Et son petit nom ?
Adressez-vous à notre servante pour ce genre de détail.
Si vous deviez prendre la décision de votre vie, vous demanderiez conseil a: personne, mes ami(e)s, ma famille, une personne responsable.
Absolument personne, je ne fais confiance qu'à moi.
Votre dessert préféré ? Tarte a la Rhubarbe, Eclair au chocolat, Beignet à la confiture ou Pièce Monté a la crème.
Pièce monté à la crème, beaucoup plus classe.
Quel était la couleur de votre premier dragées surprise de Bertie Crochue ?
Une sorte de vert assez brillant et tirant sur le jaune.
Vous pensiez que c'était quel parfum ?
Citron.
Et en fait vous avez eu ?
Morve de centaure et bave de boursoufflet ; je n'ai jamais su lequel était jaune et lequel était vert.
Vous êtes plus sport ou intellect ?
un peu des deux. J'aime bien le quidditch, mais l'esprit c'est important aussi.
Et pour finir... si la guerre devait arrivé, choisissez une personne avec qui vous voudriez passer la soirée.
Si la guerre devait arrivé, je l'aurais déclenché.
C'est terminé.
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Sujet: Re: Hades C. Rhydderch - Nothing but a jerk {terminée} Lun 4 Mai - 0:07
Bienvenue
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Sujet: Re: Hades C. Rhydderch - Nothing but a jerk {terminée} Lun 4 Mai - 0:10
Bienvenue Hades ^^ J'aime beaucoup ton prénom, c'est pas celui du dieu des enfers
Bref je veux un lien mouaahh
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Sujet: Re: Hades C. Rhydderch - Nothing but a jerk {terminée} Lun 4 Mai - 0:52
Merci à toutes les deux.
Si, si c'est bien le prénom du dieu des enfers du côté de la mythologie grecque (je crois, je confonds toujours). Pas de problème pour le lien.
Eros R. Black
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Sujet: Re: Hades C. Rhydderch - Nothing but a jerk {terminée} Lun 4 Mai - 0:55
Hades c'était pas lui qui acceuillait les mort? mouarg je les mélange aussi.
Et pour t,as fiche t'as pas mit de code (ah moins qu'un admin est passer avant moi et l'est valider) mais tu auras besoin du code pour être valider. Il est dans le règlement.
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Sujet: Re: Hades C. Rhydderch - Nothing but a jerk {terminée} Lun 4 Mai - 1:00
Si, si je l'avais mis, mais un admin a du passer par là.
Et je crois que c'est Charon qui accueillait les morts, sur sa barque, sur le Styx, mais je suis d'accord les grecs pourraient faire un effort de simplification.
Eros R. Black
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Sujet: Re: Hades C. Rhydderch - Nothing but a jerk {terminée} Mar 5 Mai - 0:08
nom;;
après mûre réflexion, déblatage avec les différentes partie de ton âme et de tes pensées, j'ai la joie de t'accueillir dans la maison Serpentard. Cette maison est depuis des millénaire le repère des gents intelligent, ambitieux, mais aussi et surtout des gens révolutionnaire. Entrer dans cette prestigieuse maison n'est pas toujours accepté, et les rivalité iront bon train, mais qui d'autre qu'Serpy pourrait les relever mieux que personne ! Ainsi donc, bienvenue dans l'illustre maison de Salazar Serpentard.
Le Choixpeau, l'infinie de ton esprit m'es ouvert pour ton plus grand bien...
V a l i d é Bon jeu mister ^^
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Sujet: Re: Hades C. Rhydderch - Nothing but a jerk {terminée}
Hades C. Rhydderch - Nothing but a jerk {terminée}
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