exposed - do you ever live racism ?
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 so funny joke, A. {pv

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so funny joke, A. {pv Vide
MessageSujet: so funny joke, A. {pv   so funny joke, A. {pv EmptyMar 4 Nov - 4:59

so funny joke, A. {pv 2 so funny joke, A. {pv 9tjrqg
« Celui qui s'applique à la vengeance garde fraîches ses blessures. »


      trois octobre, deux mille vingt et un
      couloirs - troisième étage
      angleterre


    Entouré de sa Cour, Oreste arpentait les couloirs du troisième étage en quête de quelques première ou deuxième année à martyriser. Habituellement en cours de potions, aujourd'hui était un jour spécial. Le professeur était atteint d'une maladie bizarre mais selon les dires de l'infirmière sans aucun danger pour sa vie et qu'il pourrait même reprendre les cours la semaine prochaine. Dommage. O. aurait bien célébrer l'enterrement de cette vieille chouette avec bien d'autres Serpentards du même avis que lui. Alors que le jeune homme s'adossait contre un mur, à l'angle d'un couloir, toute sa troupe l'imita, gardant chacun un œil sur les différents coins où pourrait apparaître une victime quelconque. Et celle-ci ne se fit pas attendre. Elle pris l'apparence d'un pauvre Gryffondor, sûrement en quatrième année, une boîte blanche dans les mains, un sourire absolument niais sur le visage. A la vue de ce personnage, O. leva les yeux au ciel. C'était désopilant de voir autant de niaiserie concentrée en une seule personne. Mais O. devait bien lui reconnaître quelque chose, le petit ne manquait pas de cran car sans même faire attention à toute la troupe du jeune homme, il fonça vers O., boîte blanche en avant, son horrible sourire accroché à son visage. Il s'arrêta à quelques pas du Serpentard et lui tendit la boîte. O. arqua un sourcil.

    MORVEUX. - « C'est pour toi. »

    L
    es yeux grand écarquillés, O. fixa le morveux et étudia la situation. Un Rouge et Or venait de lui offrir une boîte de chocolat, un sourire niais et complètement écœurant fixer sur la face. Le Vert et Argent esquissa une grimace tandis qu'il entendait sa bande commencer à glousser. Comprenant enfin la situation.

    LE PRINCE. - « C'est bien gentil les chocolats, mais tu sais je suis pas de ce bord là. »
    MORVEUX. - «
    AH ! Mais non ! C'est pas ça ! Ils sont pas de moi les chocolats. Enfin, on a déposé la boîte au pied de mon lit ce matin, mais regarde, c'est bien ton nom sur l'enveloppe. Oreste de Pommery. »

    Q
    uelques peu rassuré, O. tandis une main hésitant vers la boîte avant de s'en saisir et de regarder le petit mot accroché par un ruban blanc. Le jeune homme esquissa un sourire en pensant à une nouvelle fan. Tandis qu'il décrochait le morceau de parchemin de la boîte, le hardi Gryffondor restait planter devant lui mais O. n'y faisait même plus attention. Ouvrant la petite enveloppe il put déchiffrer un « Tu l'as bien mériter » inscrit d'une fine écriture italique. L'odeur alléchante des caramels et du chocolat chatouilla ses narines et il remarqua avec gourmandise que c'était ses préférés. Alors qu'il allait en prendre un, il remarqua enfin que le quatrième année était toujours planté devant lui. De nouveau son sourcil se arqua et un sourire qui annonçait rien de bon apparut sur son visage. Il prit un chocolat et tandis la boîte à l'un de ses acolytes qui s'en saisit rapidement, puis il avança vers le Rouge et Or qui ne bougeait pas d'un cil. O. lui tapota alors la tête, comme on caresserait la tête d'un chien et un grand sourire barra son visage. D'une voix un peu aiguë il dit :

    LE PRINCE. - « C'est bien Fido, t'as rapporte la boîte à papa. Aller donne la papate et t'auras un chocolat. Allez, la papate Fido. »

    U
    n fou rire général secoua l'assemblée. Tous riaient sauf le Gryffondor qui perdit enfin son sourire horrible pour adopter une moue boudeuse, triste et coléreuse.

    LE PRINCE. - « Oh c'est bon Fido pleure pas, j'vais te le donner son chocolat. »

    E
    t d'un geste très délicat, il enfourna le chocolat dans la gorge du jeune homme. Nouveau fou rire tandis que le Rouge et Or commençait à s'étouffer. Sans même un geste d'aide envers Fido, O. fit demi-tour, prit un autre chocolat dans la boîte et commença à partir, toujours suivit de sa troupe. Quant un cri aiguë de frayeur se fit retentir, O. tourne prestement sur lui-même, attiré par le bruit et bien trop curieux. La vision qui s'offrait à lui était encore pire que la première qu'il avait put avoir du quatrième année. Celui-ci était à présent couvert de furoncles de diverses tailles et de diverses couleurs, sur tout le visage ainsi que les mains, le cou et sûrement, sur tout le reste du corps. Jetant un regard en biais au chocolat il le jeta à terre rageusement et pourtant ne put s'empêcher de sourire.

    « Tu l'as bien mériter. »

    Beaucoup plus tard, alors que le soleil avait disparu depuis longtemps derrière la forêt, O., lui, faisait son tour habituel près de la forêt. C'était une vieille habitude qu'il avait pris depuis sa première année. En fait, dès que le directeur lui avait interdit de traîner près de la forêt, O. y était aller pour défier qui le voulait, et depuis il n'avait pas perdu cette habitude. Or, ce soir là, ne fut pas comme les autres. Entre deux arbres plutôt imposants, une ombre plus sombre se détachait dans la pénombre. Fronçant les sourcils, O. chercha sa baguette dans sa pochette et la serrant dans sa main droite, avança vers la forme inconnue. Arrivé à bonne distance, le jeune homme déclencha un Lumos, prêt à une éventuelle réplique. Une vague de chaleur l'envahit quand il reconnut enfin la silhouette.

    LE PRINCE. - « Mais regardez qui voilà. Ne serait-ce pas là mon admiratrice secrète ? J'ai beaucoup aimé tes chocolats, merci. Dommage que Fido en ai manger avant moi hein. »

    U
    n sourire sarcastique ne put s'empêcher d'apparaître sur le visage presque parfait de O. tandis qu'il toisait sa sœur. Alcéanna.
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Alice P. Warren
Alice P. Warren
septième année ▬ finalement


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MessageSujet: Re: so funny joke, A. {pv   so funny joke, A. {pv EmptyDim 16 Nov - 23:34


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    LE PRINCE. -
    « Mais regardez qui voilà. Ne serait-ce pas là mon admiratrice secrète ? J'ai beaucoup aimé tes chocolats, merci. Dommage que Fido en ai manger avant moi hein. »

    La malchance est un oiseau déplaisant et il faut l'empêcher de se percher sur soi. Malheureusement pour A., ce jour-là, la malchance n'avait fait que frapper la jeune femme sans aucun état d'âme, oiseau impitoyable qui ne faisait de sa vie un véritable enfer. Et cette rencontre désagréable semblait être le point culminant de toutes ses mésaventures. La journée avait pourtant si bien commencé...


    3 octobre, 7h30
    salle commune de Gryffondor,
    Poudlard, grande bretagne.



    TANYA. - « Et c'est à ce moment-là que je me suis dit que je t'en serais éternellement reconnaissante, Anna. Ma soirée a été parfaite, grâce à toi. Réellement, je ne sais pas quoi te dire. Tu es si merveilleuse. » S'écria une Gryffondor dans la salle commune.
    ELLE. - « C'est toi qui est merveilleuse Tanya. »


    A. réprima un sourire, reflétant sa joie intérieure. Et une personne de plus ayant succombé à son charme. Il fallait avouer que Tanya avait été l'une des rares Gryffondor, peut-être même la seule, à se montrer réticente face à la si charmante et adorable brunette qu'était la de Pommery. Cette rouquine présentait un problème assez sérieux dans le sens où elle venait d'une famille importante au sein de la communauté sorcière, et qu'elle se trouvait être populaire parmi la moitié de Poudlard aussi. A. désirait ardemment s'en faire une amie, ou du moins une bonne connaissance. Aujourd'hui, ce désir semblait s'être exaucé. Quelques secondes à peine, après être descendu du dortoir des filles de Septième année, la sixième année s'était précipitée vers A. Tanya était véritablement surexcitée par ce qui lui était arrivé. Et un pion de plus dans la collection de la Rouge et Or.


    Plus tard, lorsqu'elle s'était assise à la table des disciples de Godric, A. s'était encore fait agressée par un Serdaigle, cette fois-ci. La fameux Matthew O'Malley, dont le père travaillait dans l'une des bibliothèques les plus prestigieuses de toute la Grande Bretagne. Ce Serdaigle qui lui était la clef pour obtenir ce manuscrit de Nicolas Flamel qu'elle convoitait depuis bientôt un an. Quelle merveilleuse nouvelle que de voir que ledit manuscrit se trouvait entre les mains même de ce cher bon Matthew, dont un sourire niais d'adoration était plaqué sur son visage.

    ELLE. - « Tu es merveilleux, Matthew. » Dit-elle en s'emparant avidement du bouquin. Combien de fois avait-elle sortie cette phrase en à peine une demi-heure ? Deux fois, et ce n'était que le début de la journée. Le meilleur dans tout cela était sans aucun doute le fait est qu'elle semblait sincèrement penser chaque mot prononcé. Tanya était tombée dans son piège, et ce O'Malley y tombait aussi, tandis qu'elle lui demandait la manière dont il s'était pris pour dérober le manuscrit. Savoir qu'elle avait perverti un si honnête Serdaigle la rendait plus joyeuse que jamais.


    Malheureusement, cette joie s'était vue descendre à une vitesse fulgurante dans l'après midi. A commencer par le fâcheux incident dans le parc. Un Poufsouffle de deuxième année avait malencontreusement renversé un flacon non identifié sur le précieux bouquin volé. Le livre était irrécupérable, avait-elle finalement constatée après avoir essayé pendant deux bonnes heures de sauver les pages du manuscrit. Rien n'y faisait, tout était devenu illisible. Horriblement frustrant pour la jeune femme qui mettait déjà en œuvre un plan pour se venger de cette créature Poufsoufflienne maladroite à en avoir la nausée. Des idées saugrenues typiquement serpentardesques que la pauvre A. du finalement abandonner lorsque le professeur de Potions avait été à sa rencontre en lui disant qu'il avait renversé le philtre qu'elle avait préparé durant l'interrogation de la semaine dernière, et qu'elle était dans l'obligation de le recommencer ou de faire un autre travail, voire d'être comptée absente. Elle avait opté pour la première option. Ainsi, la de Pommery avait rendez-vous à 17 heures 15 dans les cachots où le professeur l'attendrait.


    Encore une fois, la poisse lui avait collée à la peau. Une fois sortie de la salle de classe quelques heures plus tard, A. se demanda un instant si sa Némésis n'était par derrière tout cela. Peut-être lui avait-il fait ingurgité une sorte de potion ayant les effets contraires du Felix Felicis ? Ils ne s'étaient pas côtoyés depuis un bon bout de temps, mais le Serpentard pouvait très bien agir à travers les autres comme elle l'avait fait la vieille avec cet innocent Gryffondor et de succulents chocolats. A. secoua la tête, Oreste avait beau occuper une grande partie de sa vie, et être responsable de la plupart de ses malheurs, elle ne devait pas pour autant en devenir paranoïaque. Si elle s'était montrée si maladroite durant la préparation de la potion pour le rattrapage de l'interrogation, ce n'était pas à cause de lui. Ce n'était pas non plus de sa faute si elle s'était coupée avec le couteau en tranchant les racines de Mandragore. Et qu'elle avait failli faire exploser son chaudron....ce n'était pas comme si O. pouvait contrôler les éléments par Merlin ! Heureusement que le maître de Potions avait été clément avec elle, lui permettant de préparer à nouveau un philtre qu'elle devait lui rendre le lendemain après midi. Il s'agissait là des avantages d'être une élève modèle voyez-vous.
    La gentillesse du professeur expliquait donc la venue de A. près de la lisière de la forêt interdite. En effet, un ingrédient essentiel à nouvelle potion poussait à cet endroit : des fleurs semblables à des roses blanches, néanmoins sans épines et beaucoup plus petites. La jeune femme se constituait un bouquet lorsqu'elle entendit la voix de sa Némésis derrière elle. La Gryffondor se retrourna vivement, une chaleur à l'estomac se diffusant à une vitesse fulgurante dans tout son corps.

    ELLE. - « Je suis si désolée....mais tu es si merveilleux, O. J'étais obligée de te montrer à quel point en...t'offrant ces chocolats. » Répondit-elle innocemment. A cet instant, elle jouait parfaitement bien le rôle de la jeune sorcière sincère parlant avec son coeur. Pourtant, il était certain que son 'frère' ne pouvait tomber dans son piège, car après tout, Oreste de Pommery était le seul qui connaissait l'hypocrisie de A. par coeur.
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