Deception ou frustration?[Penny]

Who's talking? My mom or the director? Both...

Durant son cours de potion de la journée précédente, Myar avait reçue une lettre de la directrice, elle y était habituer et plus personne n’en faisait des plats, puisque la directrice était sa mère. Mais elle, elle savait que cette fois ce n’était pas sa mère qui voulait la voir, ou peut-être que sa mère aussi, mais c’était surtout la directrice qui voulait s’entretenir avec elle. Elle savait même pourquoi, le train… bien sur, elle n’était pas la seule en cause, mais c’était elle qui avait attaquer Zeke en le frappant et l’envoyant au tapis avec un sortilège.

Alors, se soir, elle devait se rendre au bureau de sa mère, au moins, c’était pas avec son père qu’elle devait s’entretenir, son père… Elle avait dut le décevoir et ça elle détestait quand ça arrivait. Elle n’était pas non plus prise avec Neville, qu’elle aimait bien, mais elle n’avait jamais le cran de l’engueler si il lui tombait sur les nerfs, elle el trouvait trop sans défense ou je ne sais quoi xD Elle ne mit pas sa robes de sorcier étant donnée qu’on était plus en heure de cours. Elle portait une robe fleurie dans les tons rouges, qui lui arrivait un peu plus de 10 centimètre en haut du genou. Même si on était en septembre, ses temps si, il faisait plutôt chaud alors. Elle se dirigea lentement vers le bureau de sa mère, croisant l’esprit frappeur, qui depuis trois ans n’osait plus s’attaquer à elle, depuis qu’elle l’avait menacé quoi, mais il faisait des sales travails pour elle parfois. Elle était presque devenue amie avec lui. Elle arriva pourtant bien trop vite devant la gargouille gardant le bureau de la directrice, sa mère. Elle leva les yeux vers celle-ci, si elle était vivante, elle devait se souvenir de la blondinette qui venait ici tellement souvent. Elle devait maintenant donner le mot de passe. Elle n’en avait pas envie, pas envie du tout, mais si elle arrivait en retard ça serait encore pire.

« Bloops »

La gargouille se mit en mouvement et Myar emprunta ses marches, c’était pire qu’a toute les fois où elle avait dut le faire. Elle arriva devant la porte du bureau. Cogner ou entrer? Elle n’avait jamais cogné, pourquoi elle le ferait aujourd’hui. Alors elle entra tout bonnement et regarda le bureau, sa mère n’était pas là. Elle alla vers le choixpeau et le toisa.

« Je peux vous poser une question »

le choixpeau s’anima et regarda la blondinette

« Tu peux toujours, mais je ne vais pas nécessairement te répondre »
« Vous êtes sur du choix que vous avez fait pour moi il y a sept ans? C’était vraiment à Gryffondor que je devais aller? J’ai pourtant tiré dans le dos de quelqu’un et présentement je n’ai pas le courage de faire face à ma propre mère »
« Ah… non, je suis sur de mon choix. Tu es comme ton père, et puis on ne peut pas être tout le temps courageux Myar. Mais tu es bel et bien fait pour être chez les rouges et or, tant que tu t’y sens chez toi. »

Myar se retourna en entendant des bruit de pas, les souliers de sa mère faisait toujours du bruit, surtout ceux là. Alors, la blondinette s’approcha en face du bureau de sa mère et attendit qu’elle dise quelque chose,

Je ne vais pas te faire la morale tu sait. Pas que ça ne servirait a rien, non, juste que se soir, j'ai envie qu'on discute d'autre chose que de tes chamailleries.

Peneloppe avait peur parce que sa fille devrait voler de ses propres ailes? Myar avait peur pour elle, bien qu’elle ne voulait l’avouer a personne. Elle doutait d’elle-même, elle avait tellement trahi de ses convictions en l’espace de deux mois a peine, qu’elle en perdait le files. Mentir, elle détestait ça, mais elle le faisait depuis deux mois, tiré dans le dos, elle trouvait que c’était manqué de courage, elle l’avait fait. Elle doutait tellement de ses capacités et aussi du fait qu’elle ait vraiment sa place à Gryffondor. Elle avait peur de ce qui lui arriverait après Poudlard, elle ne savait pas ce qu’elle voulait faire, mais savait avoir le talent pour tout. Elle avait tellement peur de tomber et de ne pas pouvoir se relever, qu’elle préférait ne pas avancer. Elle trouvait ça bizarre, alors que c’était tellement normal, pour une jeune fille de dix sept de se poser des questions et de ne pas savoir par où aller.

Sa mère arriva juste à la fin de sa discussion avec le choixpeau, mais la blondinette ne savait pas si elle l’avait entendu ou non. Elle espérait profondément qu’elle n’avait pas entendu, parce que ce qu’elle avait dit témoignait de ses doutes et ses crainte et elle ne voulait pas que sa mère sache qu’elle avait peur, surtout parce qu’elle savait que celle-ci appréhendais le moment ou Myar en viendrait à voler d’elle-même. La Gryffondor s’assit sagement dans une des chaises devant sa mère. Par moment, elle la regardait dans les yeux, par d’autre, elle évitait le regard que posait sa mère sur elle, parce qu’elle préférait ne pas savoir de quel nature il était. Inquiétude? Frustration ou pire déception?

Sa mère pris enfin la paroles, mon dieu c’est soulagent d’entendre une voix dans se silence de mort. Myar regarda vers Peneloppe quand elle parla, par marque de respect et aussi par courage un peu.

« Je vois pas vraiment de quoi tu veux parler alors… y a rien a dire sur d’autre sujet que le fait que je ne fais que des conneries. Et puis, tu es ma mère et la directrice, c’est sûre que tu va me faire la morale »

Myar avait toujours vu sa mère, comme celle qui la punissait, celle qui lui faisait la morale, elle l’aimait beaucoup, mais c’était sa mère, sa mère! Elle était là pour l’élever, lui faire la morale et tout ça, et elle était directrice en plus alors bon, ça étonnerait beaucoup Myar, si se soir, elle ne se ramassait pas à se faire faire la morale. En plus, elle ne voyait pas de quoi elle voulait parler se soir, si ce n’est que de l’épisode du train et elle niait pas. Elle était franchement perdue, de quoi sa mère voudrait parler?

Comment peut tu une seconde douté de ta place a Gryffondor ? Enfin Myar, tu es le portrait cracher de ton père !? et quoi que tu en pense, vous êtes surement les plus personnes qui représentent le plus Gryffondor de toute l'histoire de Poudlard !

Pendant toute ma scolarité j'étais sur que ma place était a Serdaigle, tu pense, la fille d'Albus Dumbledore, c'était presque obligatoire ! Mais j'étais la fille d'Albus Dumbledore, j'avais le courage, la bêtise, et la fanfaronerie dans les veines, ma place était a Gryffondor, quoi qu'il m'en coute je n'ai plus douté de ça après mon entré en 7ème année, parce que je l'avais compris ! Et pourtant, regarde ta soeur, elle est allé a Serdaigle parce qu'elle ne croit pas en elle, parce qu'elle a peur d'elle. Et je suis a peut près sur qu'elle aurait pus aller a Gryffondor, si toi et Eros n'aviez pas hérités de tout le culot de vos parents. Wendy est fière d'être a Serdaigle, elle ressemble tellement a Albus, Eros est... c'est Albus, mais en un peu plus extraverti, Alphonse n'est pas encore assez grand pour s'affirmer complètement, et toi ma chérie tu es... tu es le courage de ton père, l'esprit de ta mère et l'exécrable caractère de cochon de mon oncle. Et de toutes ses personnes, combien ont jamais mérité d'aller autre part qu'a Gryffondor ? aucune.

Sa mère savait que Myar avait eue un petit copain, elle savait son nom, son âge et de quoi il avait l’air, mais c’était bien els seules choses qu’elle savait. Elle ne savait pas à quel point Myar l’avait aimé et puis, comment pourrait-elle le savoir? La blondinette avait eue tellement de p’tit copain, trois moi pas plus, c’était pas évident, enfin peut-être que si, mais fallait fouiller en Myar. Elle ne savait pas non plus toutes les conneries qu’elle avait faites. Elle ne savait pas non plus, qu’elle avait eue à peine le courage de lui dire au revoir et encore… Elle n’avait pas envoyé une autre lettre, elle n’avait rien fait. Pour la Gryffondor c’était du manque de courage.

Après, elle n’avait pas été dans le train, elle n’avait pas vu que sa propre fille avait tiré dans le dos de quelqu’un. Cette propre fille qui a toujours dit qu’elle ne tirerait jamais dans le dos de quelqu’un, au grand jamais! Elle l’avait fait et pour elle c’était un manque de courage, elle se décevait elle-même et elle savait que si elle en parlait, elle allait décevoir les autres et ça, elle ne le voulait pas, surtout pas ses parents, pour qui le jugement est beaucoup plus important que Myar ne le dit. Apparemment, sa mère avait entendu sa conversation, génial! Elle allait avoir droit à une page d’histoire une moral et après on passerait à l’histoire du train, mais elle allait passé un si agréable soirée cette petite.

Mya posa son regard dans celui de sa mère, essayant de le déchiffrer mais en vain, sa mère serait-elle capable de déchiffrer le sien? Qu’est ce qu’il y avait a voir de toute façon? À par se bleu azur, ce bleu identique à celui de Sirius. « Je ne dis pas ne pas être fière d’où je suis, je dis ne pas le mérité! Tu as arrêté de douter en septième et bien moi je commence à douter que ma place n’est peut-être pas chez les Gryffondor, je ne suis peut-être pas aussi courageuse qu’on le croit. Ce n’est peut-être qu’une parure, une face, une carapace, j’en sais rien, je sais plus rien en fait. Je n’arrive pas à la cheville du courage de papa, pas plus qu’à ton esprit, parce contre je prends le caractère de cochon, je suis bien d’accord. Je ne mérite plus d’être à Gryffondor, pas avec tout ce que j’ai fais… ou pas fais. Pas avec tout ce que j’ai dit ou pas dis, ma place n’est plus là. » un été ça peux vous changé hein? Assez étonnant à quel point. La choixpeau se mit alors à bouger, il écoutait en silence et avait apparemment quelque chose à dire, lui qui vous connaît jusqu’au plus profond de votre âme. « Myar… je me rappelle tout les mots que tu m’a dit en dessous de moi? Te rappelle tu, ce que je t’ai dit moi? Tu es comme ton père faite pour les Gryffondor, que tu le vois ou non, je reste sur ma décision, tu es une rouge et or. Ta mère à raison, personne ou presque ne mérite plus que toi d’aller à Gryffondor. J’ai connu deux personnes qui le méritait au tant que toi, Sirius et ta mère. » La choixpeau s,arrêta et sûrement pour de bon, il avait dit ce qu’il avait eue à dire et la blondinette n’avait aucune idée de ce qu’elle devait répondre à ça, tout bas par contre elle trouva quelque chose à dire. « Je ne le mérite pas… »

On a déjà eu cette conversation, plus d'une fois tu sait.

J'ai quelque chose a te montrer, lève toi.

Dit maman, tu sait, je suis sûre que je vais allé a Gryffondor à Poudlard, y a pas moyen, j'ai toutes les qualités que m'a dit Fleur, je suis sur que j'irait comme toi et Papa, parce que jveut être comme vous.

Pas besoin de vouloir être comme nous ma chérie. Tu a le courage de ton père, l'intelligence de ta mère et surtout, tu me rappelle mon oncle. Et devine quoi, on a tous été a Gryffondor, alors pas de soucie ma chérie !

Et de toute façon, si je suis pas a gryffondor, jvais être malheureuse.

nouveau souvenir

Tu sait papa, tu peut monter, je vais attendre Ron, Harry et Ginny, ils devraient pas tarder.

Gentil ma chérie mais j'ai confiance...

Alors pourquoi tes yeux mentent ?!?

Je... tout vas bien Myar, je t'assure.

D'accord, je peut monter dans ma chambre si c'est comme ça non ?

Désolé jeune fille, tu reste avec moi. Ta mère a besoin de calme.

Tu peut rester, mais tu ne regarde que moi d'accord. Et tu ne bouge pas.

Promis maman !

Plus d’une fois? C’est encore drôle, ce n’était pas comme aujourd’hui, ce n’était pas vraiment du doute, mais juste un peu de peur. Quand els deux son combiné c’est bien plus difficile. Myar avait peur et doutais, d’elle-même, alors peu importe ce que dirait Peneloppe, peu importe ce qu’elle voudrait lui montrer, butée comme elle est, elle ne changerait sûrement pas d’idée. La jeune fille tenait beaucoup de ses parents et beaucoup plus de son Oncle que de son grand-père, sauf peut-être pour voir le bien en tout le monde, sauf en elle. Myar détourna le regard de sa mère, par pure honte et déception et c’est tout.

La blondinette suivit sa mère jusqu’à la pensine, dieu qu’elle aimerait en avoir une juste à elle, pour mettre toute ses pensées qui se bousculait dans sa tête. Elle suivit sa mère et plongea. Elle se regarda torturer les cheveux de sa mère et ça la fit sourire, un sourire tellement gamin et franc, le même que la petite fille sur les épaules de sa mère. Une petite fille qui manquait beaucoup à Myar. Cette insouciance mêlée à la maturité et l’intelligence. Elle s’écouta parler et se souvint de ses deux trois ans. Gryffondor et juste Gryffondor. C’était les mots qu’elle se tuait à toujours répéter dans sa tête, aucune autre maison ne serait fait pour elle. Aucune autre maison ne la mériterait dans ses rangs. Ce n’étai il y a tout juste 15 ans de ça, elle pensait ainsi et aujourd’hui c’était tout le contraire, c’est elle qui ne méritait pas d’être dans les rouges et or. Puis, elle vit le regard de son père, regard qu’à l’époque elle n’avait pas remarquer. Est-ce qu’aujourd’hui il la regarderait de la même manière, la jeune Myar en doutait, elle était tellement… décevante. Quels parents la regarderait encore de cette façon?

Puis tout changea, le décor, les personnes, l’ambiance et l’époque. Penny n’avait pas besoin de monter se souvenir à Myar, elle s’en souvenait par cœur, c’était peut-être à cause de ça qu’elle était aussi fière de sa petite sœur, qu’elle l’aimait autant. Elle se souvenait du regard de peur de son père, un regard qui lui avait transpercé le cœur. Myar était la plus vielle, elle comprenait certaines chose plus vite que Alphonse Eros ou Wendy, même si pour les jumeaux elle n’avait qu’un an de plus. Elle voyait son père qui se battait intérieurement pour ne pas monté, Myar en faisait de même, si elle n’avait pas bronché quand son père l’avait obligé à ne pas monter. Mais les cris, le cris de sa mère, fit en sorte que son père ne comptais plus, plus rien ne comptait. Elle était partie à la course pour rejoindre sa mère dans la chambre des ses parents. Elle s’était jeté à son coup et ne voulait pas le lâcher, parce qu’elle avait peur, elle avait peur pour elle et pour sa petite sœur qui porterait le nom qu’elle avait voulu lui donner. Sa mère finit par accepter que la blondinette reste, mais elle ne devait regarder que sa mère et personne d’autre, elle dut par contre brisé sa promesse, parce qu’Hermione avait besoin d’aide. Son regard s’était alterné entre sa mère et le bébé, puis elle choisis et alla prendre sa petite sœur. Elle était devenue forte pour se moment et tenait comme un bijoux précieux sa petite sœur. Celle-ci s’était mise à pleurer, alors Myar avait commencé à la bercer dans ses bras étonnement fort. La petite finit donc par se taire et Myar la regarda avec tellement d’amour. Elle eue un petit sourire avant de chuchoter à l’oreille.

« Tout vas bien aller petite sœur, tu vas voir, tout vas bien aller. »

Elle s’était ensuite dirigé vers sa mère avec la permission de Hermione et avait donné Kendra à sa maman. Un sourire fière et victorieux c’était installé sur les lèvres de la jeune fille. Myar elle, avait répété sa propre phrase en même temps que la petite elle. Elle s’en souvenait de ça, comme si c’était hier, parce qu’elle avait été fière d’elle, mais vraiment fière d’elle pour la première fois. C’est les larmes aux yeux, que Myar sortis de la pensine avec sa mère. Elle était émue, un peu triste aussi d’avoir perdue cette gamine pleine de joie et de folie. Elle savait qu’elle était encore là en elle, mais elle dormait tout simplement. Elle regarda ensuite sa mère, essuyant les larmes.

Elle regarda sa mère devant elle, pourquoi lui avait-elle monter cette gamine blonde qu’elle n’était plus? Pourquoi lui montrer ses souvenir précisément.

« Pourquoi tu me montre ça? »

Myar avait employé un ton neutre et un peu doux, elle ne comprenait tout simplement pas.

Pourquoi ? Parce que la jeune fille qui a fait toute ses choses, qui a dit toutes ses choses, c'était toi, c'est toi.

Pense tu un seul instant que ton père ou moi même nous ne sommes pas fière de toi ? Myar tu es l'ainé, tu es la première a être arrivé de notre union, et tu voudrais que, sous prétexte de ta jeunesse, ou de je ne sait qu'elle bêtise, tu baisse dans notre amour ? vous êtes tous au même niveau, tous au maximum, et quoi que tu face, quoi que tu pense je suis tellement fière de toi que ça en ait obsessionnelle. Tu pense que ton père n'a jamais fait d'erreurs ? Une de ses plus grandes a été de se faire surprendre par Belatrix au ministère, parce qu'il avait encore une petite dose d'arrogance et qu'il pensait en avoir finit avec elle. Et pourtant, regard se que cette erreur a fait... elle m'a permit de rencontrer l'homme de ma vie, de reprendre contact avec Albus, d'avoir 5 magnifiques enfants, de pouvoir être a se poste. Son erreur m'a permis d'être vivante ! Si je n'avais pas du protégé Sirius, jamais je n'aurait eu le temps de protégé notre maison de Voldemort, et crois moi nous ne serions pas là pour en parler.

Tout a l'heure, la tante de ton amie Ryan, Pamela Twist est venue me voir, elle est partie quand tu es arrivé. Elle m'a dit que Kendra voulais me voir. Tu veut m'accompagner ?

Myar n’avait pas de gêne à pleurer de sa mère, enfin, pas parce qu’elle était simplement ému et ça dépendait pour quoi, mais au nombre de fois qu’elle avait pleurer devant sa mère, elle n’allait pas en faire un drame. La blondinette attendit que sa mère lui réponde, mais elle entendit la voix de son grand-père à la place de celle de sa mère, elle tourna le regard vers celui-ci, elle aimerait croire ce qu’il avait dit, elle aimerait vraiment, mais c’était faut. Elle le regarda dans les yeux, dans ses yeux si bleu, dans lesquels ils faisaient bon se plonger quand on avait pas peur qu’ils vous jugent ou qu’ils soient déçu de vous.

« Était… c’était le bon temps de verbe, je ne suis plus cette petite fille… ou du moins plus autant, pas à temps plein et pas ces temps si. »

Était-ce une façon de monter de l,espoir en disant ces temps si? Pas pour Myar qui vivait tellement au comment présent que c’était simplement une autre manière d’être défaitiste à ses yeux.

Myar écouta attentivement ce que sa mère avait à dire et elle attendit que celle-ci ait finit son discours avant de prendre la parole, d’un ton neutre mais quelque peu, disons difficile à cerner, triste, déçu, frustrer, on ne pouvait pas vraiment le savoir.

« Je ne pense pas baissé dans votre amour, mais vous décevoir, j’en suis sûre. Je me déçois moi-même, alors comment je peux faire pour ne pas vous décevoir en même temps? Les erreurs que moi j’ai commise ne serviront à rien, à rien du tout, ne m’aideront pas à trouver l’amour de ma vie, ne feront pas en sorte que des vies vont être sauver. Briser, faire du grabuge et lancer des sort dans un train ne fera pas en sorte que je serai une personne meilleures, fière ou ne créeront pas un futur pour moi. Le fait que j’ai manqué de courage ne fera pas de moi quelqu’un de mieux avec un plus beau futur. Les erreurs que j’ai commises, sont irréparables, pas physiquement, sauf une peut-être, mais bref, ça reste que je me suis trahi, j’ai trahi mon sang et ma famille. Le fait que je sois la plus vielle n’aide pas les chose, je dois être le modèle de tous, la plus forte, la plus courageuse, la plus intelligente, la plus gentille, la plus tout. C’est sa être l’aînée, ce n’est pas un cadeau, enfin, parfois c’est marrant, mais si non, tu dois être la plus responsable et tout le tra la la. Alors, oui, je crois pouvoir vous décevoir, je crois en effet, que vous pouvez trouver erreurs stupide et je sais pas quoi »

C,est dont ben pas beau le pessimiste et si on était dans HSM, elle se mettrais à chanter tout bonnement un toun triste qu,elle a jamais chanter, mais dont elle connaît les paroles.

C’était sûrement de famille que de parler beaucoup, parce que dans se domaine, Myar était une experte certifié et avec mention parfaite. Puis, sa mère lui proposa d’aller voir Kendra, Myar ne disait jamais non à cette question, Kendra c’était sa petite sœur à elle, la blondinette faisait tout pour elle, elle était son ange gardian et la petite fille était quelque chose de si important aux yeux de Myar.

« Tu pense toujours pas que je vais dire non? C’est oui »

Kendra, était carrément une des raison de vivre de Myar et une des raisons qui faisait qu’un jour, elle voudrait être mère.

Spoiler HTML code